Documents repérés
-
3641.
-
3642.
-
3643.Plus d’information
Le devoir de l'avocat ou l'avocate d'encourager le respect de l'administration de la justice demeure plutôt amorphe et abstrait. Dans cet article, je tire des leçons sur ce devoir à partir d'exemples historiques dans lesquels les procureurs généraux et les procureures générales critiquent des juges de façon inappropriée. Non seulement les procureurs généraux et procureures générales figurent parmi les avocats et les avocates avec les plus hauts profils du pays, mais ceux-ci et celles-ci sont également confrontés à des tensions particulières et à des pressions qui mettent en relief leurs devoirs en tant qu'avocats et qu'avocates. Je me concentre sur les deux cas où des barreaux ont cherché à sanctionner des procureurs généraux et procureures générales pour des critiques de la part de juges, ainsi que sur un cas un peu plus récent au cours duquel des mesures disciplinaires n'ont pas été prises. J'examine également l'obligation qu'a un procureur général ou une procureure générale lorsque d'autres ministres critiquent injustement les juges. Je conclus qu'un avocat ou une avocate doit prendre toutes les mesures raisonnables selon les circonstances pour confirmer l'exactitude, selon les faits et d'un point de vue juridique, de toute critique de la magistrature ; que les barreaux devraient accorder une marge de manoeuvre raisonnable, mais définie, pour la critique publique des juges ; et que, lorsqu'un client ou une cliente critique injustement la magistrature, son avocat ou son avocate doit faire preuve de bonne foi et s'efforcer d'inciter le client ou la cliente à retirer sa critique et à s'excuser, et si les efforts déployés ne portent pas leurs fruits, l'avocat ou l'avocate doit lui-même ou elle-même retirer la critique ou se retirer.
-
3644.Plus d’information
Mots-clés : Residents association, community-based research, community safety, Winnipeg, Manitoba
-
3645.Plus d’information
Contexte : Le comportement des candidats aux études de médecine est déterminé par leur perception de ce qui est valorisé dans le processus de sélection. Tandis que la plupart des établissements canadiens ne mentionnent pas explicitement l’expérience en recherche comme prérequis d’admission, les futurs candidats, eux, voient une telle expérience comme un atout précieux. L’objectif de cette étude est de décrire les perceptions et les comportements des futurs étudiants en médecine par rapport à l’acquisition d’une expérience en recherche en appui à leur demande d’admission dans une école de médecine.Méthodes : Nous avons interrogé des postulants potentiels aux programmes de médecine au Canada entre août 2021 et novembre 2021, et nous avons compilé des statistiques descriptives relatives à leurs perceptions et à leurs comportements.Résultats : Les répondants ont affirmé croire que l’expérience en recherche est valorisée dans les processus d’admission aux facultés de médecine. Ils ont déclaré consacrer environ 13 heures par semaine à la recherche, qui, le plus souvent, n’a pas mené à des publications ou des présentations.Conclusion : Les futurs candidats aux études de médecine investissent beaucoup de temps et d’énergie dans des activités de recherche afin d’améliorer leur dossier de candidature. Les facultés de médecine devraient se prononcer de manière transparente sur l’importance attribuée à l’expérience en recherche dans le cadre de leur processus d’admission.
-