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Appendices
Notes biographiques
Karine Gentelet détient une double formation en anthropologie et en sociologie. Depuis son post-doctorat, elle est rattachée au Laboratoire de cyberjustice de l’Université de Montréal à titre de coordonnatrice scientifique et de chercheure associée. Ses sujets de recherche ainsi que ses publications portent 1) sur le discours sur la reconnaissance des droits des peuples autochtones à travers une approche de sociologie et d’anthropologie du droit, 2) sur la question de la mobilisation des connaissances et de l’éthique de la recherche en contexte autochtone, et 3) sur les conditions de l’accès numérique à la justice chez les Premières Nations. Elle vient de publier en collaboration avec Marguerite Soulière et Gabriela Coman un ouvrage aux éditions de l’ACSALF intitulé « Visages contemporains de la critique sociale. Réflexions croisées sur la résistance quotidienne ».
Annis May Timpson, Ph. D, est une spécialiste britannique du Canada de premier plan et participe activement à la recherche sur les politiques linguistiques concernant les langues autochtones et les langues issues de la colonisation au Nunavut. Elle a participé au projet « Multilateral Collaborative Research Initiative: Indigenous Peoples and Governance », et participe maintenant, avec des collègues québécois, au « Partnership Project: The Aboriginal World and the Challenges of Living Together: Governance, Pluriculturalism and Citizenship », deux projets financés par le CRSH (2006 et 2014). Elle compte, parmi ses publications, « First Nations, First Thoughts: The Impact of Indigenous Thought in Canada » et de nombreux articles sur l’intégration des valeurs inuites dans la gouvernance publique au Nunavut.