Abstracts
Abstract
A study of the goals and strategies of planning in Hamilton shows that concentration of professional reports and civic planning boards alone is too limited to assess the local fate of the city planning movement and its constituent emphases of beautification and efficiency. The municipal advisory Town Planning Board (TPB) appointed in 1915 and the report commissioned from engineer-planner Noulan Cauchon in 1917 reflected the co-existence of the two emphases among Hamilton planning advocates. Post-war changes in the composition of the TPB and the development of ad hoc political alternatives to zoning reduced the TPB's political influence and led by 1923 to its abandonment by prominent beautifiers. While the ineffectual advisory TPB continued until completion of its zoning plan in 1928, the beautifiers moved to administrative parks and roads boards whose provincially legislated powers and budgets made them more effective vehicles for the realization of long-standing plans which had been re-iterated in Cauchon's report and pursued unsuccessfully through the TPB. By 1930, the efficiency planners had disappeared while the beaufifiers had overcome political challenges to their plans for scenic boulevards and a major expansion of the park system.
Résumé
Une étude des buts et des stratégies de développement à Hamilton montre la convergence des rapports professionnels et des comités civiques de développement reste trop limitée pour estimer l’ampleur du mouvement local de développement urbain et ses éléments essentiels d’embellissement et d’efficacité. Le Town Planning Board (TPB) consultant municipal engagé en 1915 et le rapport de l’ingénieur-urbaniste Noulan Cauchon de 1917 reflètent la coexistence de deux forces chez les partisans du développement de Hamilton. La période de l’après-guerre entraîne des changements dans la composition du TPB et le développement de politiques adéquates de zonage diminue l’influence politique du TPB et conduit à son abandon par les embellisseurs influents vers 1923. Tandis que l’inefficace TPB poursuit l’achèvement de son plan de zonage en 1928, les embellisseurs se sont dirigés vers les parcs administratifs et les comités routiers lesquels, dotés de pouvoirs et de budgets par la législation provinciale, constituent de bien meilleurs instruments de réalisation des plans à long terme réclamés dans le rapport Cauchon et poursuivit sans succès à travers le TPB. Vers 1930, l’efficacité des urbanistes est disparue tandis que les embellisseurs ont surmonté les défis politiques de leurs plans au profit de boulevards paysagers et d’une expansion majeure du système de parcs.
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