TY - JOUR ID - 1017478ar T1 - Suicidality among trans people in Ontario: Implications for social work and social justice / La suicidabilité parmi les personnes trans en Ontario : Implications en travail social et en justice sociale A1 - Bauer, Greta A1 - Pyne, Jake A1 - Francino, Matt A1 - Hammond, Rebecca JO - Service social VL - 59 IS - 1 SP - 35 EP - 62 SN - 1708-1734 Y1 - 2013 Y2 - 28 mars 2024 22:11 PB - École de service social de l’Université Laval LA - EN AB - While transgender and transsexual (trans) communities have been documented to experience high rates of suicidality, little attention has been paid to how this may vary based on experiences of social injustice. Using survey data from the Trans PULSE Project (n=433), we estimated that suicidal thoughts were experienced by 36% of trans Ontarians over the past year, and that 10% attempted suicide during that time. Moreover, we documented that youth and those experiencing transphobia and lack of support are at heightened risk. Suicidality varied greatly by medical transition status, with those who were planning to transition sex, but who had not yet begun, being most vulnerable. Recommendations are made for improving wellbeing in trans communities, through policy advocacy, service provision, access to transition care, and fostering accepting families and communities. AB - Bien qu’on ait déjà établi que les membres des communautés transgenre et transsexuels (trans) connaissaient des taux de suicidabilité élevés, on n’a que très peu porté attention jusqu’ici à la façon dont ces taux pouvaient varier en fonction d’expériences d’injustice sociale. À partir des données d’un sondage du projet « trans PULSE » (n = 433), on estime à 36 % la part des Ontariens trans qui ont eu des idées suicidaires dans la dernière année et à 10 % ceux qui ont fait une tentative de suicide durant la même période. La documentation recueillie permet d’établir que les jeunes et ceux qui ont subi des manifestations de transphobie ou qui ont manqué de soutien sont encore plus à risque. La suicidabilité varie beaucoup en fonction du statut médical de transition, les plus vulnérables étant ceux qui souhaitent changer de sexe sans avoir encore amorcé le processus de transition. Les auteurs formulent des recommandations pour améliorer le bien-être des communautés trans par des modifications des politiques à leur égard, par la prestation de services, par l’accès à des soins de transition et par la constitution de familles et de communautés d’accueil. DO - https://doi.org/10.7202/1017478ar UR - https://id.erudit.org/iderudit/1017478ar L1 - https://www.erudit.org/fr/revues/ss/2013-v59-n1-ss0746/1017478ar.pdf DP - Érudit: www.erudit.org DB - Érudit ER -