EN :
By the end of the nineteenth century control of fire and disease had become a scientific and technical reality that opened the way to a social transformation in the city. To effect such control, however, imposed a series of demands on urban politicians, among them one for an adequate supply of pure water. In Ottawa, the response to the new and necessarily collective imperatives was pinched, niggardly and slow. Much of the explanation—as the three papers that follow suggest—lay in politics, especially in its socio-economic base and ideological attitudes.
FR :
Vers la fin du dix-neuvième siècle, le contrôle des incendies et des maladies était devenu une réalité scientifique et technique qui ouvrit la voie à des transformations sociales dans la ville. Pour effectuer un tel contrôle, il fallut, cependant, présenter auprès des politiciens urbanistes un certain nombre de revendications parmi lesquelles une provision suffisante d’eau potable. À Ottawa, on répondit à ces nouveaux impératifs de la collectivité, à la fois chichement et lentement. L’explication de cette attitude réside, en grande partie, comme les trois articles qui suivent le suggèrent, non pas dans des difficultés pratiques, mais dans les politiques, spécialement dans leur base socio-économique et leur orientation idéologique.