Revue internationale P.M.E.
Direction : Josée St-Pierre (Directrice) / Rédaction : Josée St-Pierre (Rédactrice en chef)
À propos
Présentation
Revue internationale PME vise à promouvoir la diffusion en langue française de la recherche sur les petites et moyennes entreprises (PME) et l’entrepreneuriat, en publiant des articles empiriques, conceptuels et méthodologiques qui contribuent à l’avancement des connaissances dans ce domaine. Pour répondre aux exigences de la revue, un article empirique doit contribuer à la validation, à l’extension ou à l’élaboration de la théorie dans le domaine de la PME et de l’entrepreneuriat. Toutes les méthodes empiriques sont acceptables, incluant entre autres les études quantitatives, qualitatives, de terrain, expérimentales, méta-analytiques et multi-méthodes. Outre ses retombées pour la recherche, l’article devrait aussi inclure des retombées pour la pratique ou les politiques publiques, même si cela n’est que de façon indirecte. Un article conceptuel doit faire progresser la théorie dans le domaine de la PME et de l’entrepreneuriat. Cela peut être fait en développant une nouvelle théorie, en confrontant ou clarifiant des théories existantes, en synthétisant des progrès récents et de nouvelles idées pour renouveler la théorie et en lançant une recherche théorique par l’identification et la délimitation d’un problème managérial ou entrepreneurial nouveau. Un article méthodologique doit aussi inclure une contribution théorique ou empirique, en développant, par exemple, une nouvelle méthode ou une nouvelle mesure pertinente à la recherche et à la pratique en PME et en entrepreneuriat.
Indexation
Repère
International Congress of Small Business
Ulrich’s International Periodical Directory
Coordonnées
Site de la revue
http://revueinternationalepme.com
Pour communiquer avec la revue
INSTITUT DE RECHERCHE SUR LES PME
Université du Québec à Trois-Rivières
Pavillon Desjardins-Hydro-Québec
3351, boulevard des Forges, C.P. 500
Trois-Rivières (Québec) Canada
G9A 5H7
Cynthia Scott
Secrétaire de rédaction
Téléphone: 819-376-5235
Courriel: ripme@uqtr.ca
Accès
Un abonnement est requis pour l’accès aux numéros parus dans les 12 derniers mois de publication de cette revue. Les autres numéros sont disponibles en libre accès.
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Abonnement à l’Association internationale de recherche en entrepreneuriat et PME
Veuillez accéder au lien suivant : http://www.airepme.org et sélectionner le bouton « Devenir membre » dans le menu sur la page d’accueil.
Historique de la revue (102 numéros)
L’archivage pérenne des articles sur Érudit est assuré par Portico.
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2021
2020
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2018
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2007
2006
2005
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2002
2001
2000
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1998
1997
1996
1995
1994
1993
1992
1991
1990
1989
1988
Politique éditoriale et éthique
Politique éditoriale
Longueur
- Entre 6 000 et 10 000 mots, excluant les références
Format
- A4
Marges
- 2,5 cm de chaque côté ainsi qu’en bas et en haut
Style
- Ne pas utiliser les styles prédéfinis dans Word, utiliser le style « normal »
Titre de l’article
- Times New Roman 18, en minuscule et gras;
- Justifié à droite.
Texte
- Times New Roman 12;
- Justifié et sans retrait;
- Interligne simple.
Titre des sections principales
- Times New Roman 14;
- Minuscule et gras.
Sauts de ligne
- Saut de ligne simple entre chaque paragraphe;
- Double saut de ligne entre l’introduction, les différentes parties et la conclusion.
Première page
- Titre de l’article (en français, en anglais et en espagnol), noms des auteurs, fonctions, coordonnées complètes, éventuels remerciements, résumé et mots clés également requis dans les trois langues.
Résumé
- Textes en italique non gras, maximum de 200 mots, dans les trois langues.
Autres composantes
- Le texte doit être suivi des annexes et des références bibliographiques
Tableaux
- Les tableaux sont insérés dans le texte (via le menu contextuel Word);
- Times New Roman 10 pour l’intérieur du tableau, en gras pour les en-têtes;
- Titre aligné à gauche en Times 12, gras;
- Pas de bords verticaux;
- Texte aligné à gauche;
- Données numériques centrées dans le cadre et alignées sur la virgule;
- Tableau centré sur la page;
- Légende à gauche sous le tableau en Times 10;
- Éviter les zones grisées;
- Éviter les italiques sauf si nécessaire.
NOTE : La virgule est utilisée pour séparer les décimales dans les tableaux ainsi que dans le corps du texte.
Schémas, figures, graphiques
- Les schémas, figures et graphiques sont insérés dans le texte à l’endroit approprié et sont numérotés en continu;
- Titre aligné à gauche en Times 12, gras;
- Le contenu doit être dans une taille de police inférieure à celle du texte.
Notes de bas de page
- Times New Roman 10;
- Nombre limité : nous encourageons les auteurs à ne pas multiplier les appels de notes de bas de page afin de faciliter la lecture du texte;
- Numérotation continue.
Liste desréférences
- Times New Roman 12;
- Les références bibliographiques dans le corps du texte doivent comporter, entre parenthèses, l'indication du nom de l'auteur et l'année de publication de l'ouvrage cité. Celles-ci doivent paraître après les annexes et être en tous points conformes aux normes de la section suivante.
Normes et présentation des références bibliographiques
Le mode de présentation des références bibliographiques s’inspire des normes de l’American Psychological Association(APA). En cas de doute pour la présentation d’une référence ne faisant l’objet d’aucun exemple ci-dessous, on pourra se référer aux normes édictées par cette association, dont on trouvera des exemples à l’adresse suivante : http://benhur.teluq.uquebec.ca/~ mcouture/apa/.Une référence bibliographique est repérée dans le texte par le ou les noms de l’auteur (s), suivie de l’année.
Les références bibliographiques sont en fin d’article (par ordre alphabétique d’auteurs). Dans le texte, les citations de références apparaîtront entre parenthèses avec le nom et la date de parution, ex : (Laurent, 1990). Si deux références ont le même auteur et la même année de parution, on les différenciera par des lettres, ex : (Laurent, 1990a, Laurent, 1990 b). Ces lettres apparaîtront aussi dans la bibliographie. Dans le cas d’un nombre de coauteurs supérieur à trois, mais inférieur à six, on mentionnera à la première occurrence les noms de tous les auteurs, puis on n’utilisera pour les occurrences subséquentes que le nom du premier auteur suivi de la mention et al. Dans le cas d’un nombre de coauteurs égal ou supérieur à six, on utilise la mention et al. après le nom du premier auteur dès la première occurrence dans le texte. Exemple : (Dupont et al., 1990).
Périodiques : Liste des auteurs (nom en petites majuscules) incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la publication, du titre de l’article, du nom du périodique (sans abréviation) en italique, du numéro du volume en italique, du numéro du périodique dans le volume (entre parenthèses et sans espace après le numéro de volume) et du numéro des pages de début et de fin de l’article.
Exemple :
Sempé, L. (2000). Une échelle de mesure de l’appartenance aux cercles sociaux : analyse factorielle confirmatoire multiniveaux. Recherche et Applications en Marketing, 15(2), 43-58.
Ouvrages : Liste des auteurs (nom en petites majuscules) incluant l’initiale de leur prénom en petites majuscules, suivie de l’année de la publication, du titre de l’ouvrage en italique, du lieu de publication et du nom de la société éditrice.
Exemple :
Desmet, P. et Zollinger, M. (1997). Le prix : de l’analyse conceptuelle aux méthodes de fixation. Paris, Economica.
Ouvrages collectifs (« edited » en anglais) : Les ouvrages coordonnés ou réalisés sous la direction d’une ou plusieurs personnes (qualifiées d’editors en anglais) doivent être traités de la manière suivante :
Exemple :
Earl, P.E. et Kemp, S. (dir.) (1999). The Elgar companion to consumer research and economic psychology. Cheltenham, Edward Edgar Publishing.
Chapitres d’ouvrages collectifs : Liste des auteurs (nom en petites majuscules) incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la publication, du titre du chapitre, de l’initiale du prénom et du nom du ou des coordonnateurs (editor[s] en anglais) précédé (s) de « Dans », du titre du livre en italique, du numéro des pages entre parenthèses, du lieu de la publication et du nom de la maison d’édition.
Exemple :
Maille, V. et Siekershi, E. (2006). Comment gérer les sensations tactiles? Dans S. Rieunier (dir.), le marketing sensoriel du point de vente (p. 169-203). Paris, France, Dunod.
Documents non publiés : Les références à des documents non publiés, des thèses, etc. doivent mentionner la liste des auteurs incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la soutenance ou de la présentation ainsi que du titre. Les mots « rapport », « papier de recherche », « thèse », etc. ne doivent pas être mis en italique. Dans le cas des thèses, ne pas oublier d’inclure le nom de l’Université ou de l’École, ainsi que le lieu de la soutenance ou de la présentation.
Exemples :
Ménard, J.C. (2008). Impacts de certaines pratiques de gestion des ressources humaines sur la capacité d’innovation des PME (thèse de doctorat non publiée). Université du Québec à Trois-Rivières, Canada.
Tourtoulou, A.-S. (1996). Marques nationales, marques de distributeurs et premiers prix : effets de leurs mises en avant sur les ventes et la structure concurrentielle de la catégorie de produits (thèse de doctorat en sciences de gestion, École HEC, Jouy-en-Josas). Récupéré du site de la bibliothèque de l’École http://www.hec.fr/content/search?SearchText=bibliotheque basesdedonneesxerfi.
Simonson, I. (2007). Will I like a medium « pillow »? Another look at constructed and inherent preferences. Rapport n° 2007-28, Vancouver Island University, Nanaimo, British Columbia.
Actes de colloque ou conférence ayant fait l’objet d’une publication : Les citations d’actes de colloques sont traitées comme les extraits d’ouvrages. Il faut indiquer dans l’ordre : la liste des auteurs incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la publication, du titre de l’article, de l’initiale du prénom et du nom du ou des coordonnateurs (editor[s] en anglais) précédé de « dans », de l’intitulé du colloque mis en italique, du numéro du volume, du lieu de la publication, du nom de la maison d’édition et du numéro des pages.
Exemple :
Ngobo, P.V. (1998). Les relations non linéaires entre la satisfaction, la fidélité et les réclamations. Dans B. Saporta (dir.), Actes de la Conférence de l’Association française du Marketing (p. 145-170). Bordeaux, France.
Documents en ligne (pages WWW)
Les références relatives aux documents en ligne doivent permettre de retrouver non seulement le site hébergeant un document, mais aussi le document lui-même. C’est donc dire qu’il faut indiquer l’adresse URL complète de la page ou du document consulté.
Exemple :
Couture, M. (2013, mise à jour 20 septembre). Une adaptation française des normes bibliographiques de l'APA - Documents en ligne. Récupéré le 6 novembre 2013 du site de l'auteur : http://www.teluq.ca/~mcouture/apa/.
Citations de ses propres travaux : Dans le cas où les auteurs souhaiteraient faire référence à un ou plusieurs de leurs travaux, il est essentiel que la formulation utilisée lors du processus d’évaluation préserve l’anonymat. Si cela se révèle impossible, utiliser dans le texte ainsi que dans les références bibliographiques la formule : (auteur ou coauteur, date), par exemple (auteur, 1996). Les références bibliographiques seront complétées une fois le papier accepté.
Quelques règles typographiques
Les titres (de livres, de films, etc.) s’écrivent en italique.
Les mots en langues étrangères (anglais, latin, etc.) s’écrivent en italique (et non entre guillemets).
On écrit « etc. » ou « … », mais pas « etc. ».
Les siècles s’écrivent en chiffres romains.
Politique anti-plagiat
Toute personne qui soumet un texte à la RIPME est présumée avoir pris connaissance du code d’éthique et de déontologie de l’Association internationale de recherche en entrepreneuriat et PME (AIREPME) et avoir suivi strictement les principes et règles qu’il contient. Ce code peut être consulté sur le site même de la revue (Code d'éthique et de déontologie) ou encore en allant sur le site de l’AIREPME (http://airepme.org/). Entre autres choses, l’auteur reconnaît ne pas avoir plagié, c’est-à-dire ne pas avoir utilisé le travail de quelqu’un d’autre (mots, idées, résultats, etc.), qu’importe la langue dans laquelle le document de référence est rédigé, sans lui en attribuer la paternité. Une citation intégrale doit aussi être mise entre guillemets et l’auteur doit indiquer la page où elle figure dans le document d’où elle est tirée.
Le chercheur reconnaît aussi que la contribution fondamentale de son manuscrit (essentiellement les mêmes résultats ou les mêmes idées) n’a pas déjà fait l’objet d’une publication ailleurs, en français ou dans une autre langue. De façon générale, il reconnaît ne pas avoir réutilisé, sans indication de la source, des mots ou des idées consignés dans un document dont il est auteur ou coauteur, ce qui constituerait alors de l’autoplagiat.
Une plate-forme de détection de similitudes, en l’occurrence Compilatio, est utilisée pour vérifier l’absence de plagiat ou le caractère original des textes soumis à la RIPME. Sans se limiter strictement à un pourcentage, le rédacteur responsable de la soumission portera une attention particulière aux textes ayant au moins 3 % de similitudes avec d’autres textes (excluant la liste de références), pour s’assurer notamment que les passages pertinents ne figurent pas dans le texte. Il déterminera alors si c’est le plagiat ou l’autoplagiat qui est en cause (le plagiat étant considéré comme plus grave) et si les documents originaux renvoient à des textes publiés (p. ex., des articles parus dans une revue) ou non publiés (p. ex., communications, documents de travail, thèses), les seconds ne faisant aucunement problème s’ils sont de l’auteur lui-même. Finalement, la dimension quantitative (les passages litigieux sont-ils nombreux ?) et la dimension qualitative (les passages litigieux portent-ils sur des éléments importants ou secondaires ?) sont prises en considération.
Selon la gravité de la faute, le rédacteur en chef peut rejeter immédiatement le texte soumis à la RIPME, demander des explications à l’auteur, exiger des modifications au texte ou, dans le pire des cas, acheminer le dossier au Comité de déontologie de l’AIREPME qui, après un examen approfondi, pourra imposer des sanctions, dont l’interdiction de soumettre un texte à la RIPME pour une période plus ou moins prolongée. Si le plagiat ou l’autoplagiat n’est détecté qu’au moment de la révision du texte, les mêmes sanctions pourront être appliquées et l’évaluateur vigilant sera informé des décisions prises par le Comité de déontologie, sans mention du nom de la personne visée par l’allégation d’inconduite, le tout conformément à la procédure décrite dans le code d’éthique et de déontologie de l’AIREPME. Si l’inconduite n’est découverte qu’après la publication de l’article, le Comité de déontologie sera saisi du dossier et des sanctions seront appliquées, en plus d’une rétractation officielle du rédacteur en chef.
Droits d’auteur
Les auteurs qui publient dans cette revue acceptent les termes suivants :
Après l'acceptation de leur texte pour publication, les auteurs cèdent par écrit et à titre gratuit à Revue internationale PME tous leurs droits, titres et intérêts ainsi que la propriété du texte ci-haut mentionné, incluant le droit de céder lesdits droits d'auteur de même que le droit de contracter tout renouvellement, republication, réédition ainsi que la prolongation de chacun de ces droits et ce, dans tout pays où la protection desdits droits est reconnue et applicable.
Cette cession est valide pour toute la durée de la protection légale, à partir de la date de la signature du formulaire officiel de cession de droits d'auteur.
Les auteurs certifient que le texte dont il est fait mention est le fruit de leur propre travail et qu'il n'a jamais été publié.
Les auteurs peuvent archiver une version de leur article dans un dépôt institutionnel en respectant les règles énoncées dans la Politique de dépôt des articles mise par la maison d’édition EMS, Editions Management et Société.
L’archivage pérenne de Revue internationale PME est assuré par Portico.
Comité de rédaction
Rédactrice en chef
Josée St-Pierre, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Rédactrices adjointes
Sophie Reboud, Burgundy School of Business, France
Maripier Tremblay, Université Laval, Canada
Rédacteurs conseillers
Camille Carrier, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Pierre Cossette, Université du Québec à Montréal, Canada
Pierre-André Julien, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Michel Marchesnay, Université de Montpellier 1, France
Rédacteurs associés
Sandrine Berger-Douce, École des mines de Saint-Étienne, France
Louise Cadieux, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Régis Coeurderoy, ESCP- Europe, France, UCLouvain, Belgique
Christina Constantinidis, Université du Québec à Montréal, Canada
Véronique Favre-Bonte, Université Savoie Mont Blanc, France
Olivier Germain, Université du Québec à Montréal, Canada
Gilles Guieu, Aix-Marseille Université, France
Frank Janssen, UCLouvain, Belgique
Nadine Levratto, Université Paris Nanterre, France
Karim Messeghem, Université de Montpellier, France
Christophe Schmitt, Université de Lorraine, France
Karim Trabelsi, Institut supérieur d'administration des affaires de Sfax, Tunisie
Thierry Verstraete, Université de Bordeaux, France
Comité scientifique
Kadia Georges Aka, Université de Moncton, Canada
Moujib Bahri, Université TÉLUQ, Canada
Hanane Beddi, Université Jean Moulin, France
Yosr Ben Tahar, Paris School of Business, France
Véronique Bessiere, Université de Montpellier, France
Sonia Boussaguet, Neoma Business School, France
Martine Boutary, ESC Toulouse, France
Philippe Chapellier, Université de Montpellier, France
Jean-Marie Courrent, Université de Montpellier, France
Gaëlle Dechamp, Université Jean Monnet, France
Julien De Freyman, South Champagne Business School, France
Bérangère Deschamps, Université Grenoble Alpes, France
Bruno Fabi, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Nazik Fadil, EM Normandie, France
Stéphane Foliard, Université Jean Monnet, France
Cécile Fonrouge, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Olivier Giacomin, EBS Paris, France
Didier Grandclaude, EM Strasbourg, France
Gaël Gueguen, Toulouse Business School, France
Martine Hlady-Rispal, Université de Limoges, France
Amélie Jacquemin, UCLouvain, Belgique
Nabil Khelil, Université Caen Normandie, France
Frédéric Le Roy, Université de Montpellier, France
Edmilson Lima, Université Nove de Julho, Brésil
Marie Marchand, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Sophie Mignon, Université de Montpellier, France
Claudia Pelletier, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Matthias Pepin, Université Laval, Canada
Miruna Radu Lefebvre, Audencia Business School, France
Louis Raymond, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Vinciane Servantie, Université los Andes, Colombie
Anne Stevenot, Université de Lorraine, France
Sylvestre Uwizeyemungu, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Sophie Veilleux, Université Laval, Canada
Responsable de la rubrique sur la mobilisation des connaissances
Sophie Reboud, Burgundy School of Business, France
Responsable des comptes rendus de lecture
Véronique Favre-Bonté, Université Savoie Mont Blanc, France