Documents repérés

  1. 8671.

    Autre publié dans Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (savante, fonds Persée)

    Volume 93, Numéro 4, 1949

    Année de diffusion : 2009

  2. 8673.

    Autre publié dans Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (savante, fonds Persée)

    Volume 37, Numéro 2, 1893

    Année de diffusion : 2010

  3. 8674.

    Chaire de recherche du Canada en développement des collectivités

    2004

  4. 8675.

    Note publié dans Revue néo-scolastique de philosophie (savante, fonds Persée)

    Volume 40, Numéro 53, 1937

    Année de diffusion : 2010

  5. 8676.

    Héliot, Pierre

    Le château de Loches

    Article publié dans Bulletin Monumental (savante, fonds Persée)

    Volume 145, Numéro 1, 1987

    Année de diffusion : 2014

    Plus d’information

    Le château de Loches.Devenu vers l'an 900 possession des comtes d'Anjou, le château de Loches resta une redoutable forteresse jusqu'au début du XIe siècle, époque à laquelle, grâce à l'action militaire de Philippe-Auguste, il revint à la Couronne de France. De cette première période subsistent : 1) une partie de la motte primitive, datable au plus bas du XIe siècle et située contre le mur oriental du donjon ; 2) l'actuel donjon, construit aux environs de 1100 après abandon d'un premier projet dont on peut relever des témoins nombreux et précis ; 3) la tour-porche de la collégiale Notre-Dame ; 4) quelques vestiges d'une courtine appuyée contre les angles méridionaux du donjon et le chemisant vers l'ouest et l'est ; 5) quelques vestiges d'une dépendance de l'ancien domicilium, qui devait s'élever sensiblement à l'emplacement de l'actuel Logis royal ; 6) Dominant l'actuel fossé, une courtine épaulée de tours pleines. Les deux sièges menés l'un en 1194 par Richard-Cœur-de-Lion, l'autre en 1205 par Philippe-Auguste, permirent à ces deux vainqueurs successifs de constater les insuffisances d'une forteresse qui commençait à se démoder et dont l'apparente puissance ne résultait que de son assiette sur un promontoire abrupt. Aussi s'efforça-t-on de renforcer la citadelle du côté méridional par un élargissement et un approfondissement du fossé et par la construction, étalée sur trois ou quatre décennies, des trois tours à éperon et d'une tour cylindrique à l'est du donjon, outre les parties basses du châtelet d'entrée. Mais, malgré ces aménagements, le château de Loches cessa de jouer l'important rôle militaire d'avant 1200. Sous les Valois — principalement sous Charles VII et Louis XII — , Loches fut une résidence royale. Vers l'extrémité du promontoire, Charles VII trouva un élégant manoir du xive siècle où il s'installa (actuel logis Charles VII). Louis XII fit construire, dans l'axe de ce logis, l'aile qui porte son nom. Quant à Louis XI, qui résida fort peu à Loches, il fit élever une grosse tour cylindrique (tour Louis XI) à l'angle sud-ouest de la citadelle. Au temps des guerres de religions, le château de Loches fut réduit au rôle effacé de dépôt d'armes et de ravitaillement.

  6. 8677.

    Autre publié dans Norois (savante, fonds Persée)

    Volume 9, Numéro 1, 1956

    Année de diffusion : 2010

  7. 8678.

    Autre publié dans Norois (savante, fonds Persée)

    Volume 110, Numéro 1, 1981

    Année de diffusion : 2010

  8. 8679.

    Proulx, Paul-Yvon et Lenoir, Joseph

    Arnold, Pirouette et Fil de fer

    Article publié dans Québec français (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 26, 1977

    Année de diffusion : 2010

  9. 8680.

    Autre publié dans Recherches amérindiennes au Québec (savante, fonds Érudit)

    Volume 37, Numéro 2-3, 2007

    Année de diffusion : 2021