Documents repérés

  1. 10141.

    Article publié dans Les Cahiers des Dix (savante, fonds Érudit)

    Numéro 11, 1946

    Année de diffusion : 2021

  2. 10142.

    Article publié dans Ethnologies (savante, fonds Érudit)

    Volume 29, Numéro 1-2, 2007

    Année de diffusion : 2008

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    RésuméEn 1949, l'anthropologue Marius Barbeau recruta Margaret Sargent, jeune musicienne de formation classique de l'Ontario, pour travailler avec lui au Musée national du Canada. En tant que première musicologue jamais employée par cette institution, la première tâche de Sargent fut de transférer les enregistrements des cylindres phonographiques de cire sur bande magnétique. Tandis qu'elle travaillait à la massive collection de Barbeau, Sargent commença à s'intéresser à la collecte de chansons folkloriques et lui proposa de se rendre à Terre-Neuve pour effectuer des recherches. En 1950, avec l'appui de Barbeau, elle passa huit semaines dans la province, recueillant des chansons, des airs de violon et d'autres matériaux folkloriques, principalement à Saint-John's et à Branch. Mais, bien qu'elle ait réalisé la première recherche subventionnée dans le domaine des traditions de la chanson folklorique à Terre-Neuve, les activités de Sargent pour le Musée national sont peu connues, car elle n'a rien publié de son travail à Terre-Neuve. Au lieu de cela, son successeur, Kenneth Peacock, est souvent considéré comme étant celui qui a inauguré cette recherche. Bien que par la suite Peacock ait visité six fois la province et qu'il ait fini par publier un recueil en trois volumes des Songs of the Newfoundland Outports (1965), c'est Sargent qui avait lancé le programme de recherche en chansons folkloriques du Musée dans cette province. Cet article, qui se base en partie sur des entrevues avec Sargent autant que sur ses notes de terrain et ses enregistrements, relate en détail son travail de terrain à Terre-Neuve et décrit le type de matériaux qu'elle put recueillir au cours de son été passé sur le terrain. Il souligne les défis auxquels Sargent avait eu à faire face sur le terrain à Terre-Neuve et comment son travail précurseur a facilité plus tard les recherches de Peacock.

  3. 10143.

    Article publié dans Dalhousie French Studies (savante, fonds Érudit)

    Numéro 120, 2022

    Année de diffusion : 2022

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    Cet article explore la manière dont Le Parfum du jour est fraise de Pascale Petit illustre le concept de la performativité dans un contexte littéraire et la façon dont cette tendance performative se prête à une relecture proprement translationnelle de l’oeuvre. L’analyse se penchera en premier sur une discussion des contours conceptuels généraux de la performativité. Ensuite, on présente une étude de la manière dont « la voix » du poème – le destinateur qui commande et manipule et contrôle tout – efface la distinction entre le destinataire et le lecteur, et comment elle arrive à contrôler et à façonner ce dernier en tant que sujet d’une expérience quasi-scientifique. Ensuite, la discussion portera sur la performativité dans la traductologie et dans l’expérience de la traduction de ce texte en anglais.

  4. 10144.

    Article publié dans Cahiers franco-canadiens de l'Ouest (savante, fonds Érudit)

    Volume 28, Numéro 1, 2016

    Année de diffusion : 2016

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    En postulant, d'une part, que la construction textuelle de la figure de l'artiste, que celui-ci soit écrivain, peintre ou musicien, a forcément quelque chose d'autofictionnel et, d'autre part, que les rapports que l'artiste sent avoir vis-à-vis des instances de la légitimation reçoivent un traitement métaphorique sur le plan de la spatialisation, nous nous intéresserons dans cet article aux façons dont la nouvelle traite de l'artiste, de la pratique et de la réception de son art. La prémisse principale est que les conditions de production réelles infléchissent la construction des conditions fictives de sorte que plus l'écrivain se perçoit légitimé, plus l'artiste imaginaire chez lui a tendance à circuler dans des espaces définis et d'ordre institutionnel. Le choix des écrivaines à l'étude permettra de valider cette prémisse dans la mesure où elles écrivent ou écrivaient toutes en tant que résidantes de l'Ouest canadien, mais en entretenant chacune des rapports avec une francophonie différente et aussi, par conséquent, avec des institutions littéraires différentes. Il s'agit de Marguerite-A. Primeau, Lise Gaboury-Diallo, Gisèle Villeneuve et Claudine Potvin.

  5. 10145.

    Martel, Richard, Loubier, Patrice, Létourneau, André Éric, Sioui Durand, Guy, Alain, Danyèle, Pageau, Yvan et Blais, Sylvie

    Rencontre internationale d'art performance de Québec

    Article publié dans Inter (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 62, 1995

    Année de diffusion : 2010

  6. 10146.

    Article publié dans Reflets (savante, fonds Érudit)

    Volume 23, Numéro 2, 2017

    Année de diffusion : 2018

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    La marche La rue, la nuit, femmes sans peur s'inscrit dans deux dynamiques du mouvement féministe occidental renaissant dans les années 1970, soit celle de la mise en place de nouvelles stratégies d'action politique et celle de la dénonciation des violences sexuelles faites aux femmes. Cette marche revêt aussi un aspect original par son caractère international qui s'est développé rapidement grâce entre autres à l'essor des réseaux féministes radicaux américains et européens. Le présent article relatera les origines de ces marches, particulièrement aux États-Unis, au Canada, en Allemagne, en Angleterre et en France, en tentant de découvrir l'origine de la première marche. À partir d'un travail dans les archives canadiennes surtout pour la période 1980-1990, certains des aspects de la marche, tels que le symbolisme de la réappropriation de la nuit par les femmes, la solidarité entre les femmes du monde entier et la célébration de la force des femmes, seront mis en relief.

    Mots-clés : violence faite aux femmes, marches nationales et internationales, mouvement féministe, violences sexuelles, violence against women, sexual violences, feminist movement, national and international marches

  7. 10147.

    Cartier, Sylvie C., Martel, Virginie, Arseneault, Julie et Mourad, Éliane

    APPRENDRE EN LISANT AU PRIMAIRE EN RECOURANT À DES TEXTES INFORMATIFS ILLUSTRÉS : ÉTUDE EXPLORATOIRE

    Article publié dans Revue de recherches en littératie médiatique multimodale (savante, fonds Érudit)

    Volume 2, 2015

    Année de diffusion : 2018

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    Une situation de lecture essentielle à la réussite de l'élève dans toutes disciplines est l'apprentissage par la lecture (APL). Afin de soutenir leurs élèves en ce sens, des enseignants d'une école urbaine en milieu défavorisé ont développé de manière collaborative une approche type de situation d'APL qu'ils adaptent selon leurs groupes et selon la discipline enseignée. La présente étude a pour objectif d'explorer la relation entre la situation d'APL, conçue par ces enseignants de 3e cycle, comprenant les tâches à réaliser et les documents de lecture proposés, et les réponses des élèves aux diverses tâches. Les principaux résultats montrent que peu des tâches proposées demandent réellement de lire et que la source d'information principale demeure textuelle. Conséquemment, le recours à l'image comme support informatif reste encore marginal et la planification de tâches d'APL, de même que le choix des textes, reste un défi majeur à relever dans la planification d'une situation d'APL au primaire.

    Mots-clés : apprentissage par la lecture, littératie illustrée, primaire, apprentissage autorégulé, lecture, learning through reading, visual literacy, elementary, self-regulated learning, reading

  8. 10148.

    Article publié dans Documentation et bibliothèques (savante, fonds Érudit)

    Volume 63, Numéro 2, 2017

    Année de diffusion : 2017

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    Le présent article explore le passé, le présent et l'avenir du marketing en bibliothèque aux États-Unis. Bien que les bases de celui-ci aient été posées il y a plus d'un siècle, les bibliothèques ne sont pas toutes à jour en matière de connaissances et de pratiques du marketing. Il y a celles qui tirent avantage d'une grande superficie, d'une équipe d'envergure et d'un budget en conséquence, et d'autres qui manquent de certaines nécessités. C'est dans ce paysage contrasté que l'auteure aborde la question des organisations et des publications qui appuient le marketing en bibliothèque, classe les tendances qui se dessinent en quatre catégories, puis dresse la liste des campagnes promotionnelles et des prix de reconnaissance à l'échelle nationale. Une attention particulière a été accordée aux défis constants qui se posent et aux futurs scénarios possibles.

  9. 10149.

    Article publié dans Recherches sémiotiques (savante, fonds Érudit)

    Volume 35, Numéro 2-3, 2015

    Année de diffusion : 2018

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    Le Théâtrophone, le téléphone, le phonographe et le gramophone, reposaient sur le principe de l'écoute aveugle dont les effets dramaturgiques ont été particulièrement exploités par la radio et le théâtre, mais aussi le cinéma. Ici, loin des yeux, loin des corps, les sons et les voix reproduits et transmis à travers des haut-parleurs sont désincarnés. Le fantôme de cette écoute persiste et ressurgit dans les mises en scène contemporaines où, notamment, la voix est séparée du corps et les bruits n'ont pas de décor. Elle est au travail dans les pièces de Maurice Maeterlinck (Les Aveugles, L'Intruse, Intérieur, La mort de Tintagiles), de Samuel Beckett (La dernière bande, Dis Joe, Pas moi, Berceuse, Cendres), de Carlo Emilio Gadda (Eros et Priape, Saint Georges chez les Brocchi), Ibsen (Un ennemi du peuple, Les Revenants, Solness le constructeur, Quand nous nous réveillons d'entre les morts), de Jean Tardieu (Une voix sans personne), de Marguerite Duras (L'Amante anglaise, India Song, Savannah Bay) et sans doute dans bien d'autres qui mériteraient d'être analysées sous cet angle. Ce texte présente quelques pistes pour une archéologie de la mise en scène de cette écoute particulière à travers quelques dispositifs de la fin du XIX° siècle, période cruciale, car elle recèle bon nombre d'inventions techniques.

    Mots-clés : écoute aveugle, théâtre, cinéma, radio, disque, bande magnétique, archives théâtre, Maurice Materlinck, Blind Listening, Sound, Theater, Cinema, Radio, Maurice Materlinck

  10. 10150.

    Watts, Duncan J. et Libbrecht2, Liz

    Le sens commun et les explications sociologiques

    Article publié dans Sociologie et sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 49, Numéro 2, 2017

    Année de diffusion : 2018