Abstracts
RÉSUMÉ
L’application à des données canadiennes d’une méthode d’analyse des courants migratoires mise au point par l’auteur est ici analysée. Le calcul de différences pondérées entre matrices de courants migratoires observés et attendus permet d’établir l’évolution, de 1956 à 1976, du niveau d’attraction ou de répulsion de six provinces canadiennes, du niveau de la mobilité spatiale et du niveau d’attraction-répulsion.
L’auteur montre l’impact de la distance géographique sur la migration; il fait ainsi ressortir l’attraction des provinces de l’ouest. Enfin le regroupement des provinces où les échanges sont les plus forts met en évidence la régionalisation du pays où le Québec se détache de l’ensemble des provinces anglophones
Download the article in PDF to read it.
Download