Résumés
Abstract
Following the rich tradition of Indigenous and Black feminists and authors, this article makes use of storytelling to explore the limits of freedom of speech in the academy for feminist scholars belonging to socially marginalized groups and, particularly, Indigenous feminist scholars. Through autoethnography, I expose the ways that freedom of speech was been weaponized against me by people with power to silence and suppress my freedom of speech. Moreover, I draw attention to the ways this has been done to me in order to secure the freedom of speech of other dominant and powerful people. This paper concludes with some recommendations about disrupting this violence and better supporting feminist scholars from minority groups.
Keywords:
- Indigenous feminism,
- power,
- privilege,
- silencing,
- suppression,
- violence in the academy,
- weaponizing freedom of speech
Résumé
En suivant la riche tradition des féministes et des auteures autochtones et noires, cet article fait usage du récit pour explorer les limites de la liberté d’expression dans le milieu universitaire pour les érudites féministes appartenant à des groupes socialement marginalisés et, en particulier, les féministes autochtones. Par le biais de l’auto-ethnographie, j’expose les façons dont la liberté d’expression a été utilisée comme une arme à mon encontre par des personnes ayant le pouvoir de me réduire au silence et de supprimer ma liberté d’expression. De plus, j’attire l’attention sur les façons dont cela a été fait à mon égard afin de garantir la liberté d’expression de personnes dominantes et puissantes. Cet article se conclut par des recommandations pour briser cette violence et mieux soutenir les universitaires féministes issues de groupes minoritaires.
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