Documents repérés

  1. 31.

    Michaud, Ginette

    L'ennemi subtil

    Article publié dans Spirale (culturelle, fonds Érudit)

    Numéro 212, 2007

    Année de diffusion : 2010

  2. 32.

    Article publié dans Théologiques (savante, fonds Érudit)

    Volume 11, Numéro 1-2, 2003

    Année de diffusion : 2004

  3. 34.

    Compte rendu publié dans Renaissance and Reformation (savante, fonds Érudit)

    Volume 36, Numéro 3, 2013

    Année de diffusion : 2013

  4. 35.

    Compte rendu publié dans Women in Judaism (savante, fonds Érudit)

    Volume 19, Numéro 2, 2022

    Année de diffusion : 2022

  5. 36.

    Article publié dans Ethnologies (savante, fonds Érudit)

    Volume 34, Numéro 1-2, 2012

    Année de diffusion : 2014

    Plus d’information

    Lors de la cérémonie de Yom Hashoa (Journée du souvenir pour la Shoah) aux Terrasses de Baycrest, à Toronto, les résidents survivants s'asseoient à une table d'honneur faisant face à la salle. Ils sont l'incarnation de la cérémonie: les victimes dont on se souvient et les survivants devant nous. Comme témoins des moments les plus sombres de l'histoire juive, ils portent pleurent de leur famille et leurs amis, et la communauté se recueille avec eux. Cet article présente une étude de ce service unique, qui se distingue par sa situation dans une résidence pour personnes âgées. Les autres célébrations du Jour du souvenir de la Shoah ont généralement lieu « à l'extérieur », dans les espaces institutionnels publics : synagogues, écoles, centres communautaires, musées. Ici, ce sont les résidents qui invitent la communauté « à l'intérieur », et met en lumière l'expérience de chaque survivant. En donnant aux résidents l'occasion de mettre à l'avant-plan leurs propres récits individuels, les membres du personnel du Baycrest faciliter la mise en valeur de soi et le sens de l'identité de chaque personne. De cette manière, un rituel créatif comme la cérémonie de Yom Hashoah aide les résidents à faire face à la mort, au deuil et au souvenir dans un environnement familier de soutien, tout en contribuant au sentiment d'appartenance à la famille, la culture et la communauté, partagé par les résidents et leurs familles élargies.

  6. 37.

    Article publié dans TTR : traduction, terminologie, rédaction (savante, fonds Érudit)

    Volume 14, Numéro 1, 2001

    Année de diffusion : 2003

    Plus d’information

    RésuméCet article traite de la traduction de la poésie yiddish après l'holocauste en des langues telles que le français, l'anglais et l'allemand et doit pour ce faire tisser une toile de fond linguistique, littéraire et sociale permettant de mieux comprendre les particularités de l'expression juive et de son interprétation. (La conversion en hébreu, discutée dans une étude apparentée, présente des obstacles différents.) Sont également examinés des mouvements littéraires comme l'expressionisme européen et l'« introspectivisme » yiddish américain ainsi que la parole yiddish et sa prosodie dans les traductions de Cynthia Ozick (anglais), Charles Dobzynski (français) et Gabriele Kohlbauer-Fritz (allemand).

    Mots-clés : culture, expressionism, Holocaust, introspectivism, exile, culture, expressionisme, holocauste, introspectivisme, exil