Abstracts
Abstract
This text proposes a reading of Parque das ruínas (Ruins Park, 2018), a poetry book by Marília Garcia, which places words and images in a dialogue in order to question ways of seeing through constant changes of spatial and temporal scales. Mediated by optical devices, it exposes a body of perception as crossed by “practices, techniques, institutions, and procedures of subjectivation” (Crary, 2012). Our aim here is also a re-assembling of the book’s images in their relation to Rio de Janeiro’s history grounded in slavery and their related struggles regarding memory. By referring to the archaeological strata of Rio de Janeiro’s formation, moving through the “ruins” of its modern institutions such as the museum and the university discussed in Garcia’s book, we suggest an underlying sense that ties the poem to the present dynamics of extractive capitalism.
Résumé
Ce texte propose une lecture de Parque das ruínas (2018), recueil poétique de Marília Garcia, dans lequel dialoguent entre eux mots et images, questionnant les façons de voir à travers des changements constants d’échelles spatiales et temporelles. Par le biais de dispositifs optiques, est exposé un corps de perception, traversé par « des pratiques, techniques, institutions et procédures de subjectivation » (Crary, 2012). Notre but, ici, est également un réassemblage des images du livre dans leur relation avec l’histoire de Rio de Janeiro, fondée sur l’esclavagisme, et avec les luttes politiques contemporaines autour de la mémoire. En nous référant aux strates archéologiques de la formation de Rio de Janeiro, par un regard sur les ruines de ses institutions modernes telles que le Musée et l’Université, comme mentionné dans le livre de Garcia, nous suggérons un sens sous-jacent dans le poème lié à la dynamique actuelle du capitalisme extractif.