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  1. 171.

    Article publié dans Revue internationale P.M.E. (savante, fonds Érudit)

    Volume 28, Numéro 2, 2015

    Année de diffusion : 2015

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    Considérées comme l'un des principaux leviers du développement économique d'un pays, les jeunes entreprises technologiques innovantes (JETI) sont à l'origine de l'introduction de nouvelles technologies, de l'exploration d'opportunités commerciales et de la création des marchés de l'avenir.Malgré l'intérêt considérable porté à la performance des JETI (Jiao et al., 2013 ; Chen, 2009 ; Song et al., 2008), les recherches concernant ses déterminants ont plutôt adopté une approche contingente que gestaltiste, alors que de nombreux travaux soulignent que la pertinence de cette dernière perspective est de pouvoir intégrer divers éléments dans une démarche holiste (Ketchen, Thomas et Snow, 1993 ; Harms et al., 2009 ; Witmeur et Biga Diambeidou, 2010) de manière à dépasser les conflits de l'approche contingente relatifs à l'analyse d'une multitude de relations bivariées (Henninger-Vacher, 1999 ; 2000).L'objectif de cet article est de contribuer à améliorer la compréhension de la performance de la JETI par la proposition d'une modélisation gestaltiste s'inscrivant dans le cadre de l'approche configurationnelle et permettant d'expliquer les différences de performance. Pour y parvenir, une enquête quantitative a été menée auprès d'un échantillon de 95 jeunes entreprises technologiques innovantes (JETI) du secteur des services informatiques en France. Les conclusions de ce travail peuvent alors constituer une grille de lecture permettant d'apporter un éclairage instructif sur les voies privilégiées de la performance de la JETI et faire l'objet auprès des praticiens, de réflexions et d'analyses complémentaires à leurs pratiques voire de développement d'un outil d'aide à la décision à destination des entrepreneurs.

    Mots-clés : Jeune entreprise technologique innovante, Performance, Gestalt, Configuration, Taxonomie, Young innovative technological ventures, Performance, Gestalt, Configuration, Taxonomy, Empresa joven innovadora tecnología, Rendimiento, Gestalt, Configuración, Taxonomía

  2. 172.

    Article publié dans Revue québécoise de droit international (savante, fonds Érudit)

    2007

    Année de diffusion : 2020

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    Doit-il nécessairement y avoir un combat dans les relations entre le droit de l'énergie nucléaire et le droit de l'environnement ? Dans plusieurs cercles, on peut très souvent avoir l'impression que la réticence persistante envers l'énergie nucléaire résulte d'un discrédit des règles gouvernant l'utilisation de ce type d'énergie. À ce propos, le souvenir de Tchernobyl – comme l'archétype d'une catastrophe environnementale ayant été gravé dans notre mémoire collective – n'aide certainement pas. Pourtant, cette perception est non seulement injuste, elle est aussi incorrecte au niveau factuel et conceptuel puisque l'intention même du droit national et international concernant l'énergie nucléaire, en tant que lex specialis, est de s'assurer que les diverses applications de cette énergie soient conduites de manière aussi sécuritaire que possible pour le public autant que pour l'environnement. En étudiant le droit de l'énergie nucléaire, on est naturellement porté à en faire la comparaison avec la sphère, certes jeune mais à croissance rapide, du droit environnemental. Ce faisant, l'on pourra se demander à quel point cette dernière est en lien ou puisse éventuellement englober la première, considérant que la finalité de ces deux branches est identique, jusqu'à un certain degré, et qu'elles possèdent beaucoup d'outils juridiques en commun issus. En effet, à travers de ce qui pourrait être qualifié de « pollinisation contrôlée », les deux branches du droit ont emprunté divers principes et concepts (traçabilité des matériaux, principe pollueur-payeur, etc.). Toutefois, un aspect sur lequel le droit de l'énergie nucléaire a encore quelques progrès à faire, tandis que le droit environnemental y excelle, est la promotion des valeurs de transparence et de participation du public aux activités pour lesquelles les prises de décisions ont longtemps été laissées dans les mains des « experts ». Cet aspect présente un important défi, tout spécialement à une époque où les industries et gouvernements parlent de renaissance nucléaire.

  3. 173.

    Autre publié dans Assurances et gestion des risques (savante, fonds Érudit)

    Volume 73, Numéro 2, 2005

    Année de diffusion : 2022

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    L'article propose une nouvelle approche du débat sur l'assurance des « nouveauxrisques ». Il vise tout d'abord à faire le point sur les différentes notions que sontle risque et l'incertitude. Il expose les avancées et les défis restant à relever enmatière d'appréhension et de gestion des risques catastrophiques et nouveaux risqueset étudie tout particulièrement la contribution des mécanismes d'assuranceémergents au développement durable des Sociétés. Enfin, il tend à définir unenouvelle approche du management de l'incertitude et pose ainsi les bases de ceque pourrait être une théorie économique de l'assurabilité dans un tel contexte.

    Mots-clés : Incertitude, risques catastrophiques, assurance, mutualisation, principede précaution, développement durable, Uncertainty, catastrophic risks, insurance, mutualization, precautionnary principle, sustainable development

  4. 174.

    Autre publié dans Relations industrielles (savante, fonds Érudit)

    Volume 22, Numéro 2, 1967

    Année de diffusion : 2005

  5. 175.

    Note publié dans Revue internationale P.M.E. (savante, fonds Érudit)

    Volume 16, Numéro 3-4, 2003

    Année de diffusion : 2012

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    L'industrie des biotechnologies peut être représentée par différentes activités et différentes stratégies de croissance de l'entreprise. Ces stratégies auront un impact sur la structure de propriété et la qualité des apporteurs de capitaux à mobiliser, donc sur les mécanismes de gouvernement d'entreprise à mettre en place. On passe d'un système de gouvernement lié à des entreprises entrepreneuriales, avec des informations classiques, à un système de gouvernement dynamique (anticipation de la séquentialité des différentes phases de la recherche) dans lequel la firme est dépendante des financements, à chaque étape de sa croissance. Les informations qualitatives, notamment en matière de R-D, sont alors déterminantes. Les nombreuses entreprises de biotechnologies, sans chiffre d'affaires et avec moins de 50 salariés, relèvent de la moyenne entreprise au regard d'un processus de séparation des droits de contrôle et de gestion et d'une ouverture du capital favorisant la transférabilité des droits.

    Mots-clés : Gouvernement d'entreprise, Entreprises de biotechnologies, Stratégies de croissance, Structures de propriété, Moyenne entreprise

  6. 176.

    Helly, Denise et Van Schendel, Nicolas

    Références

    Publié dans : Appartenir au Québec : citoyenneté, nation et société civile : enquête à Montréal, 1995 , 2001 , Pages 237-242

    2001

  7. 178.

    Article publié dans L'Actualité économique (savante, fonds Érudit)

    Volume 62, Numéro 4, 1986

    Année de diffusion : 2009

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    RésuméCe travail se propose de tester l'hypothèse que les performances nettes réalisées par un pays dans ses échanges extérieurs croisés de produits différenciés sont déterminés 1) par l'avantage comparatif « révélé » défini pour chaque produit, en conformité avec sa base conceptuelle, et 2) par l'effet spécifique propre à l'économie nationale dont l'appropriation au profit de la branche relève des « économies de champs ».Nos résultats empiriques suggèrent que la spécialisation internationale inter-branche tend à se conformer à l'avantage comparatif, malgré une influence certaine exercée par les facteurs spécifiques dans le plus court terme.

  8. 179.

    Publié dans : Enfants d’aujourd’hui, diversité des contextes, pluralité des parcours , 2002 , Pages 1068-1083

    2002