TY - JOUR ID - 1066637ar T1 - Sexual Violence on University Campuses: Differences and Similarities in the Experiences of Students, Professors and Employees A1 - Bergeron, Manon A1 - Goyer, Marie-France A1 - Hébert, Martine A1 - Ricci, Sandrine JO - Canadian Journal of Higher Education / Revue canadienne d'enseignement supérieur VL - 49 IS - 3 SP - 88 EP - 103 SN - 2293-6602 Y1 - 2019 Y2 - 03/29/2024 3:41 a.m. PB - Canadian Society for the Study of Higher Education LA - EN AB - This article presents a portrait of sexual violence on university campuses (SVUC) at six universities in Québec (Canada) and explores differences and similarities in the experiences of students, professors and employees. Data are drawn from the Enquête Sexualité, Sécurité et Interactions en Milieu Universitaire (ESSIMU). They reveal disturbing rates of SVUC among students (36.2%), professors (38.8%) and employees (38.7%). The results show that the hierarchical status of perpetrators was higher than that of victims for a significant proportion of professors (33%) and employees (50.7%). When asked about the type of assistance they would want in the event of SVUC, the majority of students, professors and employees affirmed they would want support during the reporting/complaint process, information about available recourse within the university to report the incident, and psychological support provided by a resource outside the university. AB - Cet article présente un portrait de la violence sexuelle en milieu universitaire (VSMU) sur six campus québécois (Canada) et explore les différences et les similitudes dans l’expérience des étudiant.es, des enseignant.es et des employé.es. Les données proviennent de l’Enquête sur la sexualité, la sécurité et les interactions en milieu universitaire (ESSIMU). Les résultats révèlent des taux inquiétants de VSMU chez les étudiant.es (36,2 %), les enseignant.es (38,8 %) et les employé.es (38,7 %). Les données indiquent que le statut hiérarchique des personnes commettant les gestes de VSMU est supérieur à celui des victimes pour une proportion significative de professeur.es (33 %) et d’employé.es (50,7 %). Sur la question du type d’aide souhaité en cas de VSMU, la majorité des étudiant.es, enseignant.es et employé.es a affirmé souhaiter un accompagnement dans les démarches de dénonciation ou de plainte, des informations sur les recours possibles pour dénoncer les gestes à l’intérieur de l’université ainsi qu’un soutien psychologique à l’extérieur de l’université. DO - https://doi.org/10.7202/1066637ar UR - https://id.erudit.org/iderudit/1066637ar L1 - https://www.erudit.org/en/journals/cjhe/2019-v49-n3-cjhe05066/1066637ar.pdf DP - Érudit: www.erudit.org DB - Érudit ER -