Abstracts
Résumé
Cet article s’intéresse aux espaces intermédiaires présents au Jardin des Premières-Nations du Jardin botanique de Montréal ainsi que dans l’oeuvre Le regard perçant (2003) de Richard Robertson. Il s’agit de mettre en lumière les nombreuses dynamiques relationnelles en circulation dans les territoires afin d’explorer les mémoires et les marques culturelles qu’y ont laissées les nations autochtones depuis plus de 10 000 ans.
Abstract
This article examines the intermediary spaces present in the First Nations Garden at the Montreal Botanical Garden as well as in Richard Robertson’s mural Le regard perçant (2003). The aim is to highlight the relational dynamics specific to those territories in order to explore the memories and cultural marks that Indigenous nations have been creating there for more than 10,000 years.