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Comme nous l’avons fait l’an dernier, nous présentons un portrait des activités rédactionnelles de la Revue au cours de la dernière année et un aperçu des activités souhaitées pour la prochaine année.
1. Rétrospective des activités rédactionnelles
La dernière année a été particulièrement mouvementée à la Revue des sciences de l’éducation. Plus particulièrement, nous avons connu une restructuration du secrétariat qui a malheureusement causé d’importants retards dans le processus de rédaction. Nous nous en excusons et, heureusement, nous sommes en train de rétablir la situation. Dans ce contexte, nous avons pu retrouver notre rythme habituel en ce qui a trait au processus d’arbitrage. En ce concerne les dates de parution des numéros, tout devrait rentrer dans l’ordre au cours de la prochaine année.
Comme prévu, à chacun des articles publiés, nous avons ajouté des informations sur le pourcentage de participation de chacun des auteurs. Ces informations sont utiles aux auteurs lorsqu’ils se retrouvent en situation d’évaluation par leurs pairs et qu’on leur demande de préciser l’importance de leur contribution, situation de plus en plus fréquente. De cette façon, ils n’auront plus à contacter les coauteurs plusieurs années après la publication des articles pour obtenir ces renseignements. En second lieu, les difficultés vécues à la Revue ne nous ont pas permis de transmettre aux évaluateurs une rétroaction au sujet du travail d’arbitrage qu’ils ont réalisé pour la Revue : cette situation sera corrigée en 2012. C’est aussi le cas en ce qui a trait à la remise du Prix André-Girard ainsi qu’à la mise en oeuvre d’un mécanisme d’évaluation du fonctionnement de la Revue. Toutefois, comme prévu, des actions ont été entreprises afin d’augmenter les occasions de collaboration de la Revue avec ses partenaires privilégiés, tels que les facultés d’éducation, l’Association canadienne des doyennes et doyens d’éducation (ACDE), l’Association canadienne des revues savantes (ACRS) ainsi que le consortium Érudit (responsable de la numérisation). Enfin, les problèmes vécus à la Revue ont été une occasion d’accélérer la mise en place d’une gestion informatisée et à distance du processus de rédaction. Pour le moment, ce processus ne vise que la gestion interne, soit le classement des soumissions, le suivi de celles-ci et la production de quelques rapports de soutien aux diverses étapes du processus rédactionnel.
2. Plan d’action pour l’année 2012
En plus de poursuivre les actions entreprises au cours des dernières années, en 2012, nous prévoyons trois phases dans l’informatisation du processus rédactionnel. La première consistera à automatiser l’accès à distance à tous les documents numérisés associés à chacune des soumissions à la Revue. La seconde phase visera à permettre d’automatiser les échanges par courriel entre les partenaires de la Revue, à toutes les étapes du processus rédactionnel. Lors de la troisième phase, l’automatisation de la production de tous les rapports utiles à la gestion de la Revue sera réalisée. Nous espérons que l’informatisation du processus rédactionnel nous permettra d’éviter certains problèmes qui ont affecté le déroulement de ce processus au cours de la dernière année.
3. Remerciements
Pour terminer ce préambule au premier numéro de l’année de la Revue, nous jugeons important de souligner l’arrivée de Mme Carole Bergeron, à titre de secrétaire à la Revue, et le retour de Mme Geneviève Falaise, qui sera principalement responsable de l’étape d’édition en collaboration avec les éditions Carte blanche. Il est important de souligner que la contribution de ces deux personnes a été un élément clé pour le rattrapage dans le processus de rédaction.
En ce qui concerne le travail d’informatisation, nous désirons aussi remercier M. Christian Bourassa, qui a effectué celui-ci de manière exemplaire, et même en allant bien au-delà de nos besoins.
Nous profitons de l’occasion pour remercier également nos auteurs, nos arbitres, les membres du comité de rédaction, les membres du comité scientifique et du comité international de lecture ainsi que nos lecteurs, sans lesquels la Revue n’aurait pas autant de succès ni d’importance dans le milieu des sciences de l’éducation.