EN :
This paper investigates the Vancouver Arena, also known as the Denman Street Arena, and its impact in the immediate six city blocks along Georgia street between Bidwell and Chilco streets. An enterprise of the Patrick family, the Vancouver Arena was built in 1911 to house the Vancouver Professional Hockey Club in the new Pacific Coast Hockey Association, also a Patrick family undertaking. Prior to the Second World War, sport entrepreneurs generally subscribed to the principle of free enterprise, which eschewed government interference. Unlike professional team owners of today, they viewed government financial aid as corporate welfare, an idea antithetical to the capitalistic tendencies of business owners at the time. These early sport promoters usually raised capital through means other than government largess. Municipalities, on the other hand, did not consciously include sport facilities as part of their urban planning. Unlike in stadium and arena projects today, there were no efforts made by promoters to link the construction of a sport facility with the economic health of the city. The case of the Vancouver Arena demonstrates that a sport facility had minimal impact on its immediate vicinity, but the larger economic climate of the city and region had a more significant influence.
FR :
Cet article analyse l’aréna de Vancouver, aussi connu sous le nom de l’aréna de la rue Denman, et son impact sur les six pâtés de maisons immédiats le long de la rue Georgia entre les rues Bidwell et Chilco. Une entreprise de la famille Patrick, l’aréna de Vancouver a été construit en 1911 pour abriter le club de hockey professionnel de Vancouver de la nouvelle Association de hockey de la côte du Pacifique, aussi une entreprise de la famille Patrick. Avant la Seconde Guerre mondiale, les entrepreneurs sportifs étaient généralement des adeptes de la libre entreprise, qui évite l’interférence du gouvernement. Contrairement aux propriétaires des équipes professionnelles d’aujourd’hui, ils voyaient l’aide financière du gouvernement comme une aide sociale aux entreprises, une idée antithétique pour les tendances capitalistes des gens d’affaires de l’époque. Ces premiers promoteurs de sport avaient l’habitude d’amasser des fonds par des moyens autres que la générosité gouvernementale. Les municipalités par contre, n’incluaient pas les installations sportives parmi leurs aménagements urbains. Contrairement aux projets de stades et d’arénas d’aujourd’hui, les promoteurs ne s’efforçaient pas d’établir un lien entre la construction d’une installation sportive et la santé économique de la ville. Il est démontré dans le cas de l’aréna de Vancouver que l’installation sportive a eu un impact minimal sur son environnement immédiat, mais que le climat économique de la ville et de la région a eu une influence plus importante.