TY - JOUR ID - 1043015ar T1 - BUILDING BETTER LAW: HOW DESIGN THINKING CAN HELP US BE BETTER LAWYERS, MEET NEW CHALLENGES, AND CREATE THE FUTURE OF LAW A1 - Ursel, Susan JO - Windsor Yearbook of Access to Justice / Recueil annuel de Windsor d'accès à la justice VL - 34 IS - 1 SP - 28 EP - 59 SN - 2561-5017 Y1 - 2017 Y2 - 28 mars 2024 05:13 PB - Faculty of Law, University of Windsor LA - EN AB - The legal profession faces increasing challenges to the relevance, utility, and acceptance of law and the rule of law as tools of social organization that are important and essential to human beings. Often the issues which challenge law and legal systems seem perennial, obstinate, and intractable. In order to remain relevant to the societies it serves, the law needs to innovate. We need to find new ways of thinking about law as a human designed and deliberate system of social organization. In this context, adopting an innovation mindset is an important starting point. “Design thinking” offers us a description and practice of an innovation mindset that can be and is employed in a variety of professional contexts. This article is an introduction to design thinking, its challenges, and its possibilities for law. It postulates that in fact design thinking as a concept and as a set of techniques is particularly well suited for use in law, and that we actually employ many of its techniques already. The article argues that by bringing these techniques into sharper focus, we can both recognize how we are in some ways using them already, and more importantly, how they can be deployed in even more useful and innovative ways to “build better law” at all scales of the legal endeavour, from individual service to legal systems. AB - La profession juridique doit relever des défis croissants liés à la pertinence, à l’utilité et à l’acceptation du droit et de la règle de droit comme outils d’organisation sociale qui sont importants, voire essentiels pour l’être humain. Les problèmes qui minent le droit et les systèmes juridiques semblent souvent permanents, tenaces et insolubles. Pour que le droit demeure pertinent à l’endroit des sociétés qu’il dessert, nous devons lui donner un souffle nouveau et trouver de nouvelles façons de le considérer comme un système d’organisation sociale conçu par l’être humain et mûrement réfléchi. Dans ce contexte, l’adoption d’un état d’esprit axé sur l’innovation représente un important point de départ. La « pensée conceptuelle » ouvre la voie à l’adoption d’un esprit axé sur l’innovation qui peut être utilisé dans plusieurs contextes professionnels, s’il ne l’est pas déjà. Dans cet article, l’auteur aborde la pensée conceptuelle, les enjeux qu’elle comporte et les possibilités qu’elle offre pour le droit. Il fait valoir que tant les fondements théoriques que la pratique de la pensée conceptuelle peuvent être adaptés au droit et que, effectivement, nous utilisons déjà bon nombre des techniques en question. En portant davantage notre attention sur ces aspects pratiques, affirme l’auteur, nous pourrons mieux comprendre en quoi nous les utilisons déjà à certains égards et, surtout, déterminer comment nous pouvons les exploiter sous des formes encore plus utiles et plus novatrices afin de faire progresser le droit à tous les niveaux de l’activité juridique, depuis les services individuels jusqu’aux systèmes juridiques. DO - https://doi.org/10.22329/wyaj.v34i1.4999 UR - https://id.erudit.org/iderudit/1043015ar L1 - https://www.erudit.org/fr/revues/wyaj/2017-v34-n1-wyaj03386/1043015ar.pdf DP - Érudit: www.erudit.org DB - Érudit ER -