Résumés
Abstract
This paper explores the biopolitics both implicit and explicit in Mamoru Oshii’s film duology Ghost in the Shell. The prostheticization of life for Major Motoko Kusanagi is based upon an objectification of a cyborg self enabled and literalized through technology that is also a (mis)representation that conflates the biological self and technological self, and Oshii further problematizes this representation with the complication of the commodification and trafficking of posthuman lives, explicitly examined in more critical detail in the second film, Ghost in the Shell 2: Innocence. In other words, Oshii arguably imagines the extreme end of biopower in a posthuman world as human trafficking structured by a globalized political economy.
Keywords:
- biopolitics,
- Oshii Mamoru,
- Ghost in the Shell,
- posthuman,
- cybernoir
Résumé
Cet article explore la biopolitique implicite et explicite dans la duologie de films de Mamoru Oshii Ghost in the Shell. La prothésisation de la vie pour le Major Motoko Kusanagi est basée sur une objectivation d'un cyborg habilité et littéraire à travers la technologie qui est aussi une présentation déformée qui confond le soi biologique et technologique, et Oshii probématise encore cette représentation avec la complication de la marchandisation et le trafic de vie posthumaines, examinés explicitement dans des détails plus critiques dans le deuxième film, Ghost in the Shell 2: Innocence. En d'autres termes, on peut avancer que Oshii imagine la fin extrême du biopouvoir dans un monde posthumain comme un trafic humain structuré par une économie politique mondialisée.
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