Abstracts
Résumé
Les dernières décennies du 19e siècle sont connues comme une période de transition importante dans le monde médicale. Les nouvelles découvertes ont révolutionné la façon de voir et de combattre les maladies. Les microbes, pas les miasmes, furent la cause des maladies, qui furent contrôlé plus avec les mesures sanitaires pour la prévention, que par les traitements miraculeuses. En dépouillant les articles sur la fièvre typhoïde dans la revue l’Union médicale du Canada entre 1872 et 1900 on constate que les médecins acceptaient rapidement quelques innovations importantes. Par contre, en ce qui concerne les innovations où leurs anciennes affirmations furent mises en doute, ou leur popularité auprès de la population mis en péril, certains médecins démontraient une hésitation d’accepter ces avances. Cette étude présente la coexistence des idées nouvelles avec des idées plus anciennes, qui continuaient à être diffusé, parfois des années après des découvertes importantes. Nous verrons comment ils furent finalement gagné aux idées nouvelles.
Abstract
The final decades of the 19th century have become known as a period of important transition in the medical world. New discoveries revolutionized the way diseases were seen and fought. Germs, not miasmas, caused disease and sanitary measures of prevention not miracle treatments controlled them. The articles in l’Union médicale du Canada, from 1872 to 1900 concerning typhoid fever reveal that doctors rapidly accepted some important innovations. However, when it came to innovations refuting their former theories or risking to jeopardize their popularity with the public, certain doctors hesitated to adopt the new theories. This study presents the coexistance of new ideas with the older ideas, which continued to be presented, sometimes years after important discoveries. This paper looks at how they were finally won over to the newer ideas.