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Parties annexes
Note biographique
Danielle Fournier a publié au Québec et en France. Les plus récents titres sont Poèmes perdus en Hongrie (VLB éditeur), prix Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec et finaliste au Grand Prix de poésie de Trois-Rivières; Il n’y a rien d’intact dans ma chair (l’Hexagone), finaliste au prix du Gouverneur général; Je reconnais la patience de l’arbre (éditions Tarabuste, France 2008) ; effleurés de lumière (l’Hexagone), prix du Gouverneur Général 2010 et finaliste au Grand Prix Quebecor de la poésie ; et avec Luce Guilbaud Iris et un récit, Le chant unifié (Leméac). Elle a codirigé l’anthologie Lignes de métro (VLB éditeur), un numéro de la revue Estuaire, Jour de marché (printemps 2006) qui réunissait des écrivains québécois et français ainsi qu’un numéro de la revue L’arbre à parole (Belgique), Rêver Québec (été 2008), réunissant des écrivains belges, français et québécois. Elle a participé à de nombreux ouvrages et anthologies de poésie et à plusieurs événements littéraires.