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T. Barasubiye1, H.D.T. Nguyen2, J. Jaja2, J. Siciliano2, C. Babcock1 and M. Corlett1. 1Eastern Cereal and Oilseed Research Centre, Agriculture and Agri-Food Canada, Ottawa (Ontario), Canada K1A 0C6; 2University of Ottawa, Ottawa (Ontario), Canada K1N 6N5 Species of Alternaria cause a wide range of economically important diseases on a variety of crops and are difficult to identify based on morphology. We report a DNA method based on multilocus (ITS, RPB2, EF-1alpha, glyceraldehyde-3-phosphate dehydrogenase and endopolygalacturonase) sequencing to characterize and identify Alternaria species that produce small or large spores, and related genera obtained from the Canadian Fungal Cultures Collection. Genomic DNA was extracted from selected cultures of Alternaria spp., Stemphylium spp. and Ulocladium spp. using the Qiagen DNeasy Plant Mini kit. We successfully amplified and obtained amplicons of uniform size from genomic DNA from all small spores of Alternaria and related genera using primers for the five selected genes. No amplification was obtained from genomic DNA of large spores species with primers designed to amplify a portion of endopolygalacturonase gene. With a primer pair designed to amplify EF-1alpha, we consistently obtained an amplicon that discriminates the group with small spores from the large spore-producing cultures of Alternaria in our collection. By using a multilocus DNA sequencing approach, we clearly demonstrated the potential use of endopolygacturonase gene to discriminate Alternaria gaisen, a quarantine species in the Alternaria alternata species complex. G. Bélair1, B. Mimee1 et S. Miller2. 1Centre de recherche et de développement en horticulture, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec), Canada J3B 3E6; 2Agence canadienne d’inspection des aliments, Fallowfield (Ontario), Canada K2H 8P9 En 2011, des réductions importantes de croissance ont été observées dans un champ de soja de 10 ha cultivé sur un sol de texture légère à Saint-Anicet, au Québec. Une réduction de rendement de 46 % a été enregistrée dans les parcelles présentant des symptômes par rapport aux parcelles asymptomatiques et une réduction de 41 % par rapport aux zones en bordure des parcelles avec symptômes. Une analyse des racines a révélé la présence du nématode Pratylenchus alleni dont les densités ont été estimées à 1 119 g‑1 de racine sèche dans les parcelles endommagées, tandis que des densités de 335 et 524 P. alleni g‑1 de racine ont été dénombrées dans les parcelles asymptomatiques et dans celles situées en bordure des parcelles affectées, respectivement. Aux États-Unis, la pathogénicité de P. alleni dans le soja a été formellement établie dans les États du sud-ouest. À notre connaissance, il s’agirait ici de la première mention de P. alleni au Canada, de même que la première détection de dommage aux champs causé par un nématode des lésions dans la culture du soja au Canada. Ce nématode, qui se développe davantage que l’espèce locale P. penetrans à des températures plus élevées, serait-il une manifestation des changements climatiques? D. Bernier¹ et R. Fortin2. ¹Direction de la phytoprotection, Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, Québec (Québec), Canada G1R 4X6; 2Commission de phytoprotection, Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec, Québec (Québec), Canada G1V 2M2 À la fin des années 1970, les premières mauvaises herbes résistantes aux herbicides ont été trouvées dans la région de Sherbrooke. La moutarde des oiseaux (Brassica campestris) et l’amarante de Powell (Amaranthus powellii) furent les premières espèces. Elles se retrouvaient principalement dans la culture du maïs. Entre les années 1980 et la fin des années 1990, plusieurs …