Documents repérés

  1. 41.

    Article publié dans Québec français (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 93, 1994

    Année de diffusion : 2010

  2. 43.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1995

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  3. 44.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    2004

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  4. 45.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    2004

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  5. 46.

    Thèse déposée à Université de Montréal

    1999

    Plus d’information

    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

  6. 47.

    Thèse déposée à McGill University

    1911

    Plus d’information

    Le naturalisme, école littéraire qui tient à la fois de l'art et de la science a atteint l'apogée de son succès avec Emile Zola dont la tendance instinctive fut de ce retourner vers la science, et de produire, à l'aide de sa volonté indomptable et de ses facultés puissantes, une série d'oeuvres constituant un tout. [...]

  7. 48.

    Article publié dans VertigO (savante, fonds Érudit)

    Volume 15, Numéro 2, 2015

    Année de diffusion : 2016

    Plus d’information

    Le bassin de la Seine a longtemps constitué l'hinterland nourricier de l'agglomération parisienne. Aujourd'hui, les pollutions diffuses liées à l'usage de pesticides et engrais chimiques ainsi qu'à la concentration des ateliers d'élevage, entrainent notamment la fermeture de nombreux captages d'eau potable et l'eutrophisation des zones marines côtières. Cette étude vise à reconstituer une image biogéochimique de la Beauce, à la fin du XIXe siècle, entre grandes exploitations progressistes (200 ha) et petits héritages parcellaires traditionnels (moins de 10 ha). Les performances agronomiques et environnementales de ces systèmes sont évaluées en reconstruisant les bilans d'azote des sols à partir des statistiques agricoles historiques et des éléments sur la vie rurale et les pratiques agricoles contenus dans le célèbre roman naturaliste d'Émile Zola, La Terre. La céréaliculture avait alors déjà pris un essor formidable avec l'abandon de la jachère au profit d'une sole de légumineuses fourragères fixatrices d'azote valorisées par le bétail qui assurait via ses déjections le transfert de cet azote vers les terres labourables. Nous montrons que dans ces systèmes de polyculture-élevage les flux d'azote étaient équilibrés et les pertes environnementales minimes, garantissant une bonne qualité des eaux infiltrées. Dans les grands domaines, la diminution des surfaces en prairies (qui ne représentaient plus que 10 % de la surface agricole utile) et la mécanisation ont permis d'accroître considérablement la capacité commerciale d'exportation céréalière et du territoire, avec 1460 kgN/km²/an soit 98 % de la production céréalière, et ainsi de soutenir la population urbaine grandissante de la révolution industrielle.

    Mots-clés : azote, Paris, agrosystème, polyculture-élevage, qualité de l'eau, alimentation, XIXe siècle, Zola, nitrogen, Paris, agro-system, mixed farming, water quality, food, XIXth centuty, Zola

  8. 49.

    Article publié dans TTR (savante, fonds Érudit)

    Volume 35, Numéro 2, 2022

    Année de diffusion : 2023

    Plus d’information

    La littérature étrangère n'a cessé de représenter une menace pour l'Espagne franquiste. Les traductions produites à l'époque étaient systématiquement soumises à un examen destiné à détecter tout contenu subversif. Les censeurs avaient alors tout le loisir de caviarder ou même de réécrire des passages entiers d'oeuvres considérées comme potentiellement dangereuses. Par le biais de l'étude des traductions littéraires réalisées durant cette époque, il est possible d'observer dans quelle mesure les idées dissidentes ou contraires à l'ordre établi pouvaient ainsi être neutralisées, ou tout bonnement transformées en discours bienveillants envers le pouvoir en place. La plupart de ces oeuvres étrangères ont été retraduites depuis la fin de la dictature : certaines, cependant, circulent encore sous la forme censurée qui leur fut alors donnée. C'est le cas de La Terre, d'Émile Zola : ce roman, qui s'est attiré les foudres de la critique et des autorités à Paris, à Londres ou à Rome, pour son supposé caractère immoral voire tout à fait obscène, a donné lieu, en plein franquisme, à deux versions en espagnol. Pourtant, dans celles-ci, c'est manifestement le traitement de la question religieuse qui a posé le plus problème. Le sentiment antireligieux qui plane sur la communauté paysanne dépeinte dans cet épisode des Rougon-Macquart est complètement détourné, et le phénomène de déchristianisation qui s'y produit laisse même place, dans les deux traductions, à un renforcement de la foi. À travers l'analyse de ces versions en phase avec l'orthodoxie franquiste, cette étude a pour objet de reconstruire la micro-histoire du grand roman paysan de Zola dans le contexte de son importation au sein du système littéraire encadré par la dictature espagnole, en envisageant les processus de réception, de conditionnement et d'appropriation auxquels il a été soumis afin d'en assurer la conformité idéologique.

    Mots-clés : Franquisme, traduction, Zola, religion, censure, Francoist system, translation, Zola, religion, censorship

  9. 50.

    de Grandpré, Chantal

    La vanité du journaliste

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 31, Numéro 2, 1989

    Année de diffusion : 2010