Abstracts
Résumé
La littérature postcoloniale italienne interroge le statut du texte tant sur le plan de son appartenance à un auteur et à une tradition ou canon littéraires nationaux, que sur le plan de l’homogénéité de la langue, des rapports de pouvoir entre les langues (et les littératures) et les stratégies de traduction. Le cas de Immigrato (1990) de Mario Fortunato et Salah Methnani, ainsi que les romans de Ubah Cristina Ali Farah, Madre piccola (2007) et Il comandante del fiume (2014), nous permettront de discuter ces hypothèses.
Abstract
Italian postcolonial literature questions the status of the text from the point of view of its belonging to an author’s oeuvre and to a national literary tradition/canon, as well as from the perspective of homogeneity of language, power relations between languages (and literatures), and strategies of translation. The case of Immigrato (1990) by Mario Fortunato and Salah Methnani, as well as Ubah Cristina Ali Farah's novels Madre piccola (2007) and Il comandante del fiume (2014), will help us discuss these hypotheses.