Abstracts
Abstract
Introduction: The shift to remote working/learning to slow transmission of the SARS-CoV-2 virus has had widespread mental health impacts. We aimed to describe how the COVID-19 pandemic impacted the mental health of students and faculty within a health sciences faculty at a central Canadian university.
Methods: Via an online survey, we queried mental health in the first four months of the COVID-19 pandemic quantitatively (scale: 1 (most negative)-100 (most positive)) and qualitatively.
Results: The sample (n = 110) was predominantly women (faculty 39/59; [66.1%]; students 46/50; [92.0%]). Most faculty were married/common law (50/60; [84.8%]) and had children at home (36/60; [60.0%]); the opposite was true for most students.
Faculty and students self-reported comparable mental health (40.47±24.26 and 37.62±26.13; respectively). Amongst women, those with vs. without children at home, reported significantly worse mental health impacts (31.78±23.68 vs. 44.29±27.98; respectively, p = 0.032).
Qualitative themes included: “Sharing resources,” “spending money,” “few changes,” for those without children at home; “working at home can be isolating,” including the subtheme, “balancing act”: “working in isolation,” “working more,” for those with children at home.
Discussion: Amongst women in academia, including both students and faculty, those with children at home have disproportionately worse mental health than those without children at home.
Résumé
Introduction : Le virage vers le travail et l’enseignement à distance pour ralentir la transmission du virus SRAS-CoV-2 a eu des répercussions étendues sur la santé mentale. Notre étude vise à décrie l’impact de la pandémie de la COVID-19 sur la santé mentale des étudiants et du corps professoral au sein Faculté des sciences de la santé d’une université du centre du Canada.
Méthodes : Un questionnaire en ligne a été administré pour récolter des données qualitatives et quantitatives (échelle : de 1 [le plus négatif] à 100 [le plus positif] à l’égard de la santé mentale des participants au cours des quatre premiers mois de la pandémie.
Résultats : L’échantillonnage (n = 110) était majoritairement composé de femmes (membres du corps professoral : 39/59 ou 66,1 %; étudiantes 46/50 ou 92,0 %). La plupart des répondants du corps professoral étaient mariés ou en union libre (50/60 ou 84,8 %) et avaient des enfants à la maison (36/60 ou 60,0 %). Le contraire était vrai pour la plupart des étudiants. L’état de santé mentale déclaré par le corps professoral et les étudiants était comparable (40,47±24,26 et 37,62±26,13 respectivement). Parmi les femmes, autant celles qui avaient des enfants à la maison que celles qui n’en avaient pas, ont déclaré que leur santé mentale était nettement moins bonne (31,78±23,68 contre 44,29±27,98 respectivement; p = 0,032).
Pendant l’analyse des données qualitatives, on a identifié les thèmes « le partage de ressources », « les dépenses » et « peu de changements » pour les répondants qui n’avaient pas d’enfants à la maison alors que les thème « le télétravail accentue l’isolement », ainsi que lessous-thèmes « maintien de l’équilibre : travailler en isolement’’ et ‘’travailler plus » ont émergé pour ceux qui avaient des enfants à la maison.
Discussion : Parmi les femmes œuvrant dans le milieu universitaire, qu’elles soient étudiantes ou membres du corps professoral, la santé mentale de celles qui ont des enfants à la maison est davantage affectée que celle des femmes qui n’en ont pas.
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