Aux études

Les mémoires de maîtrise en service social à l’Université d’Ottawa[Notice]

  • Marie Claire Alta Alphonse,
  • Maryam Arale,
  • Éliane Atallah,
  • Roxane Beauchamp,
  • Josianne Béland,
  • Arlynn Belizaire,
  • Stéphanie Bernier,
  • Jessie Blais,
  • Annie Boivin,
  • Paul Brisson,
  • Manon Crevier,
  • Carolyne Denis,
  • Marie Pier Desnoyers,
  • Sabina Grabowiecka,
  • Sarah Guibord-Jackson,
  • Mélina Ladouceur,
  • Katharine Larose-Hébert,
  • Mélanie Martel,
  • Hakima Moktary,
  • Chloé Nahas,
  • Mélanie Piché,
  • Mélissa Pierre-Jérôme,
  • Karine Régimbald,
  • Mélanie Robert,
  • Linda Sabourin,
  • Geneviève Saulnier,
  • Viviane Uwimana et
  • Withline Vétiaque

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  • Marie Claire Alta Alphonse
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Maryam Arale
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Éliane Atallah
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Roxane Beauchamp
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Josianne Béland
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Arlynn Belizaire
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Stéphanie Bernier
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Jessie Blais
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Annie Boivin
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Paul Brisson
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Manon Crevier
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Carolyne Denis
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Marie Pier Desnoyers
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Sabina Grabowiecka
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Sarah Guibord-Jackson
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Mélina Ladouceur
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Katharine Larose-Hébert
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Mélanie Martel
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Hakima Moktary
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Chloé Nahas
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Mélanie Piché
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Mélissa Pierre-Jérôme
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Karine Régimbald
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Mélanie Robert
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Linda Sabourin
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Geneviève Saulnier
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Viviane Uwimana
    École de service social, Université d’Ottawa

  • Withline Vétiaque
    École de service social, Université d’Ottawa

La représentation sociale des adultes immigrants parrainés francophones, ainsi que les conclusions tirées d’un certain nombre de recherches assimilent les ainés immigrants à ceux qui n’utilisent pas les services, qui vivent sous le seuil de la pauvreté, et qui dépendent économiquement de l’état ou la famille. D’autres études postulent que les immigrants arrivant au Canada sont en moyenne en meilleure santé mentale que la population canadienne. Pourtant, il existe des situations de vulnérabilité et des inégalités très prononcées au sein de ce groupe, dont la réalité est très hétérogène. Face à ces débats, notre recherche repose sur une étude quantitative visant à décrire le portrait psychosocial et économique des adultes immigrants parrainés francophones de la région d’Ottawa. Notre étude consiste à vérifier comment le parcours migratoire, la structure sociale et économique de la société d’accueil jouent comme déterminants de la santé mentale des ainés immigrants. Un sondage auprès de cette population a abouti à des résultats qui ont permis de vérifier les effets des facteurs précités sur la santé mentale. La recherche conclut sur une définition des enjeux de politique sociale qui se dégagent de l’analyse des données recueillies. De plus, la démarche a permis de dégager des pistes de solutions et de recherche pouvant aider dans les pratiques d’intervention sociale auprès de la population des adultes immigrants parrainés francophones. Depuis quelques décennies, le visage culturel du Canada s’est transformé d’une manière remarquable. Aujourd’hui, le Canada accueille des milliers de nouveaux arrivants qui sont à la recherche de travail et de vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs enfants. Les immigrants qualifiés viennent désormais avec de hauts niveaux de scolarité et d’expérience de travail acquise dans leur pays d’origine. De nombreuses recherches ont porté sur les immigrants sous divers aspects : le niveau d’éducation, l’intégration économique et sociale, l’accès au marché du travail, la pauvreté, etc. Cependant, l’enjeu le plus important auquel les immigrants ainsi que le gouvernement canadien font face reste la non-reconnaissance des diplômes étrangers. Or, en réalité, le Canada a grandement besoin de ces immigrants et de leurs enfants qui sont en quelque sorte l’avenir du pays. En fait, depuis quelques années, les chercheurs s’intéressent davantage aux enfants de parents immigrants en raison de leur nombre et de l’impact de leur contribution dans la société canadienne. Notre étude a pour objectif d’explorer la situation scolaire des enfants et des jeunes filles issus de l’immigration. La documentation disponible nous permet de croire qu’en effet, ces jeunes de la deuxième génération réussissent aussi bien sinon mieux que ceux de parents nés au Canada. Leur cheminement ainsi que leur réussite scolaire sont impressionnants compte tenu de circonstances parfois difficiles et d’obstacles dans la société d’accueil. Leur motivation personnelle, leur résilience ainsi que plusieurs facteurs sociologiques, psychosociaux et écologiques contribuent autant dans leur réussite scolaire, laquelle représente une mobilité sociale pour beaucoup d’entre eux. Les jeunes filles issues de l’immigration réussissent particulièrement bien malgré les difficultés liées aux multiples facettes (sexe, race, classe sociale, ethnicité) de leur identité. Ce mémoire est une étude documentaire faisant état de l’évolution des droits des victimes d’actes criminels au Canada. Nous avons étudié d’une part les changements judiciaires et d’autre part les revendications de certains mouvements sociaux afin de déterminer leur influence sur l’établissement véritable de droits pour les victimes d’actes criminels au pays. Nous entamons notre mémoire en décrivant l’expérience de la victimisation et retraçons ensuite l’historique de la lutte pour les droits des victimes. Notre recherche a permis de mettre en lumière les progrès réalisés par les changements en faveur des victimes d’actes criminels, dont l’accès à une indemnisation financière et à des …