Résumés
Résumé
Si les principales théories de la sémiotique visuelle ont convenu, à côté de l’iconicité, de l’importance du plastique, il reste à trouver les moyens de rendre compte de cette dimension. Les peintures de l’artiste du nord de la France, Eugène Leroy, qui recouvre les figures jusqu’à les faire disparaître dans la matière plastique, sont un possible champ d’investigation pour envisager une prise en compte de cette dimension. Plutôt que sur les « formants » (J.-M. Floch) ou les gestalts (sémiologie topologique), l’analyse s’appuie alors sur le temps de fabrication du tableau.
Abstract
If the main semiotic theories have pointed out the necessity to consider, along with iconicity, the dimension of plasticity, the difficulty is how to deal with that dimension. In his paintings, Eugène Leroy, an artist from the north of France, covers his figures till they disappear in the plastic material and, as such, gives us the opportunity to observe plasticity. In that case, the analysis doesn’t focus on the socalled “ formants ” (J.-M. Floch) or “ gestalts ” (sémiologie topologique) but considers the time used to produce the picture.
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