Documents repérés

  1. 741.

    Article publié dans Lettres québécoises (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 102, 2001

    Année de diffusion : 2010

  2. 742.

    Article publié dans Lettres québécoises (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 50, 1988

    Année de diffusion : 2010

  3. 743.

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 35, Numéro 3, 1993

    Année de diffusion : 2010

  4. 744.

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 109, 2007-2008

    Année de diffusion : 2010

  5. 745.

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 52, 1993

    Année de diffusion : 2010

  6. 746.

    Article publié dans Nuit blanche, le magazine du livre (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 69, 1997

    Année de diffusion : 2010

  7. 747.

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 56, 1994

    Année de diffusion : 2010

  8. 748.

    Ouellet, François

    Daniel Poliquin

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 62, 1995-1996

    Année de diffusion : 2010

  9. 749.

    Article publié dans Nuit blanche (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 114, 2009

    Année de diffusion : 2010

  10. 750.

    Article publié dans Voix et Images (savante, fonds Érudit)

    Volume 40, Numéro 3, 2015

    Année de diffusion : 2015

    Plus d’information

    En 1972, André Major et Pierre Vadeboncoeur entament un dialogue épistolaire qui durera plus de trente ans. Cette correspondance inédite témoigne notamment de leur rapport à la littérature. Major et Vadeboncoeur y commentent leurs publications respectives, discutent de leurs intérêts communs, rendent compte de leur relation intime avec l'écriture, mais expriment aussi leurs désaccords. Dès les premières lettres, le lecteur constate qu'ils éprouvent tous deux un profond sentiment d'incomplétude que seules la création et l'écriture sont susceptibles de pallier. Selon André Major, la responsabilité essentielle qui lui incombe est d'écrire alors que, pour Vadeboncoeur, le tiraillement entre la littérature et l'engagement politique persiste et est vécu comme un véritable déchirement.