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  1. 1.

    Article publié dans Service social (savante, fonds Érudit)

    Volume 40, Numéro 1, 1991

    Année de diffusion : 2005

  2. 2.

    Article publié dans Service social (savante, fonds Érudit)

    Volume 38, Numéro 2-3, 1989

    Année de diffusion : 2005

  3. 3.

    Article publié dans Lurelu (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 45, Numéro 2, 2022

    Année de diffusion : 2022

  4. 4.

    Article publié dans Lurelu (culturelle, fonds Érudit)

    Volume 45, Numéro 2, 2022

    Année de diffusion : 2022

  5. 5.

    Tremblay, Jean-Louis

    « Tit-Coq »

    Article publié dans Jeu (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 63, 1992

    Année de diffusion : 2010

  6. 6.

    Article publié dans Cahiers franco-canadiens de l'Ouest (savante, fonds Érudit)

    Volume 20, Numéro 1-2, 2008

    Année de diffusion : 2010

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    RésuméLa littérature d'expression française contemporaine de l'Ouest canadien rejette aujourd'hui les «totalités» immuables qui ont défini traditionnellement l'identité et le territoire pour repenser l'appartenance identitaire en d'autres termes. Les oeuvres récentes de Simone Chaput, écrivaine francophone du Manitoba, participent à cette tendance, surtout dans leur représentation de l'errance. Il est frappant cependant de constater que la langue d'écriture semble déterminer l'attitude qu'adopte l'auteure envers les déplacements géographiques et leur fonction identitaire. L'errance, dans son roman Le coulonneux, est motivée, d'une part, par le retour au lieu des origines constituées en mémoire construite par le sujet même et, d'autre part, par un élan complémentaire de fuites et de quêtes viscérales qui doit précéder la reconstruction du moi. Or, en 2004, Simone Chaput a fait paraître Santiago, son premier roman écrit en anglais. L'étude de cet ouvrage dans le contexte des récits de pérégrination et au regard des traversées linguistiques et culturelles effectuées permet de postuler certaines différences fondamentales quant aux liens entre la langue et l'imaginaire dans la francophonie canadienne minoritaire actuelle.

  7. 7.

    Côté, Denise Simone

    Rafales sur Des Forges

    Article publié dans Les écrits (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 161, 2021

    Année de diffusion : 2021

  8. 8.

    Article publié dans Recherches sociographiques (savante, fonds Érudit)

    Volume 55, Numéro 2, 2014

    Année de diffusion : 2014

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    Cet article propose une analyse comparative des usages de la monographie en service social et en sociologie entre les années 1940 et 1960 à l'Université Laval. Il interroge le rôle du rapport à la monographie dans la constitution des frontières disciplinaires entre la sociologie et le service social et met en évidence la centralité de la dualité théorie-empirie dans l'organisation sociale des sciences sociales. De manière transversale, il montre le caractère « genré » et hiérarchique de cette dualité qui contribue à la retraduction des inégalités de sexe dans le milieu académique. Après avoir rappelé les conditions de naissance des deux disciplines à l'Université Laval et analysé la démarche monographique des étudiants de cette université dans leurs travaux de fin d'études, il propose une comparaison de deux travaux d'enquête réalisés au début des années 1960 par le directeur du département de sociologie, Fernand Dumont – en collaboration avec Yves Martin – et par la directrice de l'École de service social Simone Paré.

    Mots-clés : sociologie, service social, frontières disciplinaires, genre, Université Laval, Fernand Dumont, Simone Paré, monographie, sociology, social work, disciplinary boundaries, gender, Laval University, Fernand Dumont, Simone Paré, monograph

  9. 9.

    Article publié dans Voix et Images (savante, fonds Érudit)

    Volume 45, Numéro 3, 2020

    Année de diffusion : 2020

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    Le temps d'un été, celui marquant son passage du primaire au secondaire, à la fin des années soixante, la narratrice de La soeur de Judith de Lise Tremblay observe le monde autour d'elle, dans un quartier de Chicoutimi. Les « explosions » de la mère ont beau être tempérées par le père, elles sont source de honte pour la jeune fille. Mais qu'est-ce qui les suscite ? En se penchant sur les motifs qui provoquent les colères de la mère, il apparaît que celles-ci sont toutes liées au statut des femmes, subordonnées dans le mariage. Le roman figure ainsi la mère en « rabat-joie féministe » (Ahmed) qui s'élève contre la mystique féminine (Friedan) dont sont nourries les femmes de cette époque qui s'éveille à la modernité. Au seuil de cette nouvelle temporalité, de nouveaux possibles féminins se dressent devant la jeune fille.

  10. 10.

    Article publié dans Lettres québécoises (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 152, 2013

    Année de diffusion : 2013