Documents repérés

  1. 41.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1992

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  2. 42.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    2000

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  3. 43.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1989

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  4. 44.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    2004

    Plus d’information

    Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  5. 45.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1992

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  6. 46.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1995

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    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  7. 47.

    Article publié dans Anthropologie et Sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 13, Numéro 1, 1989

    Année de diffusion : 2003

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    RésuméL'anthropologie et la modernité du droitQu'en est-il de la contribution de l'anthropologie à la connaissance du droit ? Évoquant les principales avenues par lesquelles la discipline a envisagé cet incommode objet, à la fois système d'analyse et principe de gouvernement, cet article suggère l'adoption d'une perspective critique capable de questionner utilement la porosité existant entre les modes anthropologiques de rendre compte de la juridicité et les emplois juridiques de l'information ethnologique. Aussi est-il proposé d'envisager le " champ juridique " comme un événement culturel, marqué par l'histoire et relatif aux sociétés qui ont assumé sa genèse. Une critique conceptuelle de la catégorie juridique figure ainsi la condition préalable permettant aux faits observés par l'anthropologie de prendre place dans un processus de connaissance affranchi des exigences pratiques du savoir juridique institué.

  8. 48.

    Article publié dans Cygne noir (savante, fonds Érudit)

    Numéro 12, 2024

    Année de diffusion : 2024

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    Au tournant des années 2000, en France, les recherches sur l'interlocution et les rituels des pratiques dialogiques ont contribué à renouveler les approches francophones en anthropologie linguistique, dans un contexte où les travaux nord-américains les plus récents devenaient l'objet d'une attention grandissante auprès d'une poignée d'anthropologues et de sociolinguistes français. Un dialogue, parfois silencieux et parfois bien réel, lors de séminaires, s'est engagé. Les points communs entre les deux lieux de la recherche ne manquent pas. L'attention aux fonctions des formes de l'indexicalité inhérente aux processus de configuration des relations sociolangagières en est un. Comme l'est l'attention portée à la parole en acte et aux figures de ses formes sémiotiques. L'influence de la sémiotique dialogique de Mikhaïl Bakhtine leur est également commune. Les écrits du cercle de Bakhtine thématisent l'attention au dialogue, étudié pour ses formes poétiques, sociologiques-interactionnelles, encastrées dans leurs cadres métalinguistiques. Ils présentent l'imbrication de la pensée dialogique et de l'action comme un principe anthropologique. Celui-ci va tellement de soi, dans les recherches françaises, qu'il en devient implicite, au point de ne focaliser aucune attention particulière comme objet d'analyse. La sémiotique phanéroscopique de Charles S. Peirce reste bien moins influente dans les approches françaises. Toutefois, penser l'interlocution comme forme sémiotique d'activité sociolangagière aura permis aux anthropologues français, lecteurs de Peirce, de découvrir ou de redécouvrir non seulement l'insistance avec laquelle Peirce rappelle le caractère formellement dialogique de toute sémiose, et de l'activité de la pensée, mais combien est nécessaire, dans la perspective d'une sémiotique pragmatiste, la fonction médiatrice des interlocutions humaines dans l'enquête pour la connaissance, la résolution des incertitudes ou des disputes épistémologiques.

  9. 50.

    Couillard, Marie-Andrée

    Avant propos

    Autre publié dans Anthropologie et Sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 20, Numéro 1, 1996

    Année de diffusion : 2003