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8381.Plus d’information
Louis XIV, vers 1700, lança une vaste entreprise de publication des actes législatifs royaux depuis Hugues Capet. La tâche fut successivement confiée à différentes institutions : la Chancellerie (jusqu’en 1790) puis l’Académie des inscriptions et belles-lettres (1804-1849) produisirent le premier «Recueil des ordonnances » , conçu comme un instrument juridique avant de se muer, avec la chute de l’Ancien Régime, en publication historique de la législation royale jusqu’en 1514. Ensuite, l’Académie des sciences morales et politiques (1883-1990) puis l’université Paris-IV, désormais avec le concours du CNRS et des Archives nationales, ont publié le Catalogue des actes de François Ier, suivi de celui des actes de Henri II, ainsi que la «Collection des ordonnances » . Irremplaçable instrument pour connaître l’évolution du pouvoir royal et plus généralement l’histoire sociale et institutionnelle, mais aussi reflet de l’évolution des conceptions et méthodes de l’histoire, l’entreprise se poursuit désormais en s’adaptant aux moyens nouveaux d’édition et de diffusion.
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8385.
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8387.
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8388.Plus d’information
Le coton en France, comme dans la plupart des pays d'Europe, a ceci de particulier qu'il est à la fois le textile le plus important sous beaucoup de rapports et qu'il dépend entièrement de l'importation. A vrai dire, seule l'importation de matière brute est indispensable. L'industrie nationale est assez fortement outillée pour assurer la transformation du coton brut en produit fini. Le présent travail traite du coton brut envisagé au point de vue de l'économie française. Il passe ensuite en revue les branches de la filature et du tissage. Il se borne à ouvrir des perspectives sur les stades de fabrication ultérieurs qui constituent des branches communes à plusieurs textiles, ce qui est le cas notamment de l'industrie du vêtement.
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