Documents repérés

  1. 361.

    Article publié dans Voix et Images (savante, fonds Érudit)

    Volume 12, Numéro 2, 1987

    Année de diffusion : 2006

  2. 362.

    Autre publié dans Sociologie et sociétés (savante, fonds Érudit)

    Volume 12, Numéro 2, 1980

    Année de diffusion : 2002

  3. 365.

    Article publié dans Laval théologique et philosophique (savante, fonds Érudit)

    Volume 75, Numéro 2, 2019

    Année de diffusion : 2020

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    Les institutions de formation de théologie au Québec ont connu plusieurs mutations au cours de la dernière décennie. Le présent article veut réfléchir aux effets de ces déplacements sur la théologie pratiquée dans les universités publiques. Certes, les évolutions sociales, ecclésiales, culturelles et universitaires sont probablement plus déterminantes sur l'évolution de la discipline, mais il ne faut pas négliger non plus d'observer les effets des déplacements institutionnels. Dans ce contexte, il faut nous demander comment construire un avenir à la théologie universitaire au Québec.

  4. 366.

    Article publié dans ETC (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 46, 1999

    Année de diffusion : 2010

  5. 368.

    Trudeau, Jean-Bernard, Desjardins, Pierre et Dion, Alain

    Psychothérapie – Un encadrement nécessaire et légalement reconnu au Québec

    Article publié dans Santé mentale au Québec (savante, fonds Érudit)

    Volume 40, Numéro 4, 2015

    Année de diffusion : 2016

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    Jusqu'à récemment, le Québec se distinguait par l'adoption d'une loi régissant l'exercice de la psychothérapie adoptée en 2009. Cette loi émerge de 30 ans d'efforts et de discussions interprofessionnelles, ayant abouti à un consensus d'un comité d'experts présidé par le Dr Jean-Bernard Trudeau, dans un rapport déposé en 2005. Dans ce témoignage, le Dr Jean-Bernard Trudeau, médecin généraliste, de même que deux collègues psychiatre et psychologue, ayant participé au comité d'experts ou plus récemment dans l'application de la loi no 21 au Québec, retracent les principales étapes et les points saillants de la régulation de la pratique de la psychothérapie découlant de ce consensus interprofessionnel et traduit dans la loi no 21. Ils retracent plus particulièrement les dernières dix années qui ont vu l'adoption de la loi no 21 en 2009, après deux commissions parlementaires à la suite du dépôt du rapport Trudeau. Ils soulignent ensuite comment la pratique de la psychothérapie est intégrée dans le système professionnel et soumise à un encadrement rigoureux. Ce dernier inclut une réglementation touchant l'obtention du titre de psychothérapeute et le maintien de la compétence ; un guide explicatif fait part des travaux continus interprofessionnels dans l'application de la loi et de la réglementation dans le secteur public et privé et produit par l'Office des professions du Québec. La définition obtenue par consensus de la psychothérapie ne la limite pas au traitement des troubles mentaux et tente de la distinguer d'autres interventions dans le champ des relations humaines. L'obligation de formation continue est encadrée d'une part par l'Ordre des psychologues pour les psychologues et autres professionnels exerçant la psychothérapie et d'autre part le Collège des médecins pour les médecins exerçant la psychothérapie. Ils décrivent enfin le Conseil consultatif interdisciplinaire sur l'exercice de la psychothérapie qu'a prévu le législateur comme mécanisme externe pour assurer la conformité de la réglementation avec l'esprit de la loi, et donner avis aux diverses professions.

    Mots-clés : psychothérapie, traitement psychologique, évaluation initiale rigoureuse, formation continue obligatoire, conseil consultatif interdisciplinaire, psychotherapy, psychological treatment, rigorous initial evaluation, mandatory continuous education, interdisciplinary advisory board

  6. 369.

    Article publié dans International Review of Community Development (savante, fonds Érudit)

    Numéro 15, 1986

    Année de diffusion : 2016

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    Toute production et tout produit scientifiques supposent un rapport inéliminable entre une rigueur à prétention universelle et des conditions pratiques de possibilité, autant d'a priori rationnels et a-rationnels d'ordre épistémologique, institutionnel, sociologique, politique et culturel.À une époque où un des soucis de nos sociétés démocratiques est de pouvoir garder, sinon prendre, le contrôle d'une part de leur destinée, avec l'essor des technologies nouvelles il importe de considérer les savoirs scientifiques et technologiques comme des institutions socio-historiques particulières. Mesures, quantifications et cohérences rationnelles s'articulent sur des questions de fond dont la pertinence sociale et culturelle échappe bien souvent à la rationalité instrumentale des savoirs scientifiques et technologiques établis.L'article tente de montrer en quoi des pertinences fondamentales peuvent réinterroger des rationalités en place et, grâce à des pratiques d'interdisciplinarité effectives, inscrire des problématiques neuves dans des procès de développement global.