Documents repérés

  1. 8451.

    Autre publié dans Relations industrielles (savante, fonds Érudit)

    Volume 25, Numéro 4, 1970

    Année de diffusion : 2005

  2. 8452.

    Autre publié dans Annales de Géographie (savante, fonds Persée)

    Volume 31, Numéro 173, 1922

    Année de diffusion : 2006

  3. 8453.

    Autre publié dans Assurances et gestion des risques (savante, fonds Érudit)

    Volume 79, Numéro 1-2, 2011

    Année de diffusion : 2022

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    Cet article fait le point sur la méga-catastrophe japonaise du 11 mars 2011, d’abord le tremblement de terre de magnitude 9 suivi d’un gigantesque tsunami, et de l’accident nucléaire qui s’ensuivit à la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi.Le tremblement de terre et le tsunami ont causé 28 000 pertes de vie et détruit un nombre considérable de bâtiments résidentiels et commerciaux. Il est encore trop tôt pour mesurer l’ampleur de la triple catastrophe et de son impact tant sur l’économie japonaise que sur le marché de l’assurance. Il est toutefois possible de décrire les premières démarches gouvernementales et de mesurer l’impact de cette catastrophe sur le marché mondial de la réassurance.Il est possible de tirer certaines conclusions préliminaires sur l’importance de se questionner sur la prévention des catastrophes naturelles et technologiques.

  4. 8454.

    Publié dans : Actes de la 21ejournée : Sciences et Savoirs aux frontières de la connaissance , 2015 , Pages 197-219

    2015

  5. 8455.

    Note publié dans Annuaire français de droit international (savante, fonds Persée)

    Volume 30, Numéro 1, 1984

    Année de diffusion : 2017

  6. 8456.

    Article publié dans Criminologie (savante, fonds Érudit)

    Volume 17, Numéro 1, 1984

    Année de diffusion : 2005

  7. 8457.

    Chaire Desjardins en développement des petites collectivités (UQAT)

    2003

  8. 8458.

    Autre publié dans Etudes et conjoncture - Institut national de la statistique et des études économiques (savante, fonds Persée)

    Volume 21, Numéro 3, 1966

    Année de diffusion : 2019

  9. 8459.

    Article publié dans Cahiers du monde russe : Russie, Empire russe, Union soviétique, États indépendants (savante, fonds Persée)

    Volume 37, Numéro 2, 1996

    Année de diffusion : 2013

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    Stéphane A. Dudoionon, La question scolaire à Boukhara et au Turkestan russe, du «premier renouveau » à la soviétisation (fin du XVIIIe siècle- 1937).Les écoles musulmanes de l'Asie Centrale pré-moderne {maktab et madrasa) ont longtemps passé pour survivances attardées d'un ordre que le triomphe du modernisme colonial vouait irrémédiablement à une prompte disparition. Cependant c'est entre les murs des grandes écoles théologiques et juridiques de Boukhara que s'élabora, dès la fin du XVIIIe siècle, un renouveau profond de renseignement, fondé sur le retour à l'étude et l'interprétation directe des textes sacrés et induisant à ce titre une véritable révolution éthique. Ce premier renouveau boukhare exerça une influence déterminante sur le mouvement réformiste apparu au milieu du XIXe siècle au nord de l'Asie Centrale, dans les principales villes musulmanes de la région Volga-Oural. La renaissance de l'Islam tatar, dynamisée par la révolution de Russie en 1905, devait ensuite influer en retour sur la réforme scolaire en Asie Centrale méridionale, se conjuguant à de multiples influences extérieures dont les moindres ne furent pas celles de l'Inde et de l'Empire ottoman — une place particulière revenant aux organisations constitutionnalistes iraniennes, très présentes au Turkestan russe comme en Boukharie dans la première décennie du siècle. Tandis que la réforme du kalâm (théologie dogmatique) et celle du fiqh (droit musulman) empruntaient l'essentiel de leurs arguments aux auteurs du renouveau des madrasa boukhares de la première moitié du xixc siècle, la réforme scolaire s'iaspira très directement, elle, des expériences systématisées daas le monde tatar (Volga-Oural et Crimée) à partir des années 1890. La nouvelle méthode était axée sur l'apprentissage rapide de la lecture et de l'écriture grâce à un enseignement donné dans la langue maternelle des enfants et non plus par la déclamation mécanique du Coran. Ce changement riche de conséquences permit l'apparition d'un enseignement éthique et scientifique en langues nationales et suscita indirectement, partout en Asie Centrale, la naissance des premières écoles musulmanes en langues ethniques.La question scolaire en Asie Centrale revêtait d'emblée des enjeux politiques, dont les observateurs russes ne tardèrent d'ailleurs pas à comprendre l'importance. Au Turkestan sous administration tsariste, la réforme des maktab fut perçue comme le moyen d'acquérir une égalité en droits avec les populations européennes de l'Empire, en prélude à un contrôle autochtone des richesses de la région et à un début d'autonomie politique. Dans le protectorat de Boukhara cependant, État musulman théoriquement indépendant fondé en droit sur la charia, toute tentative de réforme de l'enseignement théologique et juridique était indissociablement liée à une critique du régime des émirs. L'hostilité des oulémas traditionalistes et la politique de balancier des souverains et de leurs vizirs contraignirent le plus souvent les partisans de la réforme scolaire à l'action clandestine. Les sociétés secrètes fondées successivement pour promouvoir la modernisation des maktab et des madrasa furent la base sur laquelle se développèrent les sociabilités politiques de la région jusqu'à la soviétisation. Parallèlement le positionnement des forces en présence sur la question de l'enseignement recoupa des clivages sociaux et politiques durables de la Boukharie, parmi lesquels la rivalité entre factions reposant sur des bases régionales (gens de Boukhara contre ceux de Koulâb) ou communautaires (voir le positionnement des minorités juive ou chiite) semble avoir joué un rôle déterminant.

  10. 8460.

    Article publié dans Revue de géographie alpine (savante, fonds Persée)

    Volume 24, Numéro 1, 1936

    Année de diffusion : 2007