Abstracts
Mots-clés :
- cinéma québécois,
- interculturalité,
- identité,
- multiculruralisme
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Appendices
Notes biographiques
Mercédès Baillargeon est professeur agrégé dans le département de langues et de cultures étrangères à l’Université du Massachusetts à Lowell aux États-Unis. Elle se spécialise dans la théorie littéraire, féministe et queer ainsi que les études de la réception et s’intéresse particulièrement aux rapports entre esthétique et politique dans la littérature des femmes et dans le renouveau du cinéma québécois. Elle est l’autrice du livre Le personnel est politique : médias, esthétique et politique de l’autofiction chez Christine Angot, Chloé Delaume et Nelly Arcan (Purdue University Press, 2019) et a codirigé l’ouvrage Remous, ressacs et dérivations autour de la troisième vague féministe (Éditions du Remue-ménage, 2011). Elle a publié plusieurs articles et a déjà codirigé, avec Karine Bertrand (Queen’s University), un numéro spécial de la revue Contemporary French Civilization dédié au transnationalisme dans le cinéma et les (nouveaux) médias au Québec (2019). Elle est membre du groupe interuniversitaire de recherche EPIC (Esthétique et politique de l’image cinématographique).
Karine Bertrand est professeure agrégée au département de Film and Media de Queen’s University et codirectrice, avec Florian Grandena (UOttawa) du groupe de recherche interuniversitaire EPIC (Esthétique et politique de l’image cinématographique). Ses recherches portent sur le cinéma québécois, sur les cinémas autochtones, sur les cinémas transnationaux, sur les pratiques orales cinématographiques ainsi que sur le road movie contemporain et les femmes sur la route. Ses publications les plus récentes portent sur le cinéma et la résurgence des femmes autochtones (Winton et Claxton, 2023) sur l’oeuvre expérimentale de Caroline Monnet (Panorama Cinéma, 2023) sur les récits féministes autochtones (Ravary-Pilon et Contogouris, Vigilantes, 2022) sur le groupe musical U2 (Mackenzie et Iversen, 2021) sur la représentation des territoires autochtones dans le cinéma d’auteur (Cahill et Caminati, 2020) sur l’énonciation épistolaire dans le cinéma québécois contemporain (Área Abierta, 2019) et sur l’américanité dans le cinéma québécois (American Review of Canadian Studies, 2019).