Documents repérés

  1. 2251.

    Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE)

    Compendium 2003-2006, Volume 06, Axe 2, Exercice de la profession enseignante, Chapitres

    CRIFPE – Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante

    2008

  2. 2252.

    Autre publié dans L'Annuaire théâtral (savante, fonds Érudit)

    Numéro 19-20, 1996

    Année de diffusion : 2010

  3. 2253.

    Article publié dans Inter (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 42, 1988

    Année de diffusion : 2010

  4. 2254.

    Article publié dans Intervention (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 20, 1983

    Année de diffusion : 2010

  5. 2255.

    Article publié dans Québec français (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 100, 1996

    Année de diffusion : 2010

  6. 2256.

    Article publié dans Synergies Canada (savante, fonds Érudit)

    Numéro 1, 2009

    Année de diffusion : 2009

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    Bien que présent en classe de langue, l’art moderne y est souvent abordé d’une manière tendancieuse et superficielle et - comme tant d’autres contenus des méthodes - fait le lit de la doxa (au sens que Roland Barthes donnait à ce terme). En revanche, utiliser l’art conformément à son esprit permet de dégager et de contrebalancer le coté cliché des manuels. Des activités inspirées par les pratiques artistiques permettent de rentabiliser, égayer et personnaliser l’enseignement/apprentissage du FLE.

    Mots-clés : modern art, art moderne, doxa, doxa, creativity, créativité, plasticity, plasticité, motivation, motivation

  7. 2257.

    Autre publié dans Frontières (savante, fonds Érudit)

    Volume 30, Numéro 1, 2018

    Année de diffusion : 2018

  8. 2258.

    Autre publié dans Enfances, Familles, Générations (savante, fonds Érudit)

    Numéro 38, 2021

    Année de diffusion : 2022

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    Cadre de la recherche : Dans la lignée des analyses féministes matérialistes, cet article revient sur la frontière entre travail dit productif versus reproductif pour en déconstruire les fondements et montrer que derrière l'organisation sociale de la procréation, se trouve un travail dont la responsabilité incombe principalement aux femmes.Objectifs : Cette introduction vise à questionner la production d'enfants et son refus à l'aide du concept de travail procréatif, intégrant ainsi les différentes tâches qu'implique la (non)procréation, mais aussi l'élevage des enfants. Par ailleurs, il donne à voir l'intérêt de penser le droit du travail procréatif au sein des normes sociales qui encadrent les multiples séquences de la (non)production de nouveaux êtres humains.Méthodologie : Cet article introductif s'adosse à une revue de la littérature permettant de clarifier les concepts clés de « travail procréatif » et « droit procréatif » mobilisés pour analyser les tâches liées à la procréation, entendue dans un sens élargi, afin de contextualiser les différentes contributions composant ce dossier. Résultats : Tout en montrant le pouvoir heuristique des choix conceptuels opérés, l'article souligne les espaces de résistance à l'analyse du travail procréatif et ouvre de multiples pistes d'investigation pour prolonger ce dossier en vue d'une appréhension globale, internationale et interdisciplinaire du champ de la procréation.Conclusion : La grille de lecture proposée pour penser la production d'enfant et son refus, et ce qu'ils impliquent pour les femmes, permet de rendre visible tout un ensemble de tâches ordinaires particulièrement chronophages et pourtant invisibilisées. Elle souligne la nécessité d'intégrer les différentes normativités formant le cadre social du travail procréatif incluant les différentes normes du droit.Contribution : Cet article offre une synthèse des connaissances sur les concepts mobilisés dans l'analyse des tâches liées à la (non)production d'enfant.

    Mots-clés : travail procréatif, droits procréatifs, procréation, reproduction humaine, rapports sociaux

  9. 2259.

    Article publié dans Encounters in Theory and History of Education (savante, fonds Érudit)

    Volume 22, 2021

    Année de diffusion : 2021

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    Dans cet essai, j’analyse la crise éducative du capitalisme cognitif mondial, en particulier la responsabilité de l’université en tant qu’institution sociale concernée par l’éducation démocratique, la conscience critique et la sensibilité eco-sociale. À cette fin, je discute d’abord du contexte mondial de l’ultra-néolibéralisme et de ses regrets par rapport aux macro tendances économiques, sociales, politiques, épistémologiques et scientifiques. Deuxièmement, je présente le cas de l’éducation brésilienne et de son balayage dialectique de la reproduction des cycles trans-générationnels des relations de pouvoir. Troisièmement, je propose un programme politique pour l’éducation en tant que droit humain fondamental, en analysant l’enseignement supérieur comme une condition de la citoyenneté planétaire concernée et responsable. Quatrièmement, j’élabore un programme conceptuel pour l’Université basé sur les épistémologies du Sud Global pour aider à surmonter les menaces autoritaires et destructrices de l’ultra-néolibéralisme dans les sociétés contemporaines.

    Mots-clés : university, higher education, neoliberalism, capitalism, globalization, université, l’enseignement supérieur, néolibéralisme, capitalisme, mondialisation, universidad, educación superior, neoliberalismo, capitalismo, globalización

  10. 2260.

    Autre publié dans Criminologie (savante, fonds Érudit)

    Volume 25, Numéro 2, 1992

    Année de diffusion : 2005