MuseMedusa Revue de littérature et d’arts modernes

Direction : Andrea Oberhuber (Rédactrice en chef et codirectrice), Catherine Mavrikakis (Codirectrice) / Rédaction : Béatrice Lefebvre-Côté (Secrétaire de rédaction), Hugo P. Gladu (Responsable de la communication)

À propos

Se situant à la croisée des études littéraires, de l’histoire de l’art (peinture, photographie, cinéma, entre autres) et des études féministes et de genre, la revue de littérature et d’art modernes MuseMedusa se veut une contribution à la réflexion sur la présence et l’entrelacement de récits et de figures myth(olog)iques, ainsi que de leurs idées connexes dans des œuvres littéraires et diverses formes d’expression artistiques. Lieu singulier en libre accès (depuis sa fondation en 2012), la revue repense la recherche en faisant cohabiter à l’ère du numérique, au sein d’un même espace, études savantes et créations, puisque les deux modalités sont productrices de savoirs pluriels. Le projet scientifique de MuseMedusa consiste plus précisément à s’interroger sur la rémanence de certaines figures mythiques, sur les notions et les concepts culturels qu’elles véhiculent d’une époque à l’autre, depuis la modernité du XIXe siècle (environ 1850), grâce à l’intérêt qu’elles représentent pour des écrivain.e.s et des artistes issu.e.s de diverses sphères culturelles.

Coordonnées

Pour nous joindre : Comité de direction

Université de Montréal
Département des littératures de langue française
C.P. 6128, succ. Centre-ville
Montréal (Québec) H3C 3J7


La revue est disponible en libre-accès.

Historique de la revue (2 numéros)

L’archivage pérenne des articles sur Érudit est assuré par Portico.

Politique éditoriale et éthique

Politique des droits d'auteur et licence de diffusion

Les auteur-es conservent les droits de leurs textes. Les articles publiés par MuseMedusa sont diffusés avec une licence Creative Commons pour assurer leur plus grande diffusion. Depuis mai 2018, les articles sont sous licence CC BY-NC-SA 4.0, une licence plus ouverte, en adéquation avec les principes défendus par la Culture libre. MuseMedusa reste ainsi la source originale des publications, ce qui veut dire que la première date de publication est celle de la revue. Si un.e auteur.e souhaite reprendre des parties de son article pour les publier sous une forme remaniée, la revue doit donner l’autorisation, et ce dans le but de favoriser une plus grande circulation des articles et de la connaissance de manière générale.

Politique éditoriale

MuseMedusa propose des articles savants, des œuvres de création (textes, images, vidéos, etc.) et un entretien autour d’une problématique associée à une figure myth(ologi)que en les mettant en ligne progressivement puis regroupés dans un dossier. La revue s’engage à faire évaluer par deux spécialistes chaque article soumis dans la rubrique « Études », en respectant un protocole strict, garantissant l’anonymat des auteur.e.s, en collaborant étroitement avec le responsable ou la responsables d’un dossier.

Processus de révision par les pairs

Chaque soumission d’article au volet « Études » fait l’objet d’une évaluation par au moins deux spécialistes : elle suit un protocole qui assure à l’article un examen rigoureux et qui garantit l’anonymat complet de l’auteur.e. Le processus d’évaluation par les pairs respecte des règles strictes (en matière de cadre thématique et méthodologique, actualisé au regard des connaissances et des débats les plus récents dans la discipline concernée) afin de veiller à la qualité du contenu scientifique de MuseMedusa.

Concrètement, à la réception d’un article, la rédactrice en chef sollicite le comité de rédaction (pluridisciplinaire et international) ainsi que l’éditeur.trice d’un numéro thématique. La contribution subit alors un premier processus d’évaluation dans le respect des standards de la revue qui vise la publication d’articles savants s’inscrivant dans un cadre théorique et méthodologique rigoureux, contribuant ainsi à l’avancement des connaissances en la matière et actualisant le discours critique sur la problématique à traiter. De fait, chaque membre participe à cette première évaluation des articles selon son champ d’expertise en se prononçant sur la validité de l’étude soumise : Olivier Asselin se penche surtout sur les études de productions audiovisuelles ; Catherine Nesci et Myriam Watthee-Delmotte s’intéressent particulièrement aux articles consacrés à la littérature moderne et contemporaine ; Marcello Vitali-Rosati contribue au processus par le biais de son expertise en philosophie et ses connaissances en écriture et édition numériques ; enfin, Érika Wicky offre son expertise sur les articles portant sur les arts visuels. Lorsque la contribution est jugée pertinente, la rédactrice en chef, les membres du comité de rédaction et l’éditeur.trice se concertent pour sélectionner les évaluateurs potentiels, susceptibles de pouvoir examiner plus en profondeur l’article en question. Les articles refusés d’emblée pour des lacunes graves en ce qui concerne les connaissances en la matière, l’absence d’un discours critique approprié et/ou des faiblesses dans la qualité de l’argumentation sont exclus et leur auteur.e est avisé.e par la secrétaire de rédaction.

Les évaluateur.trice.s sont sélectionnés selon le champ de spécialisation dans lequel s’inscrit l’article à évaluer : si l’un des membres du comité scientifique est jugé qualifié, on fait appel à lui et on complète par un.e autre spécialiste de la question ; sinon, on sollicite deux spécialistes externes à la revue. Dans les deux cas de figure, ce sont la rigueur intellectuelle, la réputation et les connaissances des évaluateur.trice.s qui déterminent le choix. Chaque évaluateur.trice reçoit un formulaire d’évaluation (en français ou en anglais) qui explicite les critères de la revue (voir le document « Instructions pour les évaluateurs » pour les détails). La secrétaire de rédaction, parfois secondée du responsable de la communication, propose à l’évaluateur sélectionné quatre semaines pour faire l’évaluation de l’article. Si l’évaluateur.trice accepte, il/elle est également invité.e à annoter l’article en question, dans le but de fournir à l’auteur.e des commentaires constructifs lui permettant d’améliorer le plus possible son texte. Une fois les rapports d’évaluation complétés, la secrétaire de rédaction rédige un rapport-synthèse pour chaque article dans lequel elle assemble et harmonise les commentaires des évaluateurs et ceux de l’éditeur.trice, spécialiste de la figure mythique à traiter. Dans une situation où les avis des deux évaluateurs sont contradictoires et ne peuvent être arrimés, l’avis d’un.e troisième évaluateur.trice est demandé. Dans le cas où un article reçoit deux avis défavorables, fondés sur des arguments précis, son refus est annoncé à son auteur.e par la secrétaire de rédaction. Le rapport-synthèse favorable (c’est-à-dire recommandé pour publication a) sans modification, b) avec modifications mineures ou c) avec modifications majeures), après l’approbation de la rédactrice en chef et de la codirectrice Catherine Mavrikakis, est envoyé à l’auteur.e, accompagné de l’article annoté anonymement, à des fins de réécriture et d’amélioration ; cette étape dure en moyenne deux mois.

Enfin, une fois l’article renvoyé à la revue par son auteur.e, à qui trois à quatre semaines sont généralement accordées pour le travail de réécriture, les deux codirectrices et l’éditeur.trice du numéro relisent le texte et suggèrent, au besoin, d’autres améliorations. Une fois l’article dans sa version définitive, il est soumis à une révision linguistique et à une vérification rigoureuse d’application du protocole de rédaction. Enfin, il est mis en ligne par le webmestre. Cette deuxième étape du processus éditorial peut prendre jusqu’à trois mois.

Politique anti-plagiat

Veuillez indiquer correctement la référence à la revue pour toute citation ou emprunt d'un des textes publiés dans MuseMedusa.


Instruction pour les auteurs

Soumettre un article

Les auteur-es désirant soummetre un article ou un texte de création sont invité-es à le faire sur le site web de la revue. Un appel a contribution est mis en ligne chaque année au mois de décembre

Comité de rédaction

Comité éditorial

  • Andrea Oberhuber
    Rédactrice en chef et codirectrice
     
  • Catherine Mavrikakis
    Codirectrice
     
  • Béatrice Lefebvre-Côté
    Secrétaire de rédaction
     
  • Hugo P. Gladu
    Responsable de la communication

Comité de rédaction

  • Olivier Asselin (UdeM)
  • Catherine Nesci (University of California, Santa Barbara)
  • Marcello Vitali Rosati (UdeM)
  • Myriam Watthee-Delmotte (FNRS, Belgique)
  • Érika Wicky (Université Lumière Lyon 2)

Comité scientifique

  • Jean-Philippe Beaulieu (UdeM)
  • Marie-Andrée Bergeron (Université de Calgary)
  • Patrick Bergeron (Université du Nouveau-Brunswick)
  • Maxime Blanchard (City University of New York)
  • Marie Carrière (Université de l’Alberta)
  • Mireille Calle-Gruber (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3)
  • Doris Eibl (Université d’Innsbruck)
  • Evelyne Ledoux-Beaugrand (Université de Gand)
  • Eileen Lokah (University of Calgary)
  • David Martens (KULeuven)
  • Joëlle Papillon (Université McMaster)
  • Sophie Rabau (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3)
  • Maïté Snauwaert (Université de l’Alberta)
  • Judith Sribnai (UdeM)
  • Thérèse St-Gelais (UQÀM)
  • Anne Tomiche (Université Paris-Sorbonne – Paris 4)
  • Ania Wroblewski (Université de l’Arizona)

Comité création

  • Martine Audet
  • Jeannot Clair
  • Mathieu Leroux
  • Stéphane Martelly
  • Karine Rosso
  • France Théoret
  • Michaël Trahan

Révision

  • Jérémy Champagne
  • Sandrine Bienvenu