Abstracts
Abstract
The principal focus of early Bytown, before it became the City of Ottawa and the capital of Canada, was the area now known as Lower Town. The elevation of the city's status led to a refocussing of development in the Centre Town area, south of Parliament, and Lower Town ultimately subsided into a classic 'zone of discard.' In recent years, such zones of discard in many North American cities have experienced a considerable renaissance, since they typically possess the oldest buildings remaining in the city and, as such major resources. This paper examines the evolution of Clarence Street, and puts its contemporary change into perspective; the focus is primarily upon the commercial section of the street. The central thesis to emerge from the paper is that the functional change now occurring in such revitalizing 'discard' areas does not necessarily imply a total change in their socioeconomic environment, and in particular their pattern of socioeconomic control.
Résumé
Le coeur de l’agglomération de Bytown, avant que celle-ci ne devienne la ville d’Ottawa et la capitale du Canada, constitue le quartier que l’on connaît actuellement sous le nom de Basse Ville. A mesure que la ville gagne en importance, le développement se déplace vers le quartier du centre-ville, au sud de la Colline parlementaire, et la Basse Ville périclite pour devenir une classique « zone grise ». Ces dernières années, les quartiers anciens laissés à l’abandon dans de nombreuses villes de l’Amérique du Nord subissent des mutations profondes : c’est généralement là que l’on trouve les plus anciens édifices de la ville, qui constituent de précieuses ressources. Ce texte traite de l’évolution de la rue Clarence et permet de mettre en perspective les transformations qu’elle a subies à l’époque contemporaine; principalement par l’examen du tronçon à vocation commerciale. La thèse principale de l’article indique que les mutations fonctionnelles attribuables à l’actuel réaménagement de ces zones grises n’entraînent pas nécessairement une transformation absolue de leur environnement socio-économique et, en particulier, de leur structure de contrôle socio-économique.