Résumés
Abstract
In 1856 the Royal Arsenal undertook to locate a British source for high grade ore that would be suitable for purposes of ordnance. Early reports indicated that one of the irons being evaluated, an iron from Nova Scotia, was comparable to Swedish iron. Having adopted a rigid policy of modernization, the Arsenal insisted that all irons had to meet the standards established by the analytical chemists. When the Acadian iron was subsequently rejected, critics claimed that the chemists were promoting dogma, not science. The procedures being used by the chemists were certainly flawed, and the Arsenal project incident illustrated that at that time analytical chemistry had relatively little to offer the metal trades.
Résumé
En 1856, le Royal Arsenal britannique se lance à la recherche d’une source de ravitaillement en minerai de fer de grande qualité. Bien que des rapports préliminaires suggèrent qu’un acier de Nouvelle-Écosse présente une qualité comparable à l’acier suédois, les autorités de l’Arsenal, dans le cadre d’une politique rigide de modernisation, exigent que tous les aciers considérés répondent aux exigences de leurs spécialistes en chimie analytique. Devant le rejet de l’acier acadien, des critiques avancent que ces chimistes obéissent à des dogmes plutôt qu’à la science. Les procédures employées par les chimistes étant assurément inadéquates, cet incident illustre le fait que la chimie analytique de l’époque a peu à offrir au commerce des métaux.
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Parties annexes
Biographical note
Kenneth Pryke is a professor emeritus at the University of Windsor. The current article developed from research on the Acadian iron mines of Nova Scotia.