Documents repérés

  1. 41.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1997

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    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  2. 42.

    Thèse déposée à Université Laval

    1988

  3. 43.

    Thèse déposée à Université Laval

    1977

  4. 45.

    Article publié dans Laval théologique et philosophique (savante, fonds Érudit)

    Volume 65, Numéro 3, 2009

    Année de diffusion : 2010

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    Il n'est pas de discipline qui ait, autant que la psychanalyse, inquiété la philosophie de Paul Ricœur. Elle accompagne tout son chemin de pensée et ne cesse d'en troubler le cours. On aurait tort cependant de croire que ce long compagnonnage soit marqué avant tout par l'hostilité ou la polémique. Même dans l'Essai sur Freud, où elle incarne l'« herméneutique du soupçon », la psychanalyse est rencontrée non comme une ennemie certaine mais comme une alliée possible. Elle est le miroir que la philosophie se tend et où elle se voit elle-même comme une autre. C'est un véritable dialogue qui est ainsi noué entre elles. L'enjeu n'en est rien de moins que la compréhension de l'homme.

  5. 46.

    Compte rendu publié dans Revue générale de droit (savante, fonds Érudit)

    Volume 30, Numéro 2, 1999-2000

    Année de diffusion : 2014

  6. 47.

    Article publié dans Les ateliers de l'éthique (savante, fonds Érudit)

    Volume 10, Numéro 3, 2015

    Année de diffusion : 2016

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    C'est surtout de Joan C. Tronto que les ambassadrices du care se réclament en France, davantage que de Carol Gilligan. Je montre ici (partie 1) qu'une certaine tendance du discours français sur le care peut être diagnostiquée comme le symptôme d'une culture désenchantée, dépouillant le monde non de ses dieux, mais de ses dimensions esthétique, artistique et imaginative. Le renversement que ce discours tend à opérer, de la figure morale de l'autonomie à celle de la vulnérabilité, illustrerait ce « symptôme ». C'est plus précisément l'idée du care comme « maintien du monde » (maintaining the world) chez Tronto que je critique (partie 2), puisque l'auteure exclut de ces activités les domaines esthétique, artistique et intellectuel. Je discute trois auteures ayant déjà critiqué cette notion de care (Barbara Koziak, Sophie Cloutier et Naïma Hamrouni), qui chacune font progresser mon propos vers ce que je considère être un oubli du monde « existentiellement » habitable chez la philosophe. Enfin je contribue à combler ce qui manque dans la théorie de Tronto (partie 3), soit un horizon esthétique et une réflexion sur le langage qui s'encastre dans une herméneutique du soi. Je me penche alors sur un care qui consiste à veiller sur la « fragilité du langage politique » chez Paul Ricoeur. Je conclus que s'agissant de faire du care une valeur publique à la fois féministe et soucieuse non seulement de la vie, mais aussi du monde, les activités artistiques, intellectuelles et éducationnelles sont de loin les plus efficaces, contrairement à ce que Tronto semble penser.

  7. 48.

    Article publié dans Laval théologique et philosophique (savante, fonds Érudit)

    Volume 40, Numéro 2, 1984

    Année de diffusion : 2005

  8. 49.

    Autre publié dans Philosophiques (savante, fonds Érudit)

    Volume 41, Numéro 2, 2014

    Année de diffusion : 2014

  9. 50.

    Article publié dans Laval théologique et philosophique (savante, fonds Érudit)

    Volume 36, Numéro 3, 1980

    Année de diffusion : 2005