Documents repérés

  1. 251.

    Article publié dans Moebius (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 51, 1992

    Année de diffusion : 2010

  2. 252.

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 28, 1987

    Année de diffusion : 2010

  3. 254.

    Article publié dans Voix et Images (savante, fonds Érudit)

    Volume 3, Numéro 1, 1977

    Année de diffusion : 2006

  4. 255.

    Dalla Bernardina, Sergio

    Amours sans frontières

    Article publié dans Anthropologie et Sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 39, Numéro 1-2, 2015

    Année de diffusion : 2015

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    Consécutivement aux avancées de l'éthologie (l'animal pense, souffre, se projette même dans le futur), aux données de l'anthropologie (l'animal, dans de nombreuses sociétés, est considéré comme un sujet à part entière) et aux déductions de la philosophie (s'il est un sujet, il a donc des droits), nous assistons aujourd'hui à une révision de la frontière homme/animal. Cette remise en cause, illustrée par des ouvrages comme Animal liberation (1975) de Peter Singer, a des effets collatéraux : en « libérant » les animaux elle dédouane aussi, et rend donc représentable, toute une série de fantasmes liés à la sexualité entre espèces différentes. Concevable sur un plan logique, cette révolution pose des problèmes d'ordre symbolique. Les rumeurs rattachées aux pratiques zoophiles, avec leur cortège de traumatismes, de maladies et autres « sanctions » (naturelles et surnaturelles) nous rappellent que l'abolition des différences, sur le plan de l'imaginaire, a des effets catastrophiques : loin d'assurer la paix, elle engendre le désordre et alimente les conflits.

    Mots-clés : Dalla Bernardina, frontière homme/animal, zoophilie, antispécisme, éthique animale, initiation, anthropologie de la nature, Dalla Bernardina, Human-Animal Boundary, Bestiality, Anti-Speciesism, Animal Ethics, Initiation, Anthropology of Nature, Dalla Bernardina, frontera hombre/animal, zoofilia, anti-especiesismo, ética animal, iniciación, antropología de la naturaleza

  5. 256.

    Saint-Pierre, Christian, Dulude, Sébastien, Leclerc, Rachel et Laniel, Jérémy

    Poésie et théâtre

    Article publié dans Lettres québécoises (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 172, 2018

    Année de diffusion : 2019

  6. 257.

    Malejacq, Romain

    Introduction

    Autre publié dans Études internationales (savante, fonds Érudit)

    Volume 50, Numéro 2, 2019

    Année de diffusion : 2020

  7. 258.

    Article publié dans Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique (savante, fonds Érudit)

    Volume 10, Numéro 1, 2008

    Année de diffusion : 2018

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    Dans cet article, le corpus entier du chansonnier Félix Leclerc est prétexte à l'explication d'une méthode d'analyse « texte-accompagnement instrumental » adaptée à l'étude de la musique vocale. L'attention se porte d'abord sur l'analyse littéraire des paroles, et plus spécifiquement à partir de l'exemple de la chanson « Les Rogations » de Leclerc, sur la présence d'idées nationalistes dans les chansons avant 1970 (Monière 1977; Balthazar 1986; Dumont 1996). Par la suite, l'analyse musicale se concentre sur les relations entre les influences musicales du chansonnier et les techniques d'accompagnement à la guitare dans les chansons enregistrées (Green 2001; Tagg et Clarida 2003). Au final, la somme des étapes analytiques proposées remet en question deux conceptions répandues du style de Leclerc : la division de sa carrière en seulement deux périodes – avant et après la crise d'Octobre 1970; et la forte appartenance esthétique de son répertoire à la « grande chanson française ».

  8. 259.

    Compte rendu publié dans Revue musicale OICRM (savante, fonds Érudit)

    Volume 9, Numéro 2, 2022

    Année de diffusion : 2023

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    Mots-clés : arts visuels, interdisciplinarité, littérature, musique, théories esthétiques, aesthetic theories, interdisciplinarity, literature, music, visual arts

  9. 260.

    Article publié dans Analyses (savante, fonds Érudit)

    Volume 19, Numéro 1, 2025

    Année de diffusion : 2025

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    Il est difficile de le démontrer objectivement, mais on peut avancer, sans trop risquer de se tromper, que la série Paul est sans doute l'oeuvre la plus marquante de l'histoire de la bande dessinée québécoise. Dans mon article, je m'efforcerai d'identifier et d'expliciter les raisons de ce succès. En particulier, je montrerai que, au-delà des qualités narratives et graphiques de la série signée par Michel Rabagliati, celle-ci comporte des aspects qui opèrent sur un plan subjectif, émotif : le choix du genre autofictionnel, la transparence du bédéiste, sa sensibilité, sa stupéfiante capacité de recréer le passé (personnel aussi bien que collectif), l'ancrage géographique et historique, la justesse de la langue, la proximité pour les lectrices et les lecteurs des enjeux dramatiques. Je présenterai tous ces aspects, qui concourent à ce qu'on se sente interpelé et qu'on s'y reconnaisse, ainsi que des aspects plus techniques, tels que le style de dessin très graphique, qui confère au héros un visage schématique qui agit tel un masque, sur lequel tout lecteur ou toute lectrice peut projeter son propre visage. Paul, c'est beaucoup Rabagliati… et c'est un peu chacun de nous.