Aux Études

Les mémoires de maîtrise en service social à l’Université d’Ottawa[Record]

  • Alexandra Potvin,
  • Aline Abdulnour,
  • Benoit Veilleux,
  • Carole Gagnon,
  • Cindy Lavoie,
  • Denise Ouellette,
  • Eliane Jeha,
  • Geneviève Piché,
  • Jean-Marie Mousenga,
  • Louise Provost,
  • Magnolia Soutyrine,
  • Marie-Ève Lavoie,
  • Marie-Renée Bernagène,
  • Michèle Dumel,
  • Rachel Hasan,
  • Régis L. Luzolo,
  • Sarah Poulin,
  • Sonia Richard,
  • Stéphanie Pearce,
  • Tania Duguay,
  • Tania Paiement,
  • Thomas Vanté and
  • Tina Delorme

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  • Alexandra Potvin
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Aline Abdulnour
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Benoit Veilleux
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Carole Gagnon
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Cindy Lavoie
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Denise Ouellette
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Eliane Jeha
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Geneviève Piché
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Jean-Marie Mousenga
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Louise Provost
    Université d’Ottawa, École de service social

  • Magnolia Soutyrine
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Marie-Ève Lavoie
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Marie-Renée Bernagène
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Michèle Dumel
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Rachel Hasan
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Régis L. Luzolo
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Sarah Poulin
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Sonia Richard
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Stéphanie Pearce
    Université d’Ottawa, École de service social

  • Tania Duguay
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Tania Paiement
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Thomas Vanté
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Tina Delorme
    Université d’Ottawa, École de service social

Cette étude de cas a pour objectif d’évaluer une initiative communautaire d’intervention collective dans l’environnement socio-économique actuel. Pour ce faire, il s’agira d’abord de présenter la problématique en identifiant les politiques néo-libérales des gouvernements fédéral et provincial en matière des services sociaux, tout en exposant l’impact de cette intervention de l’État sur le bien-être collectif. Nous verrons que la municipalité d’Ottawa doit assumer des responsabilités financières accrues; que les agences communautaires doivent combler des besoins grandissants avec moins de ressources pécuniaires; et que les résidents doivent davantage surmonter des barrières sociales qui font décliner leur qualité de vie. Dans ce nouveau contexte de remodelage des politiques sociales et de compressions budgétaires, il devient pressant de contrecarrer les forces néo-libérales et d’influencer les administrations gouvernementales pour améliorer les conditions d’existence des classes défavorisées, ciblées et marginalisées par des politiques répressives. En s’inspirant d’une approche marxiste-structurelle, un cadre d’analyse s’appuyant sur une perspective d’action sociale a été développé pour évaluer si le Groupe de travail sur la pauvreté à Ottawa a pu se faire entendre par les détenteurs de pouvoir. Des concepts clés, tels la conscientisation collective, la mobilisation, et l’empowerment, ont été mis en relief. Ce faisant, il est question d’exposer les tactiques revendicatives, les retombées ainsi que les difficultés rencontrées par le Groupe. Enfin, à l’aide de cette étude de cas, le présent travail vise à offrir des outils à la communauté en ce qui concerne les activités de revendication, de façon à inciter la renaissance de l’action sociale. Cette étude explore les stratégies mises de l’avant par les jeunes Libanaises nées ou ayant émigré au Canada, pour faire face aux conflits intergénérationnels dans leurs familles. Nous nous intéressons plus particulièrement, aux forces et aux compétences déployées par les jeunes dans ces situations. Tout en explorant la nature de ces conflits au sein de la famille immigrante, cette recherche vise d’abord à cibler les stratégies qui permettent aux adolescentes de traverser les difficultés en continuant de se développer. Nous avons privilégié une méthodologie qualitative qui a permis d’explorer la réalité vécue par les jeunes et de la mettre en avant plan. En tout, six participantes ont choisi de faire partie de la recherche. Deux groupes focus ont été formés avec trois participantes dans chacun. L’analyse des propos des participantes a fait émerger trois thèmes principaux. Le premier, le projet d’immigration des parents, est un thème central puisque celui-ci a une influence sur les relations intergénérationnelles, sur les conflits qui surgissent entre les membres de la famille, qui influencent à leur tour la recherche d’identité des jeunes adolescents et adolescentes. Le deuxième thème porte sur les tensions vécues par les jeunes, notamment dans leur quête d’identité. Le dernier traite des stratégies utilisées par les jeunes pour surmonter les difficultés. Finalement, nous avons dégagé quelques pistes de réflexion pour l’intervention sociale chez les jeunes qui vivent des tensions intergénérationnelles. Permettre aux jeunes de s’exprimer sur leur vécu et de partager leurs expériences, leur a permis de s’affirmer comme acteurs sociaux de leur situation. Dans un monde dominé par les hommes, le monde des hommes est par définition un monde où l’enjeu principal est le pouvoir » (Kaufman 1994). Ce pouvoir est omniprésent au sein de notre société. C’est à travers les différentes institutions telles que la famille, la religion, la politique et l’économie, entre autres, que l’homme exerce son pouvoir et son contrôle sur l’ensemble du système. Mais sur le plan individuel, la relation que l’homme a développé avec le pouvoir est sans contredit fort différente. Peu d’hommes peuvent prétendre se sentir bien en contrôle de leur vie. Si certains peuvent jouir …