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I. Livres

Barry, Thierno Boubacar, L’expression de la révolte dans Le temps de Tamango de Boubacar Boris Diop et Tout au contraire d’André Brink, Saint-Denis, Connaissances et Savoirs, « Lettres et Langues. Littérature », 2016, 111 p.

Bibliographie, p. 103-109.

Brinker, Virginie, La transmission littéraire et cinématographique du génocide des Tutsi au Rwanda, Paris, Classiques Garnier, « Littérature, histoire, politique », 2014, 481 p.

Depuis son exergue emprunté à Murambi jusqu’à sa conclusion, l’ouvrage interroge l’oeuvre de B. B. Diop dans chacun de ses chapitres.

Comptes rendus. Karel Plaiche, Études Littéraires Africaines, no 42, 2016, p. 196-198. – Cécile Rebolledo, Nouvelles Études Francophones, vol. 31, no 1, printemps 2016, p. 154-155. – Thomas Barège, Acta Fabula, vol. 17, no 5, octobre 2016 (www.fabula.org/revue/document9928.php).

Qader, Nasrin, Narratives of Catastrophe. Boris Diop, ben Jelloun, Khatibi, New York, Fordham University Press, 2009, 238 p.

Deux chapitres sont consacrés à B. B. Diop : « Becoming-Survivor [Murambi] », p. 16-50 ; « Shadowing the Storyteller [Le cavalier et son ombre] », p. 86-120. Une version revue de ce second chapitre a paru dans le numéro « Boubacar Boris Diop. Une écriture déroutante », Langues et Littératures, hors série no 1, avril 2014 (voir la section « IV. Numéros de revue »).

Sob, Jean, L’impératif romanesque de Boubacar Boris Diop, Ivry-sur-Seine, éditions A3 / Revue Nouvelles du Sud, 2007, 250 p.

Comptes rendus. Suzanne Gehrmann, Études Littéraires Africaines, no 25, 2008, p. 98-99. – Liana Nissim, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 9, 2009, p. 230-233.

Soumaré, Zakaria, Le génocide rwandais dans la littérature africaine francophone, Paris, L’Harmattan, « Critiques littéraires », 2013, 231 p.

Étude d’un corpus de huit oeuvres dont les auteurs ont participé au projet « Rwanda : écrire par devoir de mémoire » : Boubacar Boris Diop (Murambi, le livre des ossements), Koulsy Lamko (La phalène des collines), Thierno Monénembo (L’aîné des orphelins), Véronique Tadjo (L’ombre d’Imana), Abdourahman A. Waberi (Moisson de crânes), Monique Ilboudo (Murekatete), Vénuste Kayimahe (France-Rwanda, les coulisses du génocide. Témoignage d’un rescapé), Jean-Marie V. Rurangwa (Le génocide des Tutsi expliqué à un étranger). – Bibliographie, p. 221-227. – Compte rendu. Etsè Komla Awitor, Études Littéraires Africaines, no 38, 2014, p. 220–221.

Thioune, Birahim, Trois romanciers sénégalais devant l’histoire. Cheikh Hamidou Kane, Abdoulaye Élimane Kane et Boubacar Boris Diop, Paris, L’Harmattan 2013, 75 p.

Bibliographie, p. 73-74. – Compte rendu. Liana Nissim, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 14, 2015, p. 258-259.

II. Ouvrage collectif

Qader, Nasrin et Souleymane Bachir Diagne (dir.), Des mondes et des langues. L’écriture de Boubacar Boris Diop, Paris, Présence Africaine, « Les Cahiers », 2014, 222 p.

Sommaire. Nasrin Qader et Souleymane Bachir Diagne, « Préface », p. 7-12 ; Boubacar Boris Diop : « Quand la mémoire va ramasser du bois mort… », p. 13-34 ; Nasrin Qader, « De l’hospitalité des écritures », p. 35-41 ; Odile Cazenave, « “D’Ici Là, d’ici à là”. Pour une nouvelle écriture du politique chez Boubacar Boris Diop », p. 43-52 ; Souleymane Bachir Diagne, « De Doomi Golo aux Petits de la guenon et retour », p. 53-60 ; Cullen Goldblatt, « Lëndëmtu : réflexions sur Doomi Golo et Les petits de la guenon », p. 61-83 ; Kenneth W. Harrow, « Boubacar Boris Diop. Fadel et l’Homo Sacré : Mémoire et Histoire dans [Les] tambours de la mémoire », p. 85-105 ; Eileen Julien, « Deux regards sur Boris Diop », p. 107-118 ; Liana Nissim, « Le vent et le creuset ou les ailleurs des Petits de la guenon », p. 119-130 ; Francesca Paraboschi, « Folies d’ici et d’ailleurs. Les tambours de la mémoire, Le cavalier et son ombre », p. 131-147 ; Charles Sugnet, « Boris Boubacar Diop, artiste et citoyen », p. 149-170 ; Joëlle Vitiello, « Boubacar Boris Diop, auteur sénégalais, francophone, planétaire. De la fiction à l’essai », p. 171-185 ; Papa Samba Diop, « Littérature et auto-traduction. Traduction et tradition. Doomi Golo de Buubakar Bóris Jóob », p. 187-222 [autres publications comme chapitre de livre en 2013 (voir la section « III ») et dans Interculturel Francophonies en 2010 (voir la section « IV. Numéros de revue »)]. – Textes des travaux d’un colloque tenu à Northwestern University (Evanston, Illinois, É.-U.) en mai 2011 ; discours d’ouverture par Boubacar Boris Diop.

III. Chapitres de livre

Alessandri, Brigitte, « Un romancier contemporain sénégalais : Boubacar Boris Diop », dans L’école dans le roman africain. Des premiers écrivains francophones à Boubacar Boris Diop, préface de Pierre Erny, Paris, L’Harmattan, « Éducations et sociétés », 2004, p. 133-168.

Amidou, Ibrahim B., « L’exotisme (philosophique) de l’Afrique et des Africains dans “Tamango” de Mérimée [Tamango] », Présence Africaine, 2003/1-2 (nos 167-168), p. 290-302.

Ba, Mamadou Kalidou, « Les nouvelles écritures de Boubacar B. Diop, Henri Lopes et Sony L. Tansi », dans Le roman africain francophone postcolonial. Radioscopie de la dictature à travers une narration hybride, Paris, L’Harmattan, « Critiques littéraires », 2009, p. 181-189.

Compte rendu. Sonia Le Moigne-Euzenot, Études Littéraires Africaines, no 30, 2010, p. 110–111.

Ba, Mamadou Kalidou, « Poétique et politiques-fictions : les relations nord-sud dans Le temps de Tamango de Boubacar Boris Diop et Aux États-Unis d’Afrique d’Abdourahman A. Waberi », dans Mamadou Kalidou Ba, Mbouh Séta Diagana et Mamadou Ould Dahmed (dir.), La poétique de l’histoire dans les littératures africaines, Paris, L’Harmattan, « Culture africaine. Série études littéraires », 2014, p. 77-88.

Ba, Mamadou, « Création intertextuelle et jeux spéculaires dans les romans Le temps de Tamango et Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », dans Ibrahima Diagne et Hans-Jürgen Lüsebrink (dir.), L’intertextualité dans les littératures sénégalaises. Réseaux, réécritures, palimpsestes, Paris, L’Harmattan, « Culture africaine. Série Études littéraires », 2019, p. 139-156.

Bandau, Anja, « Vergewaltigung als Trope ? Texte über den Genozid in Ruanda [Murambi ; L. Koulsy, La phalène des collines ; V. Tadjo, L’ombre d’Imana ; J. Hatzfeld, Dans le nu de la vie] », dans Isabella von Treskow, Albrecht Buschmann et Anja Bandau (dir.), Bürgerkrieg : Erfahrung und Repräsentation, Berlin, Trafo, « Potsdamer Beiträge zur Kultur- und Sozialgeschichte », 2005, p. 225-257.

Basabose, Philippe, « Le roman testimonial : entre l’histoire et la fable », dans Ozouf Sénamin Amedegnato, Sélom Komlan Gbanou et Musanji Ngalasso-Mwatha (dir.), Légitimité, légitimation, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, « Études africaines et créoles », 2011, p. 329-342.

Borgomano, Madeleine, « La littérature romanesque d’Afrique noire et l’esclavage : “une mémoire de l’oubli” ? [Le temps de Tamango] », dans Marie-Christine Rochmann (dir.), Esclavage et abolitions. Mémoires et systèmes de représentation, Paris, Karthala, « Hommes et sociétés », 2000, p. 99-112.

Bozouzoua, Larissa Dogbo, « L’imaginaire du labyrinthe et la folie dans le roman de Boubacar Boris Diop », dans Cécile Brochard et Esther Pinon (dir.), La folie : création ou destruction ?, Rennes, Presses universitaires de Rennes, « Interférences », 2011, p. 177-189.

Brasseur-Legrand, Brigitte,« Récurrence des mythes du chaos et des cataclysmes purificateurs », dans Jean Cléo Godin (dir.), Nouvelles écritures francophones. Vers un nouveau baroque ?, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, « Espace littéraire », 2001, p. 26-46.

Deux paragraphes sur Le cavalier et son ombre.

Calì, Andrea, « Raconter l’inénarrable. Murambi, le livre des ossements », dans Études sur le roman négro-africain, préface de Jean-François Durand, Lecce, Pensa multimedia, « Studi e Testi », 2010, p. 95-122.

Compte rendu. Jada Miconi, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 11, 2011, p. 247-250.

Cazenave, Odile, « Dis-Enchanted, Dis-Entangled Tales : Francophone African Literature Today. The Examples of Boubacar Boris Diop [Le cavalier et son ombre, Murambi, Kaveena] and Véronique Tadjo [Reine Pokou, L’ombre d’Imana, Le royaume aveugle] », dans Gert Reifarth et Philip Morrissey (dir.), Aesopic Voices. Re-framing Truth through Concealed Ways of Presentation in the 20th and 21st Centuries, Newcastle upon Tyne, Cambridge Scholars Publishing, 2011, p. 157-173.

Cazenave, Odile, « Dire le retour sans le dire tout en le disant. Nouvelle configuration des motifs exiliques et d’expatriation », dans Vassiliki Lalagianni et Jean-Marc Moura (dir.), Espace méditerranéen. Écritures de l’exil, migrances et discours postcolonial, Amsterdam / New York, Rodopi, « Francopolyphonies », 2014, p. 173-184.

Cibalabala, Mutshipayi Kalombo, « Murambi, le livre des ossements », dans Les guerres, les répressions et les conflits armés dans la littérature africaine. Lecture de quelques romans, Saint-Denis, éditions Edilivre Aparis, 2011, p. 74-76.

Bibliographie, p. 205-210.

Coquio, Catherine, « Le témoin d’à côté et d’après. Les fictions de Fest’Africa », dans Rwanda. Le réel et les récits, Paris, Belin, 2004, p. 137-150.

Coulibaly, Arouna, « Pratique de la représentation et théorie de la connaissance chez Boubacar Boris Diop », dans Jean-Marie Kouakou (dir.), Les représentations dans les fictions littéraires, tome II : Par les pratiques fictionnelles, Paris, L’Harmattan, « Afrique liberté », 2010, p. 139-152.

Críach, Sofia, « La infancia y la juventud femeninas en dos novelas de Boubacar Boris Diop : de la fragilidad a la rebelión », dans Susana Graciela Artal Maillie et Valeria Castelló-Joubert (dir.), Infancias / Enfances. Representaciones de la niñez y la juventud en las literaturas de expresión francesa, Le Mans / Cordoba, Le Mans Université / Asociación Argentina de literatura francesa y francófona / Dedalus Editores, 2017, p. 75-83.

Diop, Papa Samba, « Die senegalesische Literatur der 80er Jahre. Abasse Ndione, La vie en spirale (1984), Boubacar Boris Diop, Les tambours de la mémoire (1987) », dans Papa Samba Diop, Elisa Fuchs, Heinz Hug et János Riesz, Ousmane Sembène und die senegalesische Erzählliteratur, Munich, Edition Text + Kritik, « Schreiben andernorts », 1994, p. 213-231.

Diop, Papa Samba, « Doomi Golo de Buubakar Bóris Jóob. De la traduction littérale à la traduction française proposée par l’auteur », dans Abdoulaye Keïta (dir.), Au carrefour des littératures Afrique-Europe : hommage à Lilyan Kesteloot, Paris / Dakar, Karthala / IFAN, « Tradition orale », 2013, p. 327-347.

Republication quasi intégrale de l’article paru sous le titre « Doomi Golo de Bubakar Bóris Jóob. De la traduction littérale à la traduction française de l’auteur lui-même » dans Interculturel Francophonies en 2010 (voir la section « IV. Numéros de revue »). Autre publication dans un ouvrage collectif en 2014 (voir la section « II. Ouvrage collectif »).

Fonkoua, Romuald, « La politique de la mémoire au xxe siècle en Afrique. Poussière rouge de G[illian] Slovo et Murambi, le livre des ossements de B. B. Diop », dans Véronique Bonnet (dir.), avec la coll. de Christophe Pradeau et Françoise Simonet, Conflits de mémoire, Paris, Karthala, « Hommes et sociétés », 2004, p. 207-222.

Gbanou, Sélom Komlan, « Métamorphoses du sujet dans le roman francophone [Le temps de Tamango ; F. Oyono, Une vie de boy ; K. Alem, Cola cola jazz] », dans Christiane Ndiaye (dir.), Parcours figuratifs et configurations discursives du roman africain, Montréal, « Paragraphes », département des Littératures de langue française, Université de Montréal, 2006, p. 87-108.

Gehrmann, Susanne, « On Crime without Justice. Investigative Patterns and the Quest for Truth in Boubacar Boris Diop’s Novels [Les tambours de la mémoire, Les traces de la meute, Murambi] », dans Anja Oed et Christine Matzke (dir.), Life is a Thriller. Investigating African Crime Fiction, Cologne, Rüdiger Köppe, « Mainzer Beiträge zur Afrikaforschung », 2012, p. 97-112.

Une version française de cet article a paru en 2013 (voir ci-dessous).

Gehrmann, Susanne, « L’enquête comme quête du savoir. Les usages du roman policier chez Boubacar Boris Diop », dans Pierre Halen, Sylvère Mbondobari et Bernard de Meyer (dir.), Le polar africain, Metz, Centre de recherches « Écritures » (Université de Lorraine), « Littératures des mondes contemporains. Série Afriques », 2013, p. 105-126.

Une note (p. 105 n. 2) précise qu’il s’agit de la version française de l’article précédent.

Gueye, Papa, « L’histoire comme fiction et la fiction comme histoire : récit contestataire et contestation du récit dans les romans de Boubacar Boris Diop », dans Jean Cléo Godin (dir.), Nouvelles écritures francophones. Vers un nouveau baroque ?, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, « Espace littéraire », 2001, p. 242-253.

Hervieu-Wane, Fabrice, « Boubacar Boris Diop. L’intellectuel engagé », Dakar l’insoumise, Paris, Autrement, 2008, p. 192-199.

Kalinowska, Ewa, « Tierno Monénembo, L’aîné des orphelins, et Boubacar Boris Diop, Murambi, le livre des ossements », dans Diseurs de vérité. Conceptions et enjeux de l’écriture engagée dans le roman africain de langue française, Lublin, Wydawnictwo Werset, 2018, p. 141-148.

Compte rendu. Iza Zatorska, Études Littéraires Africaines, no 46, 2018, p. 196-198.

Kalisa, Chantal, « Métissage et fables de reconstruction dans les textes sur le génocide rwandais [Murambi] », dans Pierre Halen et Jacques Walter (dir.), Les langages de la mémoire. Littérature, médias et génocide au Rwanda, Metz, Centre de recherches « Écritures » (Université Paul-Verlaine), « Littératures des mondes contemporains. Série Afriques », 2007, p. 121-132.

Lang, George, « Yambo Ouologuem [Le devoir de violence], Diop [Le temps de Tamango], the Trickster and the Signifying Monkey », dans Claude Ouygues (dir.), Texte africain et voies / voix critiques. Essais sur les littératures africaines et antillaise (Maghreb, Afrique Noire, Antilles, Immigration)African Text and Critical Voices / Approaches, Paris, L’Harmattan, « Critiques littéraires », 1992, p. 171-184.

Lang, George, « Deux non-classiques de la littérature africaine. V.-Y. Mudimbe, L’écart, et Boris Boubacar Diop, Le temps de Tamango », dans Edris Makward, Thelma Ravell-Pinto et Aliko Songolo (dir.), The Growth of African Literature, t. III : Twenty-Five Years after Dakar and Fourah Bay, Trenton (NJ) / Asmara (Érythrée), Africa World Press, 1998, p. 105-115.

Laurenti, Delphine, « Aux confins du “roman historique”. Histoire du contemporain : Ahmadou Kourouma, Boubacar Boris Diop, Emmanuel Boundzeki Dongala », dans Arlette Chemain-Degrange, Valérie Cambon et Marc Gastaldi (dir.) : « Littérature-monde » francophone en mutation. Écritures en dissidence, Paris, L’Harmattan, « Critiques littéraires », 2009, p. 31-40.

Le Lay, Maëline, « De la figure au héros. Analyse de la mutation d’un personnage-force du roman de Boubacar Boris Diop, Les petits de la guenon », dans Dominique Ranaivoson et Valentina Litvan (dir.), Les héros culturels. Récits et représentations, Saint-Maur-des-Fossés, Sépia, 2014, p. 163-181.

Lezou Dago, Gérard, « Stratégies narratives dans le roman ouest-africain francophone : le conteur, le chroniqueur, le réalisateur et l’écrivain [Le cavalier et son ombre ; A. Kourouma, Quand on refuse on dit non ! ; D. Bailly, La traversée du guerrier] », dans Anne Begenat-Neuschäfer et Jean-Marie Kouakou (dir.), Nouvelles tendances du conté et du narré en Afrique de l’Ouest, Berne, Peter Lang, « Sprachen-Literaturen-Kulturen », 2011, p. 11-23.

Compte rendu. Liana Nissim, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 14, 2015, p. 231.

Lorin, Marie, « Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop : le griot romancier face au devoir de mémoire », dans Abdoulaye Keïta (dir.), Au carrefour des littératures Afrique-Europe : hommage à Lilyan Kesteloot, Paris / Dakar, Karthala / IFAN, « Tradition orale », 2013, p. 289-302.

Luis Gamallo, María Obdulia, « Murambi, le livre des ossements : la tradition orale au service d’une histoire dite nationale », dans Luc Fotsing Fondjo et Moustapha Fall (dir.), Traditions orales postcoloniales. Discours d’ouverture de Boubacar Boris Diop, Paris, L’Harmattan, « Racines du présent », 2014, p. 119-129.

Nouvelle édition, revue, d’un article paru en 2012 (voir la section « V. Articles de revue »).

Lüsebrink, Hans-Jürgen, « Häretische Lektüren und Traditionsbruch. Zum Umgang mit Klassikern in kulturellen Umbruchperioden der Neuzeit [Le temps de Tamango] », dans Jan Assmann et Burkhard Gladigow (dir.), Text und Kommentar, Munich, Wilhelm Fink, « Archäologie der literarischen Kommunikation », 1995, p. 375-388.

Mancas, Magdalena Silvia, « Quelques propos sur les compétences du narrateur et du lecteur dans le récit de fiction africaine [Le temps de Tamango ; H. Lopes, Le pleurer-rire] », dans Anne Begenat-Neuschäfer et Jean-Marie Kouakou (dir.), Nouvelles tendances du conté et du narré en Afrique de l’Ouest, Berne, Peter Lang, « Sprachen-Literaturen-Kulturen », 2011, p. 81-94.

Compte rendu. Liana Nissim, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 14, 2015, p. 233.

Mapangou, Dacharly, « Le fragmentaire comme ultime exigence de la fiction narrative africaine contemporaine : Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », dans Damien Bédé et Moussa Coulibaly (dir.), L’écriture fragmentaire dans les productions africaines contemporaines, Paris, L’Harmattan, « Espaces Littéraires », 2015, p. 175-198.

Mazauric, Catherine, « Les mensonges de la mémoire. La part du lecteur dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop et L’aîné des orphelins de Tierno Monénembo », dans Pierre Halen et Jacques Walter (dir.), Les langages de la mémoire. Littérature, médias et génocide au Rwanda, Metz, Centre de recherches « Écritures » (Université Paul-Verlaine), « Littératures des mondes contemporains. Série Afriques », 2007, p. 341-355.

Mazauric, Catherine, « Cosmopolitisme et afropolitanisme vernaculaires au Sénégal », dans Guillaume Bridet, Virginie Brinker, Sarah Burnautzki et Xavier Garnier (dir.), Dynamiques actuelles des littératures africaines. Panafricanisme, cosmopolitisme, afropolitanisme, Paris, Karthala, « Lettres du Sud », 2018, p. 217-230.

McLaughlin, Fiona, « Writing the Rwandan Genocide : Boubacar Boris Diop’s Murambi, le livre des ossements », dans Toyin Falola et Barbara Harlow (dir.), Palavers of African Literature. Essays in Honor of Bernth Lindfors, Trenton (NJ), Africa World, 2002, p. 203-219.

Compte rendu. Niyi Afolabi, Research in African Literatures, vol. 34 no 3, Fall 2003, p. 175-177.

McNee, Lisa, « Their Voices Cry Out from the Earth. The Rwandan Genocide in the West African Imagination [Murambi ; V. Tadjo, L’ombre d’Imana ; T. Monénembo, L’aîné des orphelins] », dans Angelina E. Overvold, Richard K. Priebe et Louis Tremaine, (dir.), The Creative Circle : Artist, Critic, and Translator in African Literature, Trenton (NJ), Africa World, 2003, p. 165-186.

Michelman, Fredric, « From Tamango to Thiaroye : the Revolution Back on Course ? », dans Edris Makward, Thelma Ravell-Pinto et Aliko Songolo (dir.), The Growth of African Literature, t. III : Twenty-Five Years after Dakar and Fourah Bay, Trenton (NJ) / Asmara (Érythrée), Africa World Press, 1998, p. 97-104.

Version revue d’un article paru dans Research in African Literatures en 1990 (voir la section « V. Articles de revue »).

Mongo-Mboussa, Boniface, « Sens et puissance de la littérature », dans Véronique Bonnet (dir.), avec la coll. de Christophe Pradeau et Françoise Simonet, Conflits de mémoire, Paris, Karthala, « Hommes et sociétés », 2004, p. 197-206.

Müller, Christoph, « Le narrateur et son récit. Stratégies narratives dans Le temps de Tamango de Boubacar Boris Diop et Chiquinho de Baltasar Lopes », dans Anne Begenat-Neuschäfer et Jean-Marie Kouakou (dir.), Nouvelles tendances du conté et du narré en Afrique de l’Ouest, Berne, Peter Lang, « Sprachen-Literaturen-Kulturen », 2011, p. 73-79.

Compte rendu. Liana Nissim, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 14, 2015, p. 233.

Ndiaye, Christiane, « De l’authenticité des mensonges chez Boubacar Boris Diop [Le cavalier et son ombre, Les tambours de la mémoire] », dans Jean Cléo Godin (dir.), Nouvelles écritures francophones. Vers un nouveau baroque ?, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, « Espace littéraire », 2001, p. 319-337.

Ndiaye, Modou, « Les constructions corrélatives dans Les tambours de la mémoire de Boubacar Boris Diop », dans Alioune Ba et Paul Ndiaye (dir.), Mélanges offerts en hommage au Professeur Cheikh Ba, Dakar, Presses universitaires de Dakar, 2003, p. 795-810.

Ngalasso-Mwatha, Musanji, « Le trauma dans la littérature africaine et les mots pour l’écrire », dans Peter Kuon (dir.), Trauma et texte, Berne, Peter Lang, « KZ – Memoria scripta », 2008, p. 161-183.

Nissim, Liana, « Métamorphoses amphibologiques dans Les traces de la meute de Boubacar Boris Diop », dans Gabriella Bosco, Monica Pavesio et Laura Rescia (dir.), Contatti, passaggi, metamorfosi. Studi di letteratura francese e comparata in onore di Daniela Dalla Valle, Rome, Edizioni di storia e litteratura, « Temi e testi », 2010, p. 513-525.

Nissim, Liana, « L’écriture de l’oralité : les avatars du patrimoine culturel dans les romans de Boubacar Boris Diop », dans Simonetta Valenti (dir), L’espace francophone, une mosaïque de langues et de cultures, Aoste, Le Château, 2010, p. 23-35.

Nissim, Liana, « Il teatro nel romanzo : il caso di Boubacar Boris Diop », dans Paolio Bosisio (dir.), Studi sul teatro in Europa. In onore di Mariangela Mazzocchi Doglio, Rome, Bulzoni, « Biblioteca di cultura », 2011, p. 485-497.

Nissim, Liana, « Enfants sacrifiés, enfants tués, enfants mangés dans les littératures africaines francophones », dans Sandrine Dubel et Alain Montandon (dir.), Mythes sacrificiels et ragoûts d’enfants, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise Pascal, « Mythographies et sociétés », 2012, p. 271-284.

Compte rendu. Maria Benedetta Collini, Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones, no 13, 2013, p. 279.

Nissim, Liana, « Réécrire le Mythe. Les tambours de la mémoire de Boubacar Boris Diop », dans Marilia Marchetti, Maria Luisa Scelfo, Cettina Rizzo, Sebastiana Cutuli (dir.), Questions et suggestions. Miscellanea di studi in onore di Maria Teresa Puleio, Catania, CUECM, 2013, p. 225-239.

Nissim, Liana, « La plus-value de l’inexpliqué. La geste du féticheur des Petits de la guenon », dans Alain Rey, Pierre Brunel, Philippe Desan et Jean Pruvost (dir.), De l’ordre et de l’aventure. Langue, littérature, francophonie. Hommage à Giovanni Dotoli, Paris, Hermann, 2014, p. 393-400.

Nkejabahizi, Jean Chrysostome, « Un romancier presque parfait ou quand Boubacar Boris Diop se livre à une tâche noble : raconter un génocide », dans Luc Fotsing Fondjo et Moustapha Fall (dir.), Traditions orales postcoloniales. Discours d’ouverture de Boubacar Boris Diop, Paris, L’Harmattan, « Racines du présent », 2014, p. 105-118.

Nsangou, Jonathan Russel, « L’intertexte oral et le refus de l’Histoire dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », dans Luc Fotsing Fondjo et Moustapha Fall (dir.), Traditions orales postcoloniales. Discours d’ouverture de Boubacar Boris Diop, Paris, L’Harmattan, « Racines du présent », 2014, p. 77-90.

Panaïté, Oana, « “La race des fils”. Atavisme fictif et autorité littéraire [Les tambours de la mémoire ; J. Rouaud, Les champs d’honneur] », dans Emmanuel Bouju (dir.), L’autorité en littérature, Rennes, Presses universitaires de Rennes, « Interférences », 2010, p. 211-221.

Republié dans un volume de l’auteur en 2012 (voir ci-dessous).

Panaïté, Oana, « II. Seuils du sujet. 1. Lignes de fracture », dans Des littératures-mondes en français. Écritures singulières, poétiques transfrontalières dans la prose contemporaine, Amsterdam / New York, Rodopi, « Francopolyphonies », 2012, p. 77-98.

Fortement augmentée, la matière de ces pages vient d’un article paru en 2010 (voir ci-dessus). – Compte rendu. Catherine Mazauric, Études Littéraires Africaines, no 35, 2013, p. 194-196.

Paravy, Florence, « Une littérature déterritorialisée ? Boubacar Boris Diop et Sami Tchak : itinéraires en contrepoint », dans Christiane Albert et Abel Kouvouama, Déterritorialisation : effet de mode ou concept pertinent ?, Pau, Presses de l’Université de Pau et des pays de l’Adour, « Espaces, frontières, métissages », 2013, p. 107-117.

Parent, Sabrina, « Boubacar Boris Diop’s Thiaroye : Rebellion and Treason [Thiaroye terre rouge] », dans Cultural Representations of Massacre. Reinterpretations of the Mutiny of Senegal, Basingstoke, Palgrave Macmillan, 2014, p. 63-79.

L’ouvrage étudie les représentations du massacre de Thiaroye (1er décembre 1944) dans divers romans, films et pièces de théâtre, de Senghor (Hosties noires, 1948) à R. Bouchareb (L’ami y’a bon, 2004). – Compte rendu. Anthony Mangeon, Études Littéraires Africaines, no 39, 2015, p. 230-232.

Seka, Philomène Apo, « Boubacar Boris Diop, un modèle d’atavisme littéraire [Les petits de la guenon] », dans Luc Fotsing Fondjo et Moustapha Fall (dir.), Traditions orales postcoloniales. Discours d’ouverture de Boubacar Boris Diop, Paris, L’Harmattan, « Racines du présent », 2014, p. 131-142.

Semujanga, Josias, « Murambi. La métaphore de l’horreur ou le témoignage impossible », dans Kanaté Dahouda et Sélom Komlan Gbanou (dir.), Mémoires et identités dans les littératures francophones, Paris, L’Harmattan, « Critiques littéraires », 2008, p. 85-101.

Semujanga, Josias, « La dimension testimoniale du récit du génocide dans Murambi », dans Le génocide, sujet de fiction ? Analyse des récits du massacre des Tutsi dans la littérature africaine, Québec, Éditions Nota bene, 2008, p. 125-150.

Bibliographie, p. 293-303. Index.

Semujanga, Josias, « Murambi, The Book of Bones : Polyphonic Voices and Testimony », dans Narrating Itsembabwoko. When Literature becomes Testimony of Genocide, Berne, Peter Lang, 2016, p. 99-114.

Compte rendu. Pierre Boizette, Études Littéraires Africaines, no 44, 2017, p. 270-272.

Seye, Serigne, « De la solitude du personnage écrivain à la solidarité. L’engagement esthétique et politique dans les romans de Boubacar Diop [Le cavalier et son ombre] », dans Galyna Dranenko, Françoise Hanus et Nina Nazarova (dir.), Solitaire et solidaire. Création et engagement à l’oeuvre dans la littérature, Paris, L’Harmattan, 2018, p. 115-128.

Seye, Serigne, « Lis-moi ton intertexte, je te dirai qui tu es. Intertextualité et identité hybride dans les récits de Boubacar Boris Diop », dans Ibrahima Diagne et Hans-Jürgen Lüsebrink (dir.), L’intertextualité dans les littératures sénégalaises. Réseaux, réécritures, palimpsestes, Paris, L’Harmattan, « Culture africaine. Série Études littéraires », 2019, p. 117-138.

Sissao, Alain, « Figures charismatiques et démocratie chez quelques romanciers de l’Afrique de l’Ouest [Les tambours de la mémoire] », dans Beïda Chikhi (dir.), Enseigner le monde noir. Mélanges offerts à Jacques Chevrier, Paris, Maisonneuve & Larose, 2007, p. 181-203.

Sob, Jean, « Fiction et savoir dans l’oeuvre romanesque de Boubacar Boris Diop », dans Mukala Kadima-Nzuji et Sélom Komlan Gbanou (dir.), L’Afrique au miroir des littératures : mélanges offerts à Valentin-Yves Mudimbe, Paris, L’Harmattan / Archives et Musée de la Littérature, 2003, p. 429-439.

Suriam, Suzie, « De certaines figures énigmatiques dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », dans Christiane Ndiaye (dir.), Parcours figuratifs et configurations discursives du roman africain, Montréal, « Paragraphes », département des Littératures de langue française, Université de Montréal, 2006, p. 69-86.

Tarquini Valentina, « Par-delà le manichéisme générique : Georges Ngal et Boubacar Boris Diop », dans Susanne Gehrmann et Flora Veit-Wild (dir.), Conventions & Conversions. Generic Innovations in African Literatures / Innovations génériques dans les littératures africaines, Trier, WVT Wissenschaftlicher Verlag Trier, 2012, p. 263-283.

Thiel, Veronika, « Von der Selbstzensur zur Selbstbehauptung. Repräsentationskrise und narrative Objektivierungsstrategien in Le temps de Tamango von Diop », dans Niklas Bender et Steffen Schneider (dir.), Objektivität und literarische Objektivierung seit 1750, Tübingen, Narr Verlag, 2010, p. 225-241.

Thiel, Veronika, « La construction de l’identité littéraire entre affirmation et oscillation : l’autoréflexion romanesque dans Le temps de Tamango de Boubacar Boris Diop », dans Kathie Birat, Charles Scheel et Brigitte Zaugg (dir.), Dislocation culturelle et construction identitaire, Centre de recherches « Écritures » (Université de Lorraine), « Littératures des mondes contemporains. Série Amériques », 2012, p. 131-143.

Thioune, Birahim, « Aspects du romantisme dans les récits ironiques de Boubacar Boris Diop », dans Daniel Leuwers (dir.), Le romantisme aujourd’hui. Rencontres de Saché, 16-17 septembre 2004 : actes du colloque international organisé par l’AICL [Association internationale de la critique littéraire], Paris, EST / Samuel Tastet, 2005, p. 102-110.

Tissières, Hélène Colette, « Les tambours de la mémoire, roman de Boubacar Boris Diop : inscriptions mnémotechniques, arts et ndëpp », dans Créations et défis au Sénégal : Sembène, Diop, Diadji et Awadi, Paris, L’Harmattan, 2013, p. 65-98.

Bibliographie, p. 161-170.

Vaucher, Pierre, « L’oralité et l’écriture du génocide rwandais chez Boubacar Boris Diop », dans Luc Fotsing Fondjo et Moustapha Fall (dir.), Traditions orales postcoloniales. Discours d’ouverture de Boubacar Boris Diop, Paris, L’Harmattan, « Racines du présent », 2014, p. 91-104.

Warner, Tobias, « After Austerity : Boubacar Boris Diop and the Work of Literature in Neoliberal Senegal », dans Tobias Warner (dir.), Tongue-Tied Imagination : Decolonizing Literary Modernity in Senegal, New York, Fordham University Press, 2019, p. 203-232.

IV. Numéros de revue (classement chronologique)

« Boubacar Boris Diop », Interculturel Francophonies, no 18, novembre-décembre 2010, textes réunis et présentés par Liana Nissim, 348 p.

Sommaire. Liana Nissim, « Boubacar Boris Diop ou “des mille et une fables de la vie et de la mort” », p. 7-22 ; Boubacar Boris Diop-Liana Nissim, « “Aller au coeur du réel”. Entretien », p. 23-49 ; Silvia Riva, « L’Afrique au-delà du miroir : droits et devoirs de l’imaginaire », p. 51-87 ; Daniela Mauri, « Les figures féminines dans les romans de Boubacar Boris Diop », p. 89-125 ; Veronika Thiel, « L’autoréflexion dans Le temps de Tamango entre relativisme et urgence d’engagement », p. 127-148 ; Cristina Brancaglion, « Variations diatopiques dans Les traces de la meute », p. 149-179 ; Francesca Paraboschi, « Quand les narrateurs ne racontent pas. Mécanismes d’écriture de l’oralité dans Les traces de la meute », p. 181-202 ; Maria Benedetta Collini, « Quand le Mythe s’installe au coeur du Réel : Le cavalier et son ombre », p. 203-232 ; Virginie Brinker, « “Mots-machettes”, “mots-béquilles”, “quenouilles de mots” : comment écrire le génocide des Tutsi au Rwanda ? La spécificité de Murambi, le livre des ossements », p. 233-264 ; Papa Samba Diop, « Doomi Golo de Bubakar Bóris Jóob. De la traduction littéraire à la traduction française de l’auteur lui-même », p. 265-296 [autres publications dans un ouvrage collectif en 2014 (voir la section « II ») et comme chapitre de livre en 2013 (voir la section « III »)] ; Ali Chibani, « De l’émergence du thanatophore au retour du fondateur dans L’Afrique au-delà du miroir et Les petits de la guenon », p. 297-322 ; Marco Modenesi, « La nuit de l’Imoko. Quand les chimères s’effondrent », p. 323-340.

Compte rendu. Suzanne Gehrmann, Études Littéraires Africaines, no 32, 2011, p. 189-191.

« Boubacar Boris Diop. Une écriture déroutante », Langues et Littératures, hors série no 1, avril 2014, numéro coordonné par Boubacar Camara et Ousmane Ngom (revue du Groupe d’Études Linguistiques et Littéraires, Université Gaston Berger de Saint-Louis, Sénégal), p. 1-332 [réédition : Paris, L’Harmattan, 2019, 368 p.].

Sommaire. Kalidou Sy, « Préface : (Im)pouvoir de la littérature », p. vi-xi ; Boubacar Camara, « Les je(ux) de Boubacar (Boris) Diop », p. 1-26 ; Bojana Coulibaly, « Haunting of the Return in Boubacar Boris Diop’s Thiaroye terre rouge and Murambi, le livre des ossements », p. 27-47 ; Pierre Gomez, « Murambi : un tombeau à ciel ouvert », p. 49-67 ; Ibrahima Sarr, « La question du choix linguistique dans la création littéraire chez Boubacar Boris Diop : l’exemple de Doomi Golo », p. 69-82, suivi, en annexe, d’un « Entretien avec Boubacar Boris Diop / Waxtaan ak Buubakar Bóris Jóob » [en wolof], p. 82-95 ; Alioune-B. Diané, « Écriture, mémoire et subversion : les (en)jeux de la création esthétique dans Les tambours de la mémoire », p. 97-113 ; Mamoussé Diagne, « Boubacar Boris Diop ou les lacets de la mémoire [Les traces de la meute] », p. 115-124 ; Jonathan Russel Nsangou, « Société et esthétique de l’inachevé chez Boubacar Boris Diop [Le temps de Tamango, Le cavalier et son ombre] », p. 125-144 ; Babou Diene, « Lecture intertextuelle et intermédiatique du Temps de Tamango et du Cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », p. 145-162 ; Liana Nissim, « “La solitude du clown”. N’Dongo, Diery Faye, Aly Kaboye, les mendiants-conteurs [Le temps de Tamango, Les traces de la meute, Les petits de la guenon] », p. 163-183 ; Apo Philomène Seka, « Boubacar Boris Diop, entre fiction et réalité : les affleurements autobiographiques dans Les petits de la guenon », p. 185-196 ; Ousmane Ngom, « Boubacar Boris Diop : the Achievement of the Craft of I-Narration [Murambi, Les petits de la guenon, Kaveena] », p. 197-223 ; Francesca Paraboschi, « Prise de parole, prise de conscience (« Diallo, l’homme sans nom » de Boubacar Boris Diop) », p. 225-254 ; Pierre Vaucher, « Les espaces de non-dit chez Boubacar Boris Diop [Les tambours de la mémoire, Le cavalier et son ombre, Murambi] », p. 255-277 ; Nasrin Qader, « A Narrative of Catastrophe : Le cavalier et son ombre », p. 279-297 [version revue d’un chapitre de livre paru en 2009 ; voir la section « I. Livres »] ; « Boubacar Boris Diop : l’écrivain et ses ombres », entretien de Boubacar Camara et Ousmane Ngom avec B. B. Diop, p. 299-332.

La réédition de 2019 contient un article de Fodé Sarr, « Écriture, mémoire et oralité dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », p. 303-325, que nous n’avons pas vu dans l’édition de 2014.

« Qui a peur de la littérature wolof ? », Études Littéraires Africaines, no 46, 2018, numéro coordonné par Rémi Armand Tchokothe, p. 9-112.

Sommaire du « dossier » consacré à Boubacar Boris Diop. Rémi Armand Tchokothe, « Présentation », p. 9-17 ; Papa Samba Diop, « Introduction à l’oeuvre littéraire de Boubacar Boris Diop : du français au wolof », p. 19-29 ; Serigne Seye, « Bàmmeelu Kocc Barma de Boubacar Boris Diop ou comment écrire un roman postmoderne en wolof », p. 31-43 ; Ousmane Ngom, « Peut-on se baigner deux fois dans le même fleuve ? À propos de l’auto-traduction de Doomi Golo par Boubacar Boris Diop », p. 45-57 ; Alice Chaudemanche, « Une saison en wolof », p. 59-72 ; Nathalie Carré, « Boubacar Boris Diop et ses publics, entre français et wolof, ancrage local et internationalisation de l’oeuvre », p. 73-89 ; Fatoumata Seck, « Mettre sa langue à la première place : entretien avec Boubacar Boris Diop », p. 91-105 ; Rémi Armand Tchokothe, « “L’Histoire est un éternel recommencement, et presque toujours pour le pire” : entretien avec Boubacar Boris Diop », p. 107-112.

V. Articles de revue

Amabiamina, Flora, « Visages et représentations de femmes dans les situations de conflit. L’exemple de Murambi, le livre des ossements de Boris Boubacar Diop et d’Allah n’est pas obligé d’Ahmadou Kourouma », LittéRéalité, vol. 19, no 2, 2007, p. 33- 54.

Angui, Aimé, « Le réalisme historique [Murambi ; A. Kourouma, Allah n’est pas obligé] », Dalhousie French Studies, no 109, (« Fiction et histoire en littératures françaises et francophone »), Spring 2016, p. 7-15.

Arnould-Bloomfield, Elisabeth, « Commitment and Genocide Literature : Diop’s Murambi, The Book of Bones », Contemporary French and Francophone Studies, vol. 14, no 5 (« Séismes / Seismic Shifts. II »), décembre 2010, p. 505-513.

Bazié, Isaac, « Au seuil du chaos : devoir de mémoire, indicible et piège du devoir dire [Murambi ; V. Tadjo, L’ombre d’Imana ; L. Koulsy, La phalène des collines] », Présence francophone, no 63 (« Chaos, absurdité, folie dans le roman africain et antillais contemporain », dir. Justin Bisanswa et Isaac Bazié), automne 2004, p. 29-45.

Bede, Damien, « Fictions littéraires, conflits et pouvoirs en Afrique [Murambi ; T. Monénembo, L’aîné des orphelins] », Éthiopiques, no 71, 2e semestre 2003, p. 91-107.

Bénard, Noémie, « Le “témoignage” sur le génocide en littérature d’Afrique noire francophone : Tierno Monénembo et Boubacar Boris Diop [Murambi] », no 112, Lendemains (« Rwanda-2004 : témoignages et littérature », dir. Catherine Coquio et Aurélia Kalisky), mars 2004, p. 82-91.

Bisanswa, Justin K., « Pragmatique de la rumeur dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », Protée (« La rumeur », dir. Josias Semujanga), vol. 32, no 3, hiver 2004, p. 77-86.

Borgomano, Madeleine, « Le Rwanda ou la mémoire de l’horreur [Murambi ; A. A. Waberi, Moisson de crânes ; T. Monénembo, L’aîné des orphelins ; V. Tadjo, L’ombre d’Imana] », Québec français, no 127 (« Littératures de la francophonie »), automne 2002, p. 45-47.

Brezault, Éloïse, « Raconter l’irracontable : le génocide rwandais, un engagement personnel entre fiction et écriture journalistique », Éthiopiques, no 71, 2e semestre 2003, p. 1-25.

Carré, Nathalie, « Between Mother Tongue and “Ceremonial Tongue”. Boubacar Boris Diop and the Self-Translation of Doomi Golo », International Journal of Francophone Studies, vol. 18, no 1, March 2015, p. 101-114.

Chitour, Marie- Françoise, « Césaire, Fanon… et les autres (les figures antillaises dans la littérature africaine) [Le temps de Tamango ; A. A. Waberi, Balbala ; S. Kandé, Lagon, lagunes] », Palabres. Revue d’études africaines, vol. 2, no 4 (« Rencontres Antilles / Afrique », dir. Christine Chaulet Achour), août 2001, p. 47-57.

Coly, Augustin, « De l’historicité à la poéticité de l’horreur dans Murambi, le livre des ossements de Boubacar Boris Diop », Éthiopiques, no 87, 2e semestre 2011[1].

Coly, Augustin, « Des silences et mystères aux procédés combinatoires génériques dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop et La reprise d’Alain Robbe-Grillet », Annales de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines. ARCIV. Arts, cultures, civilisations (Dakar), nouv. série, no 46 / A, 2016, p. 217-232.

Coulibaly, Adama, « Non-lieux dans le roman africain postcolonial francophone : formes et enjeux », Présence francophone, no 88 (« Les figurations spatiales francophones : essais géocritiques », dir. Mbaye Diouf), 2017, p. 39-50.

Dehon, Claire L., « Diop Boubacar Boris, Murambi, le livre des ossements ; Waberi Abdourahman A., Moisson de crânes », The French Review, vol. 75, no 2, December 2001, p. 388-390.

Dia, Hamidou, « Boubacar Boris Diop : le mendiant du souvenir. Parcours subjectif des Tambours de la mémoire », Éthiopiques, no 52, 1er trimestre 1989 (vol. 6, no 1), p. 112-134.

Diop, Papa Samba, « Boubacar Boris Diop, entre “langue de cérémonie” et langue maternelle », Notre Librairie. Revue des littératures du Sud, no 155-156 (« Identités littéraires »), juillet-décembre 2004, p. 110-113.

Diop, Papa Samba, « Voyages entre les langues. Pratiques plurilingues chez Patrice Nganang [Temps de chien] et Boubacar Boris Diop [Doomi Golo] ». Notre Librairie. Revue des littératures du Sud, no 159 (« Langues, langages, inventions »), juillet-septembre 2005, p. 90-97.

Diouf, Baboucar, « La traduction, une problématologie : l’horreur dans Murambi, le livre des ossements de B. B. Diop », Multilinguales (Université de Béjaïa), vol. 3, no 1, 2015, p. 47-63.

Erickson, John D., « Writing Double. Politics and The African Narrative of French Expression [Le temps de Tamango ; T. Ben Jelloun, L’enfant de sable] », Studies in 20th Century Literature, vol. 15, no 1 (« Africa : Literature and Politics »), Winter 1991, p. 101-122.

Faulkner, Morgan, « Formes et fonctions du métatexte dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop », Présence francophone, no 91 (« Les figures de l’écrivain et de l’écrit dans le roman africain », dir. Kodjo Attikpoé et Josias Semujanga), 2018, p. 136-159.

Favre, Isabelle, « Hannah Arendt, Boris Diop [Murambi] et le Rwanda : correspondances et commencements », Présence francophone, no 66 (« L’exposition postcoloniale », dir. Lydie Moudileno), 2006, p. 111-133.

Gasster-Carrierre, Suzanne, « Boubacar Boris Diop, Kaveena [compte rendu] », The French Review, vol. 81, no 5, April 2008, p. 1028-1029.

Gasster-Carrière Suzanne, « Diop, Boris Boubacar, et Aminata Dramane Traoré, La gloire des imposteurs : lettres sur le Mali et l’Afrique [compte rendu] », The French Review, vol. 88, no 4 (« Francophonie(s) »), May 2015, p. 198.

Gehrmann, Susanne, « Face à la meute. Narration et folie dans les romans de Boubacar Boris Diop », Présence francophone, no 63 (« Chaos, absurdité, folie dans le roman africain et antillais contemporain », dir. Justin Bisanswa et Isaac Bazié), automne 2004, p. 145-159.

Gehrmann, Susanne, « Written Orature in Senegal. From the Traditionalistic Tales of Birago Diop to the Subversive Novels of Boubacar Boris Diop », Matatu. Journal for African Culture and Society (« Interfaces Between the Oral and the Written / Interfaces entre l’écrit et l’oral. Versions and subversions in African literatures. 2. », dir. Alain Ricard et Flora Veit-Wild), vol. 31-32, no 1, août 2005, p. 157-180. 

Godin, Jean Cléo, « Le “Je” narrateur et la meute du “pays” [Les traces de la meute] », Études françaises, vol. 31, no 1, été 1995 (« La représentation ambiguë : configurations du récit africain »), p. 39-50.

Gueye, Papa, « De la quête de soi à la découverte du récit : identité culturelle et écriture nouvelle dans Le cavalier et son ombre de Boubacar Boris Diop et dans La reine des sorciers de Seydi Sow », Annales de la Faculté des Lettres et Sciences humaines (Université Cheikh Anta Diop, Dakar), no 31, 2001, p. 197-209.

Hitchcott, Nicki, « Writing on Bones : Commemorating Genocide in Boubacar Boris Diop’s Murambi », Research in African Literatures, vol. 40 no 3, Fall 2009, p. 48-61.

Joubert, Jean-Louis, « Kaveena, Boubacar Boris Diop [compte rendu] », Le Français dans le monde, no 347, octobre 2006, p. 56.

Kavwahirehi, Kasereka, « Diop, Boubacar Boris, Murambi, le livre des ossements », Études littéraires, vol. 35, no 1 (« Afrique en guerre », dir. Alexis Tcheuyap), hiver 2003, p. 125-127.

Kesteloot, Lilyan, « Les Traces de la meute by Boubacar Boris Diop [compte rendu] », The French Review, vol. 68, no 6, May 1995, p. 1119-1120.

Kesteloot, Lilyan, « Note de lecture. Boubacar Boris Diop : Le cavalier et son ombre », Notre Librairie. Revue des littératures du Sud, no 136 (« Nouveaux paysages littéraires »), janvier-avril 1999, p. 74-75.

King, Adèle, « Le temps de Tamango. Eighteen Hundred Years of Solitude », Komparatische Hefte, vol. 12, 1985, p. 77-89.

King, Adèle, « Diop, Le cavalier et son ombre [compte rendu] », World Literature Today, vol. 72, no 2, Spring 1998, p. 442.

Kopf, Martina, « The Ethics of Fiction : African Writers on the Genocide in Rwanda [Murambi ; T. Monénembo, L’aîné des orphelins ; L. Koulsy, La phalène des collines ; V. Tadjo, L’ombre d’Imana] », Journal of Literary Theory, vol. 6, no 1 (« Trauma and Literature »), 2012, p. 65-82.

Laurenti, Delphine, « L’histoire “aux frontières du dire”. Littérature francophone d’Afrique subsaharienne (textes d’A. Kourouma, B. B. Diop et d’E. B. Dongala) », Narratologie, no 7 (« Problèmes du roman historique », dir. Aude Déruelle et Alain Tassel), mars 2008, p271-283.

Le Carvennec, Ernest, « Figures et fiction dans Le temps de Tamango de Boubacar Boris Diop », Études romanesques, no 3 (« Mythologie de l’écriture et roman », dir. Jean Bessière), 1995, p. 215-227.

Le Carvennec, Ernest, « Figures du réel et figures du dehors dans le roman africain francophone. Les tambours de la mémoire de Boubacar Boris Diop », Études romanesques, no 4 (« L’Autre du roman et de la fiction », dir. Jean Bessière), 1996, p. 139-150.

Levy, Michele, « Murambi, The Book of Bones by Boubacar Boris Diop (trad. Fiona McLaughlin) [compte rendu] », World Literature Today, vol. 81, no 3, May-June 2007, p. 67-68.

Luis Gamallo, María Obdulia, « Murambi, le livre des ossements : la tradition orale au service d’une histoire dite nationale », Anales de filología francesa (Ediciones de la Universidad de Murcia), vol. 20, no 2 (« Francophonies / Francofonías »), 2012, p. 129-139.

Une version revue paraîtra dans un ouvrage collectif en 2014 (voir la section « III. Chapitres de livre »).

Lüsebrink, Hans-Jürgen, « Postkoloniale Perspektivierungen. Zur Neu-Lektüre europäischer Klassiker bei Autoren aus Afrika und der Karibik [Le temps de Tamango] », Saarbrücker literaturwissenschaftliche Ringvorlesungen, no 3 (« Klassiker : Neu-Lektüren », dir. Ralf Bogner et Manfred Leber), 2013, p. 229-241.

Mar, Daouda, « Le roman des conflits en Afrique contemporaine [Le temps de Tamango, Les tambours de la mémoire, Le cavalier et son ombre] », Éthiopiques, no 71, 2e semestre 2003, p. 27-49.

Michelman, Fredric, « From Tamango to Thiaroye : the Revolution Back on Course ? », Research in African Literatures, vol. 21, no 2 (« Dictatorship and Oppression »), Summer 1990, p. 59-65.

Une version revue paraîtra en 1998 (voir la section « III. Chapitres de livre »).

Mortimer, Mildred, « Comment parler du génocide ? Comment ne pas en parler ? Murambi, le livre des ossements de Diop », Oeuvres & Critiques, vol. 36, no 2 (« Écrivains africains et antillais : du roman comme Histoire », dir. Elisabeth Mudimbe-Boyi), 2011, p. 93-101.

Mudimbe-Boyi, Elisabeth, « The State, the Writer, and the Politics of Memory [Les tambours de la mémoire ; J.-M. G. Le Clézio, Onitsha] », Studies in 20th Century Literature, vol. 23, no 1 (« Empire and Occupation in France and the Francophone Worlds »), 1999, p. 143-161.

Ngom, Issa, « Nouveaux paradigmes narratifs dans les récits du génocide rwandais du Fest’Africa [Murambi] », Éthiopiques, no 90, 1er semestre 2013, p. 73-96.

Ngom, Ousmane, « Métaphores obsédantes du seetu et reflets identitaires dans Doomi Golo et L’Afrique au-delà du miroir de Boubacar Boris Diop », Langues et Littératures (revue du Groupe d’Études Linguistiques et Littéraires, Université Gaston Berger de Saint-Louis, Sénégal), no 17, janvier 2013, p. 121-136.

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Anno IV, no 11, 2007, p. 151-159 [Le temps de Tamango ; S. Ousmane, Le dernier de l’empire]. – Anno V, no 13, 2008, p. 137-148 [Le temps de Tamango]. – Anno V, no 14, 2008, p. 144-156 [Les tambours de la mémoire]. – Anno V, no 15, 2008, p. 123-138 [Les traces de la meute]. – Anno VI, no 16, 2009, p. 176-186 [Le cavalier et son ombre]. – Anno VI, no 17, 2009, p. 193-203 [Murambi, le livre des ossements]. – Anno VI, no 18, 2009, p. 147-157 [Kaveena]. – Anno VII, no 19, 2010, p. 133-154 [Les petits de la guenon].

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Nissim, Liana, « Vivre et écrire dans l’odeur de la mort (L’Afrique au-delà du miroir et Murambi, le livre des ossements de Boubacar Boris Diop) », Altre modernità, no 4 (« La morte e i suoi riti nella cultura contemporanea »), octobre 2010, p. 200-216.

Onanuga, Ayobami, « Violence and its Linguistic Framing : an Exploration of Boubacar Boris Diop’s Murambi, The Book of Bones and Uwem Akpan’s Say You’re One of Them », Journal of Literary Studies, vol. 34, no 1, 2018, p. 21-37.

Repinecz, Jonathon, « “The Tales of Tomorrow” : Towards a Futurist Vision of Wolof Tradition [Doomi Golo, Les petits de la guenon] », Journal of African Cultural Studies, vol. 27, no 1 (« Literatures in African Languages »), 2015, p. 56-70.

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Seye, Serigne, « La théâtralité du récit romanesque ou la tentation du théâtre chez Boubacar Boris Diop », Interculturel. Revue interdisciplinaire de l’Alliance Française (Lecce), no 21 (« Regards comparés sur la littérature »), 2017, p. 251-272.

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Wattara, Mamadou, « Murambi de Boubacar Boris Diop. L’écriture testimoniale comme transfiguration émotive du réel ? », Nouvelles Études Francophones, vol. 28, no 1, printemps 2013, p. 102-116.

VI. Préface

Beti, Mongo, « Préface » à Le temps de Tamango, Paris, L’Harmattan, « Encres noires », 1981, p. 5-9 [rééd. Paris, Le Serpent à Plumes, 2002, p. 11-16].

VII. Publications en ligne

Alessandri, Brigitte, « L’école dans l’oeuvre romanesque de Boubacar Boris Diop, écrivain sénégalais », Contextes et Didactiques, no 2, 2008 (www.contextesetdidactiques.com/891).

Brinker, Virginie, « Un homme révolté [L’Afrique au-delà du miroir] », La Plume francophone, 1er août 2008 (la-plume-francophone.com/2008/08/01/boubacar-boris-diop-lafrique-au-dela-du-miroir/).

Brinker, Virginie, « Boubacar Boris Diop, Kaveena. Jeu de piste pour une oeuvre caméléon », La Plume francophone, 5 août 2008 (la-plume-francophone.com/2008/08/05/boubacar-boris-diop-kaveena/).

Brinker, Virginie, « Boubacar Boris Diop, Les petits de la guenon. “Je ne suis quand même pas de ces vieillards qui parlent à tort et à travers” », La Plume francophone, 5 août 2008 (la-plume-francophone.com/2008/08/05/boubacar-boris-diop-les-petits-de-la-guenon/).

Chibani, Ali, « Cent jours, mille collines, un million de morts [Murambi] », La Plume francophone, 5 août 2008 (la-plume-francophone.com/2008/08/05/boubacar-boris-diop-murambi/).

Chibani, Ali, « Il faut briser le cercle [La nuit de l’Imoko] », La Plume francophone, 15 janvier 2014 (la-plume-francophone.com/2014/01/15/boubacar-boris-diop-la-nuit-de-limoko-2/).

Coly, Augustin, « De l’hybridité générique dans Les gommes (1953) d’Alain Robbe-Grillet et Les tambours de la mémoire (1987) de Boubacar Boris Diop », TRANS- Revue de littérature générale et comparée, no 20 (« Résister à la littérature »), 2016 (journals.openedition.org/trans/1273).

Gangoueus, LaRéus, « Arbitraire, chutes, voix singulières et un peu de symétrie [La nuit de l’Imoko] », La Plume francophone, 9 janvier 2014 (la-plume-francophone.com/2014/01/09/boubacar-boris-diop-la-nuit-de-limoko/).

Germanotta, Maria Angela, « L’écriture de l’inaudible. Les narrations littéraires du génocide au Rwanda », Interfrancophonies. Mélanges, 2010, p. 1-34 (interfrancophonies.org/germanotta_10.pdf).

Jacques, Georges, « Le génocide rwandais et la distanciation romanesque [Murambi] », Interférences littéraires, no 3 (« Les écrivains et le discours de la guerre », dir. François-Xavier Lavenne et Olivier Odaert), novembre 2009, p. 191-197 (www.interferenceslitteraires.be/index.php/illi/article/view/783/633).

Mapangou, Dacharly, « De Miguel de Cervantès à Boubacar Boris Diop : approche des modalités picaresques de la fiction romanesque africaine postmoderne [Les tambours de la mémoire] », Nodus Sciendi, vol. 13 (« La question du picaresque dans la littérature africaine : théories et pratiques », dir. Dr Bidy Cyprien Bodo), août 2015, p. 4-18 (www.nodusciendi.net/vol13.php).

Ngom, Ousmane, « Militantisme linguistique et initiation littéraire dans Doomi Golo, roman wolof de Bubakar Bóris Jóob », Repères-Dorif, no 2 (« Voix / voies excentriques : la langue française face à l’altérité : les francophonies et francographies africaines face à la référence culturelle française », volet 1, dir. Cristina Schiavone), novembre 2002 (www.dorif.it/ezine/ezine_articles.php?art_id=34).

Sarr, Fodé, « Murambi, le livre des ossements : entre indicible et intergénéricité », Baobab. Revue des sciences imaginaires, arts, lettres et sciences humaines, 17 septembre 2007 (www.revuebaobab.org/images/pdf/baobab0/fode_sarr.pdf).

VIII. Entretiens (choix ; classement chronologique)

Seck, Alassane, « Boubacar Boris Diop, un romancier novateur et subversif », Le Témoin (Dakar), no 368, 30 septembre-6 octobre 1997, p. 11. 

Mabanckou, Alain, « Écrire ou tutoyer l’inconnu. Entretien avec Boubacar Boris Diop », Notre Librairie. Revue des littératures du Sud, no 136, janvier-avril 1999, p. 70-73.

Volet, Jean-Marie, « À l’écoute de Boubacar Boris Diop, écrivain », Mots pluriels, no 9, 1999 (motspluriels.arts.uwa.edu.au/MP999bbd.html).

Gaasch, James, « Entretien avec Boubacar Boris Diop », dans La Nouvelle sénégalaise. Texte et contexte, Saint-Louis (Sénégal), Xamal, 2000, p. 44-49.

Précédé d’une courte « Biographie » de Boubacar Boris Diop (p. 43), suivie de la nouvelle « La nuit de l’Imoko » (p. 49-58).

Mongo-Mboussa, Boniface, « Le Rwanda m’a appris à appeler les monstres par leur nom », Africultures, no 30 (« Rwanda 2000 : mémoires d’avenir », dir. Boniface Mongo-Mboussa), septembre 2000 (africultures.com/le-rwanda-ma-appris-a-appeler-les-monstres-par-leur-nom-1465/).

Sugnet, Charles, « Dances with Wolofs : a Conversation with Boubacar Boris Diop », Transition. An International Review, no 87, 2001, p. 138-159.

Bouka, Yolande et Chantal Thompson, « Interview with Boubacar Boris Diop », Lingua Romana, vol. 2, no 1 (« Romanian Culture / Collins on Religion and Critical Theory », dir. Scott Sprenger), Fall 2003, (linguaromana.byu.edu/2016/05/31/interview-boubacar-boris-diop/).

Marin La Meslée, Valérie, « Boubacar Boris Diop. Pour l’engagement de l’écrivain africain », Magazine littéraire, no 426, décembre 2003, p. 17.

Tervonen, Taina, « Le français n’est pas mon destin », Africultures, no 57 (« Où va le livre en Afrique ? », dir. Isabelle Bourgueil), 2003-4, p. 109-112 (africultures.com/le-francais-nest-pas-mon-destin-3197).

[Ricard, Alain], « Boubacar Boris Diop. La langue en question ». Les « principaux extraits » de cette rencontre (Bordeaux, 9 novembre 2007), ont été publiés par Africultures le 5 décembre 2007 (africultures.com/boubacar-boris-diop-7169/).

Hamon, Cécile, « Interview », Palabres. Revue d’Études africaines et antillaises, vol. VIII (« Écrire l’Afrique aujourd’hui », dir. Papa Samba Diop et Sélom Komlan Gbanou), 2007-2008, p. 243-250.

Suivi par un article de B. B. Diop, « Écris et… tais-toi ! », p. 251-259.

Sopova, Jasmina, « Prêcher dans le désert ou miser sur l’avenir ? », Le Courrier de l’unesco, no 1, 2008, p. 3-5 (unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000158396_fre).

Brezault, Éloïse, « Boubacar Boris Diop », dans Afrique. Paroles d’écrivains, Montréal, Mémoire d’encrier, « Essai », 2010, p. 65-112.

Compte rendu. Florence Paravy, Études Littéraires Africaines, no 30, 2010, p. 113-114.

Tadjo, Véronique, « Interview with Boubacar Boris Diop », African Identities, vol. 8, no 4 (« The Rwandan Genocide : A Critical Re-evaluation »), November 2010, p. 425-430.

Traduction anglaise par Libby Meintjes.

Nissim, Liana, « “Aller au coeur du réel”. Entretien », Interculturel Francophonies, no 18 (« Boubacar Boris Diop », dir. Liana Nissim), novembre-décembre 2010, p. 23-50.

Camara, Boubacar et Ousmane Ngom, « Boubacar Boris Diop : l’écrivain et ses ombres », Langues et Littératures, hors série no 1 (« Boubacar Boris Diop, une écriture déroutante »), avril 2014, p. 299-332.

Ibrahima Sarr, « Entretien avec Boubacar Boris Diop / Waxtaan ak Buubakar Bóris Jóob » [en wolof], Langues et Littératures, hors série no 1 (« Boubacar Boris Diop, une écriture déroutante »), avril 2014, p. 69-82 (annexe de l’article « La question du choix linguistique dans la création littéraire chez Boubacar Boris Diop : l’exemple de Doomi Golo », p. 69-82).

Touré, Katia, « Littérature – Céytu : là où le wolof tutoie les grandes oeuvres francophones », entretien avec B. B. Diop et les éditeurs Laure Leroy (Paris, Zulma) et Rodney Saint-Éloi (Montréal, Mémoire d’encrier), 19 février 2016 [modifié le 22 février 2016] (www.lepoint.fr/culture/litterature-ceytu-quand-le-wolof-tutoie-les-grandes-oeuvres-francophones-19-02-2016-2019620_3.php).

[Xalima News], « Entretien exclusif avec Boubacar Boris Diop : le processus [de] déculturation n’est pas achevé au Sénégal », Xalima News, 15 février 2018 (xalimasn.com/entretien-exclusif-avec-boubacar-boris-diop-le-processus-deculturation-nest-pas-acheve-au-senegal).