Abstracts
Abstract
An analysis of the sound track of Robert Altman's Nashville shows that the filmmaker goes beyond the conventions of traditional sound recording in his use of the twenty-four tracks for twenty-four separate characters. As a result the film initially appears innovative since a traditional technology is transformed into a new one with the result that the simple linear approach opens up into three dimensions. But this non-hierarchic openness oriented to spectator choice yields in the end to the narrative logic of the traditional linear model.
Résumé
Le film Nashville de Robert Altman est ici analysé du point de vue de la bande sonore. L’article démontre que le cinéaste, dépassant les conventions de l’enregistrement sonore, associe les 24 pistes à 24 personnages indépendants. L’oeuvre se présente de prime abord novatrice, utilisant une technologie traditionnelle transformée en nouvelle technologie qui ouvre à la tridimensionalité au lieu de la linéarité. Mais de non hiérarchique, ouverte et orientée vers le choix des spectateurs, l’oeuvre subordonne finalement sa technologie sonore aux impératifs de la narration et se termine selon le modèle linéaire traditionnel.
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