Documents repérés

  1. 71.

    Article publié dans Archipel (savante, fonds Persée)

    Volume 53, Numéro 1, 1997

    Année de diffusion : 2009

  2. 72.

    Article publié dans Revue Gouvernance (savante, fonds Érudit)

    Volume 18, Numéro 1, 2021

    Année de diffusion : 2021

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    À partir de différentes enquêtes de terrain, cet article retrace les origines du programme de réparation communautaire au Maroc, un programme de développement socioéconomique et culturel en faveur de régions dont les populations relient leur situation aux « violations graves des droits humains » perpétrées durant les années 1960 à 1990. Prenant appui sur des travaux de sociologie des problèmes publics, l'article revient sur l'émergence et l'élaboration territorialisées de mesures de « justice transitionnelle ». Pour ce faire, nous analysons la constitution en problème des effets territorialisés de la répression par des acteurs associatifs locaux. Ils qualifient des situations et mettent en cause la présence de centres de détention secrets et l'état social et économique de leurs localités qui en résulterait. Ces acteurs appellent des réponses publiques inscrites dans le territoire particulier du Sud-Est marocain. Ensuite, nous montrons que ces acteurs associatifs proposent une désingularisation nouvelle de la répression : la violence a marqué des territoires et non plus des individus ou des groupes militants. Cette mise en cause entre en résonance avec des problématiques internationales (la « justice transitionnelle » saisie par le développement) et des éléments des trajectoires des commissaires de l'Instance Equité et Réconciliation, la commission vérité marocaine, aboutissant à l'élaboration d'une action publique à l'échelle nationale.

    Mots-clés : Maroc, Sud-Est, répression, réparation communautaire, ONG, action publique, Morocco, South East, repression, community reparation, NGO, public policy

  3. 73.

    Article publié dans Documentation et bibliothèques (savante, fonds Érudit)

    Volume 21, Numéro 2, 1975

    Année de diffusion : 2019

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    L'implantation et le développement des bibliothèques dans le Tiers-Monde connaissent plusieurs problèmes. La formation du personnel professionnel sur place n'est pas réellement possible étant donné le manque d'écoles de bibliothéconomie, ce qui favorise l'émigration de ces spécialistes. Le petit nombre de bibliothèques nationales et leur évolution embryonnaire rend difficile la création de bibliographies nationales qui sont de première nécessité avant que ne disparaisse une partie du patrimoine intellectuel. La nécessité d'organiser de véritables archives ne s'est pas encore fait suffisamment ressentir. En participant à un système international d'information, le Tiers-Monde pourrait ainsi maximiser ses ressources encore insuffisantes.

  4. 74.

    Article publié dans Archipel (savante, fonds Persée)

    Volume 77, Numéro 1, 2009

    Année de diffusion : 2013

  5. 75.

    Note publié dans Revue française de science politique (savante, fonds Persée)

    Volume 45, Numéro 3, 1995

    Année de diffusion : 2008

  6. 76.

    Story, Jonathan

    Le printemps de Madrid

    Article publié dans Politique étrangère (savante, fonds Persée)

    Volume 43, Numéro 1, 1978

    Année de diffusion : 2013

  7. 77.

    Article publié dans Annuaire français de droit international (savante, fonds Persée)

    Volume 63, Numéro 1, 2017

    Année de diffusion : 2022

  8. 78.

    Autre publié dans Revue d'économie financière (savante, fonds Persée)

    Volume 92, Numéro 2, 2008

    Année de diffusion : 2012

  9. 79.

    Article publié dans Annuaire français de droit international (savante, fonds Persée)

    Volume 25, Numéro 1, 1979

    Année de diffusion : 2017

  10. 80.

    Eskenazi, André

    De quelques sigles

    Article publié dans Linx (savante, fonds Persée)

    Volume 30, Numéro 1, 1994

    Année de diffusion : 2014

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    L'introduction, qui discrimine l'abréviation du sigle, identifie déjà le sigle comme une refonte de la désignation en plein (1). L'examen des situations contextuelles où les deux réalisations se présentent conjointement révèle notamment que la seconde a pour propriété de caractériser le réfèrent comme un être notoire. Dans certains cas, la première est même escamotée, surtout quand on a un sigle équivoque et~ou en bas de casse. Signe autonome, le sigle devient parfois appellation (2-3). On considère ensuite les processus qui permettent au signifiant de se constituer à partir de la base ; l'autonomie révélée plus haut n'en est que plus tangible : c'est la désignation analytique, bien souvent, qui s'adapte à la synthétique, considérée comme une fin (4). Le décrochage par rapport à la base est rendu totalement évident par l'inventaire des situations d'où la "base" est évincée -"une grosse PME", "logement HLM"-, et des cas où elle n'a pas le même rendement informatif que le sigle, qui seul dit la réalité -"un SDF" n'est pas "un sans domicile fixe"- (5). On termine en observant les désignations des sociétés commerciales : le signe cesse d'être sigle, ou même appellation, pour devenir marque (6).