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  1. 1851.

    Massé, Raymond

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    Autre publié dans Anthropologie et Sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 33, Numéro 3, 2009

    Année de diffusion : 2010

  2. 1852.

    Article publié dans Anthropologie et Sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 23, Numéro 3, 1999

    Année de diffusion : 2003

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    RésuméRÉSUMÉAnthropologie cognitiveC'est ici l'occasion de faire le point sur les récents développements de l'anthropologie cognitive. définie dans ses grandes lignes comme l'étude comparative de la cognition humaine dans son contexte linguistique et culturel. En réaction à la prépondérance de l'uni-versalisme au cours des années soixante-dix et quatre-vingt, il s'est fait récemment un certain nombre de réévaluations des rapports entre langue et cognition. et le champ de l'anthropologie cognitive s'épanouit dans plusieurs nouvelles directions en Amérique comme en Europe. Cela résulte en partie de ce qu'on a renouvelé et réévalué les façons d'aborder la relativité linguistique associée à Whorf. et en partie de l'enthousiasme suscité par les récents développements dans les sciences cognitives. Cet article offre un bref aperçu de l'histoire de l'anthropologie cognitive et passe en revue les travaux en cours des deux côtés de l'Atlantique. Il fait le point sur les nouvelles directions de recherche, en s'attachant, en guise d'exemple, aux travaux récents consacrés aux modèles culturels de même qu'au langage spatial et à la cognition. Ce tour d'horizon se termine en suggérant comment l'anthropologie cognitive pourrait contribuer directement tant au projet général des sciences cognitives qu'à l'étude anthropologique des rapports entre les idées et les pratiques culturelles, d'une part, et les structures et les processus de la cognition humaine, d'autre part.Mots clés : Brown. langage, cognition. culture, relativité linguistique, espace, modèles culturels

  3. 1853.

    Article publié dans Lien social et Politiques (savante, fonds Érudit)

    Numéro 50, 2003

    Année de diffusion : 2004

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    RésuméLe champ du handicap a subi de profondes transformations au cours des quatre dernières décennies dans la majorité des sociétés postindustrielles. Ce phénomène, qui influence les approches théoriques et la recherche à l'intérieur des sciences sociales, a fait surgir un nouveau paradigme émancipatoire basé sur une remise en cause des rapports entre le chercheur et le « sujet d'étude ». Dans cet article, nous explorons le développement de ce paradigme en nous appuyant sur l'expérience britannique, et nous discutons de son apport à la compréhension du handicap et des politiques sociales en abordant la question du rôle et de la position des acteurs au sein de la pratique de recherche.

  4. 1854.

    Article publié dans Revue d'histoire de l'Amérique française (savante, fonds Érudit)

    Volume 54, Numéro 2, 2000

    Année de diffusion : 2004

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    RésuméQuels sont les domaines en émergence en histoire urbaine au Canada et au Québec mis de l'avant par les travaux de recherche publiés dans les périodiques scientifiques depuis 1990 ? À partir d'une synthèse des travaux de recherche portant sur les villes québécoises, nous dégageons les thèmes, les approches et les outils d'analyse qui ont fait l'objet d'une attention soutenue de la part des chercheurs. En quoi les interrogations soulevées par ces derniers se distinguent-elles des questions que posaient les historiens il y a une quinzaine d'années ? D'une manière générale, dans le champ de l'histoire urbaine, les chercheurs ont-ils été influencés par le renouvellement du questionnement relatif à la production de la ville et des milieux urbains dans les autres disciplines ? Parmi les thèmes traités, certains ressortent: le pouvoir local, la place occupée dans la ville par les groupes sociaux en fonction de leur identité (ethnique, sexuelle, sociale), la ville comme lieu d'expression culturelle, les nouvelles formes urbaines et suburbaines.

  5. 1855.

    Article publié dans Recherches féministes (savante, fonds Érudit)

    Volume 10, Numéro 2, 1997

    Année de diffusion : 2005

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    La Charte ici présentée est proposée comme un outil, une démarche permanente, un plaidoyer, une contribution européenne qui vise à ouvrir et à nourrir le débat sur la citoyenneté et la place que les femmes devraient occuper au XXIe siècle dans la société et dans l'aménagement des villes du futur en associant deux paradigmes, celui de la démocratie paritaire et l'approche selon le genre. Fruit d'une collaboration d'expertes et d'experts de cinq pays d'Europe, la Charte met à profit des connaissances issues des études féministes autour d'une ligne directrice composée de cinq thèmes majeurs : la planification urbaine et le développement soutenable, la sécurité, la mobilité, l'habitat et les équipements, et elle propose une stratégie d'application. Un premier répertoire de 66 cas d'actions positives donne des exemples concrets. La priorité de cette recherche action qu'est la Charte consiste à promouvoir l'approche selon le genre pour renouveler les connaissances, mettre en évidence et briser les stéréotypes qui entravent encore l'évolution et l'émancipation de nos sociétés. L'approche selon le genre envisagée dans un objectif d'égalité entre les hommes et les femmes devient un élément scientifique novateur et sert de fil conducteur privilégié pour redynamiser les méthodes habituelles de travail dans les domaines de l'aménagement. La stratégie proposée insiste sur le rôle des chercheuses, de l'enseignement et de l'expérimentation, des médias et des réseaux, ces derniers étant à constituer et à relier pour créer des synergies d'action entre les femmes afin de travailler partout dans une même philosophie. C'est un appel à travailler ensemble en vue d'un premier rendez-vous donné en l'an 2000.

  6. 1856.

    Article publié dans Recherches féministes (savante, fonds Érudit)

    Volume 1, Numéro 1, 1988

    Année de diffusion : 2005

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    Cet article analyse la structure et l'évolution des programmes ainsi que la composition du personnel enseignant et administratif relatifs à trois disciplines du paramédical à l'Université de Montréal entre 1940 et 1970: la technologie médicale, la réhabilitation et la diététique. Il s'agit de programmes dont la clientèle est en grande majorité ou en totalité féminine. La problématique des auteures s'inscrit dans le cadre d'une analyse des rapports qui lient entre eux l'univers du «  care», qui fait référence à l'acte de soigner, et du «  cure», qui renvoie à un acte — médical ou autre — supposant un diagnostic et un traitement axés sur la guérison. À travers l'analyse des trois disciplines mentionnées plus haut, l'hypothèse que cherche à vérifier cette étude est double : 1°) Il existe une hiérarchie entre le « cure » et le « care » dans la mesure où ces notions renvoient à un savoir théorique plus valorisé que le savoir-faire pratique. Surtout lorsque ce savoir théorique se rapporte à la médecine. 2°) Dans la mesure où le savoir théorique médical (institutionnalisé) a été accessible surtout aux hommes-médecins, la hiérarchie des savoirs a débouché sur un rapport de pouvoir défavorable aux femmes.

  7. 1857.

    Autre publié dans Recherches féministes (savante, fonds Érudit)

    Volume 13, Numéro 2, 2000

    Année de diffusion : 2005

  8. 1858.

    Article publié dans Relations industrielles (savante, fonds Érudit)

    Volume 43, Numéro 1, 1988

    Année de diffusion : 2005

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    Cet article tente de classifier les principales théories de relations industrielles en fonction des paradigmes largement popularises en sciences sociales. Cette classification repose sur des caractéristiques traditionnellement reconnues dans le domaine scientifique, ce qui la distingue de la littérature existante.

  9. 1859.

    Article publié dans Recherches sociographiques (savante, fonds Érudit)

    Volume 15, Numéro 2-3, 1974

    Année de diffusion : 2005

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    Il est une idée communément admise non seulement par les historiens et les philosophes des sciences mais aussi par les scientifiques eux-mêmes, à savoir que la science a « une vie propre, une histoire immanente » et qu'elle se développe sur la base des connaissances antérieurement accumulées et selon une séquence logique. Il n'est donc guère étonnant que les premiers sociologues qui se sont intéressés à l'étude du développement de disciplines scientifiques aient tenté de démontrer que celui-ci est cumulatif et qu'il suit, comme le développement de la plupart des phénomènes naturels, la forme d'une courbe logistique. La publication en 1962 du livre de Thomas Kuhn, La structure des révolutions scientifiques, incite les sociologues d'une part à multiplier les recherches empiriques en sociologie de la science et, d'autre part, à découper le développement de disciplines scientifiques en périodes ou étapes. D'abord descriptives, ces études, qui sont le plus souvent effectuées par des chercheurs américains, s'inspirent habituellement d'une problématique soit « interactioniste » soit « institutionnaliste » : les transformations d'une discipline scientifique sont en effet principalement déterminées, pour les uns, par des modifications dans la structure des relations ou interactions entre les scientifiques et, pour les autres, par des modifications dans les organisations ou institutions scientifiques. Et, si ce n'est d'établir une vague relation entre l'apparition de nouvelles occupations intellectuelles et le changement de certaines « valeurs sociales », on tend à reconnaître l'autonomie du champ scientifique, évitant ainsi de déduire directement la structure, son fonctionnement et sa fonction de l'état des rapports de force entre groupes ou classes sociales. Il est évidemment difficile de nier qu'un champ scientifique dispose, en raison même de sa fonction propre de production de connaissances, une relative autonomie par rapport aux demandes externes qui sont toujours retraduites conformément à la logique propre du champ5. Cependant, il serait quelque peu idéaliste de croire que la structure et le fonctionnement d'un champ scientifique ne dépendent en aucune façon des fonctions différentes et parfois contradictoires que les divers groupes ou classes sociales objectivement intéressés à son fonctionnement lui confèrent en fonction même de leur position dans la structure sociale: le développement d'une discipline scientifique a en effet d'autant plus de chances d'être rapide et important que les praticiens de cette discipline obtiennent l'appui de groupes sociaux qui s'intéressent (au double sens du terme) à la recherche scientifique et qui la subventionnent directement ou exercent des pressions auprès de l'État pour que celui-ci en assume la responsabilité. La constitution d'une « communauté » scientifique, l'acquisition par ses membres d'une légitimité culturelle qui se matérialise dans l'obtention de postes universitaires n'apparaissent donc pas totalement indépendantes de la contribution que ces membres apportent au développement des forces productives, à la rationalisation de la gestion publique ou à l'élaboration d'idéologies. Il suit de cette proposition qu'il faut, dans une étude du développement de la sociologie au Québec, non pas réduire cette discipline à l'idéologie ou l'analyser comme une idéologie, mais rendre compte de l'utilisation que des groupes ou classes sociales ont faite de ce savoir et des intérêts qu'ils ont eus à l'utiliser: non seulement description des transformations de la structure et du fonctionnement d'un sous-champ scientifique, cette étude devient aussi l'analyse des transformations de la structure des rapports entre, d'une part, le sous-champ scientifique et, d'autre part, les champs politique, religieux et économique.

  10. 1860.

    Article publié dans Recherches sociographiques (savante, fonds Érudit)

    Volume 36, Numéro 2, 1995

    Année de diffusion : 2005

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    La recherche sur les enfants fut longtemps abordée à l'intérieur des domaines de la famille, de l'école, du loisir; seules la psychologie et les sciences de l'éducation considéraient l'enfant selon ses caractéristiques propres. Ce bilan sélectif de la recherche sociohistorique sur les enfants au Québec examine l'enfance à travers les études démographiques, historiques, ethnologiques, juridiques, sociologiques ainsi que les études sociales effectuées dans un contexte d'intervention. La multidisciplinarité de ce secteur de recherche sur les enfants, qui provient de la diversification des univers d'appartenance et d'expertise demande d'être complétée par des recherches explorant davantage le point de vue des enfants et par le recours à des approches mieux contextualisées de leur vie quotidienne et de leurs liens sociaux.