Documents repérés

  1. 171.

    Bérubé, Robert-Claude

    Tournage

    Article publié dans Séquences (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 122, 1985

    Année de diffusion : 2010

  2. 172.

    Article publié dans Québec français (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 34, 1979

    Année de diffusion : 2010

  3. 173.

    Article publié dans Nuit blanche, le magazine du livre (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 116, 2009

    Année de diffusion : 2010

  4. 174.

    Article publié dans Vie des arts (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 53, Numéro 214, 2009

    Année de diffusion : 2010

  5. 175.

    Daigneault, Gilles

    Le trimestre en huit

    Article publié dans Vie des arts (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 30, Numéro 121, 1985

    Année de diffusion : 2010

  6. 176.

    Article publié dans XYZ. La revue de la nouvelle (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 51, 1997

    Année de diffusion : 2010

  7. 177.

    Article publié dans Tangence (savante, fonds Érudit)

    Numéro 40, 1993

    Année de diffusion : 2004

  8. 178.

    Gendron, Nicolas

    À l'ombre des mots

    Article publié dans Ciné-Bulles (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 38, Numéro 2, 2020

    Année de diffusion : 2020

  9. 179.

    Article publié dans Tangence (savante, fonds Érudit)

    Numéro 120, 2019

    Année de diffusion : 2020

    Plus d’information

    Jusqu'au début du xixe siècle, il n'était pas impossible pour un individu de tenir dans son seul esprit, et donc dans sa mémoire, l'ensemble raisonnable des connaissances nécessaires à la compréhension du monde où il vivait — possibilité dont Milan Kundera a fait de Goethe la figure emblématique. La multiplication des savoirs et des techniques, à partir du milieu xixe siècle, a mis fin à cette possibilité et donné naissance à ce que le critique Richard Terdiman a appelé la « crise de la mémoire », c'est-à-dire l'expérience déstabilisante d'une mémoire ressentie comme partielle et tronquée. Entre cette crise et le développement du roman au xixe siècle, il est possible d'établir un parallèle : le souvenir, par définition imparfait, que l'on a de la lecture d'un roman recoupe la mémoire également imparfaite que l'on commence alors à avoir du savoir humain. À partir de cette hypothèse, trois grands moments de cette convergence — le moment balzacien (moment de résistance à l'oubli), le tournant du xxe siècle (moment d'acceptation de l'oubli) et la période contemporaine (moment de mise à distance de la mémoire) — sont ici envisagés pour voir comment la lecture des romans accompagne notre rapport à la mémoire.

  10. 180.

    Thèse déposée à McGill University

    2002