Corps de l’article

Quelques erreurs se sont glissées dans les tableaux 2 et 3 présentant les prévalences annuelles de la victimisation communautaire chez les enfants âgés de 6 à 11 ans et les adolescents âgés de 12 à 17 ans. Le tableau 2 devrait se lire ainsi :

Tableau 2

Prévalence annuelle de la victimisation communautaire chez les enfants âgés de 6 à 11 ans

Prévalence annuelle de la victimisation communautaire chez les enfants âgés de 6 à 11 ans

* Test de Khi-Carré significatif avec 1 degré de liberté et un alpha bilatéral de,025.

-> Voir la liste des tableaux

Et le tableau 3 devrait se lire ainsi :

Tableau 3

Prévalence annuelle de la victimisation communautaire chez les jeunes âgés de 12 à 17 ans

Prévalence annuelle de la victimisation communautaire chez les jeunes âgés de 12 à 17 ans

* Test de Khi-Carré significatif avec 1 degré de liberté et un alpha bilatéral de,025.

-> Voir la liste des tableaux

Malheureusement, ces erreurs ont eu une incidence sur les résultats rapportés, mais pas sur les conclusions. Ainsi, à l’avant-dernier paragraphe de la page 138 de l’article, les lecteurs devraient lire que 22,5 % des enfants (n = 179) auraient été victimes ou témoins d’au moins une forme de violence communautaire dans la dernière année. Au dernier paragraphe de la page 138 de l’article, les lecteurs devraient lire « Chez les enfants d’âge scolaire, 18,7 % d’entre eux seraient victimes ou témoins de violence physique, 2,1 % évolueraient dans un climat de violence et 1,6 % seraient victimes ou témoins de violence sexuelle ». Au premier paragraphe de la page 141 de l’article, les lecteurs devraient lire : « Près de la moitié des jeunes (39,1 %) auraient été victimes de violence physique dans la dernière année » et « Toutefois, les garçons âgés de 12 à 17 ans rapportent significativement plus de violence physique que les filles du même âge, X2 (1, n = 1400) = 16,10, p <0,025 ».

Les auteures tiennent à s’excuser auprès des lecteurs.