Documents repérés

  1. 91.

    Biron, Michel

    Lettre de Belgique

    Article publié dans Jeu (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 47, 1988

    Année de diffusion : 2010

  2. 92.

    Bilodeau, François

    Carrière

    Article publié dans Liberté (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 28, Numéro 5, 1986

    Année de diffusion : 2010

  3. 94.

    Article publié dans Revue de droit de l'Université de Sherbrooke (savante, fonds Érudit)

    Volume 30, Numéro 1, 1999

    Année de diffusion : 2023

    Plus d’information

    Le compte courant est une convention par laquelle deux parties en relations d'affaires suivies conviennent d'affecter l'ensemble de leurs créances à un compte unique et de renoncer à l'individualité de chaque créance pour ne reconnaître que le solde du compte, constitué des articles de crédit et de débit, exigible en tout temps. Puisque le compte courant enregistre les créances des diverses opérations entre les parties au compte, il est donc important que nous soyons en mesure de déterminer le moment précis où une créance entre en compte. L'avance et le découvert de banque nous permettront d'illustrer nos propos.

  4. 95.

    Article publié dans Annales. Economies, sociétés, civilisations (savante, fonds Persée)

    Volume 22, Numéro 2, 1967

    Année de diffusion : 2018

  5. 96.

    Article publié dans Faits de langues (savante, fonds Persée)

    Volume 5, Numéro 9, 1997

    Année de diffusion : 2007

  6. 97.

    Lavoie, Pierre

    Parutions récentes

    Article publié dans Jeu (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 31, 1984

    Année de diffusion : 2010

  7. 98.

    Grande, Nathalie

    Liminaire

    Autre publié dans Tangence (savante, fonds Érudit)

    Numéro 114, 2017

    Année de diffusion : 2017

  8. 100.

    Thèse déposée à McGill University

    2011

    Plus d’information

    Cette thèse de doctorat a pour objet le personnage de roman à l'heure où se met en place la vitesse moderne, soit entre la révolution des transports enclenchée vers le milieu du XIXe siècle et le premier tiers du XXe siècle. L'hypothèse posée ici est que les transformations que connaît la vitesse au cours de cette période donnent lieu à de nouveaux « types » de personnage – tels le passant, le passager, l'individu pressé ou perdu au milieu de quelque lieu de transit – qui semblent moins enclins à s'installer dans l'espace du roman qu'à simplement le traverser. Pour mener cette réflexion, nous recourrons à un personnage qui « incarne » en lui-même toutes les questions que l'introduction de la vitesse moderne dans le …