Abstracts
RÉSUMÉ
Depuis le début du siècle, le taux de « criminalité » à Hull a fait à cette ville une réputation peu enviable, qui lui a valu le surnom de « Petit Chicago ». Nous verrons que son état de ville frontalière et la tolérance différentielle affichée par les Ontariens et les Québécois en matière de consommation d'alcool y ont eu une influence prépondérante sur le « crime » et l'activité policière tout au long du XXe siècle.
ABSTRACT
Since the turn of the century, the city of Hull has suffered the dubious distinction of being nicknamed "Little Chicago" because of its high crime rate. As we shall see, Quebec's more liberal attitudes towards alcohol and Hull's "border town" status have combined to significantly influence not only the incidence of "crime" in the urban core but also the activities and attitudes of the Hull police force through the twentieth century.
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