Revue internationale P.M.E.

Rédaction : Josée St-Pierre (Rédactrice en chef), Sophie Reboud (Rédactrice Adjointe), Maripier Tremblay (Rédactrice adjointe), Olivier Germain (Rédacteur Adjoint)

À propos

Historique et énoncé de mission

Depuis 1988, la Revue internationale PME vise à promouvoir la diffusion en langue française de recherches concernant les (PME) et l’entrepreneuriat. Elle accueille des contributions de haut niveau scientifique, à la fois théoriques et empiriques, se situant dans les domaines des sciences de la gestion et de l'économie, mais également de champs voisins qui s’intéressent aussi aux questions touchant aux PME et à l’entrepreneuriat (géographie, sociologie, psychologie, ingénierie, informatique, etc.). On y favorise également les travaux interdisciplinaires qui réunissent des points de vue complémentaires pour une meilleure appréciation de l’objet de la recherche. Elle s'adresse aux chercheurs, étudiants, professionnels et pouvoirs publics soucieux d'être au fait des derniers développements pouvant favoriser leur réflexion; et compte des abonnés dans plus d’une trentaine de pays francophones et francophiles sur les cinq continents.

La Revue internationale PME publie des articles « classiques » et des articles « frontières » répondant à une approche plus critique sur les connaissances actuelles en voulant provoquer de nouvelles conversations.  

Les Articles « classiques », de nature empirique, conceptuelle et méthodologique, participent à l'avancement des connaissances dans ces domaines. Pour répondre aux exigences de la Revue, un article empirique doit contribuer à la validation, à l'extension ou à l'élaboration de la théorie dans les domaines des PME et de l'entrepreneuriat. Toutes les méthodes empiriques sont acceptables, incluant les études quantitatives, qualitatives, de terrain, expérimentales, méta-analytiques et multi-méthodes. Outre ses retombées pour la recherche, l'article doit aussi inclure des retombées pour la pratique ou les politiques publiques, même si cela n'est que de façon indirecte. Un article conceptuel doit faire progresser la théorie dans les domaines des PME et de l'entrepreneuriat. Cela peut être fait en développant une nouvelle théorie, en confrontant ou clarifiant des théories existantes, en synthétisant des progrès récents et de nouvelles idées pour renouveler la théorie et en lançant une recherche théorique par l'identification et la délimitation d'un problème managérial ou entrepreneurial nouveau. Un article méthodologique doit aussi inclure une contribution théorique ou empirique, en développant, par exemple, une nouvelle méthode ou une nouvelle mesure pertinente à la recherche et à la pratique en PME et en entrepreneuriat. Par ailleurs, la Revue n'est liée à aucun champ disciplinaire, niveau d'analyse ou contexte national particulier.

Les Articles – Frontières s’intéressent au renouvellement des pratiques de publication par l’étude des formes, des idées, des méthodes, des pratiques, en marge des codes habituels de publication dans les domaines des PME et de l’entrepreneuriat. Les textes viseront une des trois orientations soit des essais à contre-courant, des explorations pédagogiques et des nouvelles méthodes et formes d’écriture.

La Revue ne publie que des articles inédits. Il est entendu que les textes soumis pour publication dans la Revue internationale PME sont originaux et ne sont pas en attente pour publication dans une autre revue ou ne sont pas en cours d'évaluation dans une autre revue à comité de lecture.

Indexation

Business Source Complete (EBSCO – États-Unis)/ Dimensions (Digital Science – Royaume-Uni)/ Érudit (Canada)/ Google Scholar (États-Unis)/ Isidore (France)/ Journal TOCS (Heriot-Watt University – Royaume-Uni)/ Mir@bel (France)/ Repère (Canada)/ Scholars Portal Journals (Canada) / Ulrich’s Periodicals Directory (ProQuest – États-Unis)/ Web of Science (Emerging Sources Citation Index) (Clarivate – Royaume-Uni) / WorldCat (OCLC – États-Unis)

Coordonnées

Site de la revue

https://revueinternationalepme.com

Pour communiquer avec la revue

INSTITUT DE RECHERCHE SUR LES PME
Université du Québec à Trois-Rivières
Pavillon Desjardins-Hydro-Québec
3351, boulevard des Forges, C.P. 500
Trois-Rivières (Québec) Canada
G9A 5H7

Josée St-Pierre
Rédactrice en chef

Cynthia Scott
Secrétaire de rédaction

Téléphone : 819-376-5235
Courriel: ripme@uqtr.ca


Accès

Un abonnement est requis pour l’accès aux numéros parus dans les 12 derniers mois de publication de cette revue. Les autres numéros sont disponibles en libre accès.

Abonnement numérique institutionnel : les institutions (bibliothèque, centre documentaire, établissement scolaire, etc.) ont la possibilité de s’abonner aux revues d’Érudit par titre ou par collection de titres. Pour obtenir plus d’informations, nous invitons les institutions à remplir le formulaire d’abonnement.

Abonnement numérique individuel : les particuliers désirant s’abonner à la revue sont invités à communiquer directement avec la direction de la revue par courriel :  ripme@uqtr.ca

 

 

Historique de la revue (109 numéros)

L’archivage pérenne des articles sur Érudit est assuré par Portico.

Politique éditoriale et éthique

Politique éditoriale

La Revue internationale PME accueille des contributions originales de haut niveau scientifique, à la fois théoriques et empiriques, se situant dans les domaines des sciences de la gestion et de l'économie, mais également de champs voisins qui s’intéressent aussi aux questions touchant aux PME et à l’entrepreneuriat (géographie, sociologie, psychologie, ingénierie, informatique, etc.). Aucune école de pensée n’est dominante et aucune approche méthodologique n’est écartée.

Il est entendu que les textes soumis pour publication dans Revue internationale PME sont originaux et ne sont pas en attente pour publication dans une autre revue ou ne sont pas en cours d’évaluation dans une autre revue à comité de lecture. Avant de soumettre un manuscrit, les auteurs sont invités à consulter le site de la revue pour obtenir les consignes à respecter incluant les normes éditoriales pour la présentation des textes. Les textes doivent être soumis par voie électronique à https://revueinternationalepme.com.

Numéros spéciaux

Revue internationale PME (RIPME) est ouverte à ce que des propositions de numéro spécial lui soient soumises. Un numéro spécial cherchant à mettre en valeur un thème particulier pour susciter des débats et contribuer à accélérer l’avancement des connaissances pourra être accepté sous certaines conditions. Les appels à contribution à de tels numéros sont diffusés à toute la communauté scientifique (et non restreint à un réseau particulier) et la gestion se fait en collaboration entre les chercheurs ayant initié la démarche et le rédacteur en chef de la RIPME. Cette procédure vise à assurer le respect des normes et valeurs de la RIPME ainsi que son calendrier de publication.

Processus de révision par les pairs

La RIPME adopte un processus de révision en double aveugle pour ses articles et protège l’anonymat des auteurs et des évaluateurs.

Tel que mentionné dans le code d’éthique et de déontologie, les auteurs qui soumettent un texte à la RIPME reconnaissent l’originalité de leur travail qu’ils ont écrit de façon autonome et sans assistance technologique. Un logiciel de détection des similarités est utilisé pour vérifier l’absence de plagiat et l’originalité des texes soumis à la RIPME. Si aucun problème de plagiat n’est détecté, les textes sont soumis au processus d’évaluation.

Tout document soumis dans la catégorie Article sera d'abord évalué par le rédacteur en chef ou un rédacteur adjoint, puis envoyé à trois experts dans le(s) domaine(s) traité par le(s) auteur(s). Les documents soumis dans la catégorie Article - Frontière seront évalués par le rédacteur responsable de la section puis soumis à deux experts dans le(s) domaine(s) traité par le(s) auteur(s).

L'évaluation de tous les travaux est effectuée en considérant dans quelle mesure le texte :

  • Est inédit et original;
  • Contribue à l'avancement des connaissances dans son domaine;
  • Contribue à la validation, à l'extension ou à l'élaboration de la théorie dans le domaine de la PME et de l'entrepreneuriat;
  • Utilise des méthodes empiriques acceptables, incluant entre autres les études quantitatives, qualitatives, de terrain, expérimentales, méta-analytiques et multi-méthodes;
  • Inclut des retombées pour la recherche, mais aussi pour la pratique ou les politiques publiques, même si cela n'est que de façon indirecte;
  • Respecte les normes les plus élevées d'éthique (voir code d’éthique et de déontologie).

Les évaluateurs sont invités à remplir une grille d'évaluation et à commenter le texte afin de fournir des recommandations spécifiques aux auteurs. Les commentaires doivent être courtois et constructifs.

Le rédacteur responsable de la soumission prendra une décision après réception des rapports des trois évaluateurs, qui sera communiquée aux auteurs.

Par souci de transparence et dans le but de favoriser une conversation stimulante et enrichissante entre les participants au processus de révision, la décision éditoriale – incluant les rapports des évaluateurs - est communiquée aux auteurs ainsi qu’aux évaluateurs en protégeant l’anonymat.

Les auteurs invités à soumettre une version révisée disposent de 6 à 12 semaines pour le faire. Ils doivent soumettre le texte révisé à la plateforme, accompagné d'un document détaillant la manière dont ils ont pris en compte tous les commentaires et remarques des évaluateurs.

En fonction de l'ampleur des corrections demandées, les nouveaux documents peuvent être renvoyés au processus d'évaluation et soumis à nouveau aux mêmes évaluateurs de manière anonyme.

Les auteurs peuvent suivre l’évolution de leur texte dans le processus à partir de la plateforme. 

Droits d’auteur

Après l'acceptation de leur texte pour publication, les auteurs cèdent par écrit et à titre gratuit à Revue internationale PME tous leurs droits, titres et intérêts ainsi que la propriété du texte accepté, incluant le droit de céder lesdits droits d'auteur de même que le droit de contracter tout renouvellement, republication, réédition ainsi que la prolongation de chacun de ces droits et ce, dans tout pays où la protection desdits droits est reconnue et applicable.

Cette cession est valide pour toute la durée de la protection légale, à partir de la date de la signature du formulaire officiel de cession de droits d'auteur.

Les auteurs certifient que le texte dont il est fait mention est le fruit de leur propre travail et qu'il n'a jamais été publié.

L’archivage pérenne de Revue internationale PME est assuré par Portico.

Code d'éthique et de déontologie

Toute personne qui soumet un texte à la RIPME est présumée avoir pris connaissance du code d’éthique et de déontologie de l’Association internationale de recherche en entrepreneuriat et PME (AIREPME) et avoir suivi strictement les principes et règles qu’il contient. Ce code peut être consulté sur le site même de la revue (Code d'éthique et de déontologie) ou encore en allant sur le site de l’AIREPME.

Politique anti-plagiat

Tel qu’indiqué dans le code d’éthique et de déontologie, les auteurs qui soumettent un texte pour publication dans la RIPME reconnaissent l’originalité de leur travail qu’ils ont rédigé de façon autonome et sans assistance technologique. Une plate-forme de détection de similitudes, est utilisée pour vérifier l’absence de plagiat ou le caractère original des textes soumis à la RIPME. Sans se limiter strictement à un pourcentage, le rédacteur responsable de la soumission portera une attention particulière aux textes ayant au moins 3 % de similitudes avec d’autres textes (excluant la liste de références), pour s’assurer notamment que les passages pertinents ne figurent pas dans le texte. Il déterminera alors si c’est le plagiat ou l’autoplagiat qui est en cause (le plagiat étant considéré comme plus grave) et si les documents originaux renvoient à des textes publiés (p. ex., des articles parus dans une revue) ou non publiés (p. ex., communications, documents de travail, thèses), les seconds ne faisant aucunement problème s’ils sont de l’auteur lui-même. Finalement, la dimension quantitative (les passages litigieux sont-ils nombreux ?) et la dimension qualitative (les passages litigieux portent-ils sur des éléments importants ou secondaires ?) sont prises en considération.

Selon la gravité de la faute, le rédacteur en chef peut rejeter immédiatement le texte soumis à la RIPME, demander des explications à l’auteur, exiger des modifications au texte ou, dans le pire des cas, acheminer le dossier au Comité de déontologie de l’AIREPME qui, après un examen approfondi, pourra imposer des sanctions, dont l’interdiction de soumettre un texte à la RIPME pour une période plus ou moins prolongée. Si le plagiat ou l’autoplagiat n’est détecté que lors du processus de révision par les paires, les mêmes sanctions pourront être appliquées et l’évaluateur vigilant sera informé des décisions prises par le Comité de déontologie, sans mention du nom de la personne visée par l’allégation d’inconduite, le tout conformément à la procédure décrite dans le code d’éthique et de déontologie de l’AIREPME. Si l’inconduite n’est découverte qu’après la publication de l’article, le Comité de déontologie sera saisi du dossier et des sanctions seront appliquées, en plus d’une rétractation officielle tel que décrite à la section « Retrait d’articles » dans le code d’éthique et de déontologie.


Instruction pour les auteurs

Directives aux auteurs

Les textes doivent être soumis par voie électronique à https://revueinternationalepme.com.

Les auteurs doivent s’assurer de respecter l’anonymat de leur texte dans un cadre d’évaluation en double aveugle (Assurer une évaluation à l’aveugle).

La Revue internationale PME (RIPME) est une revue savante qui respecte les normes et les standards dans la diffusion de textes scientifiques dans les domaines des PME et de l’entrepreneuriat. Pour assurer sa mission et ses obligations, les auteurs sont soumis à certaines exigences qui seront rappelées lors de la soumission de leur texte :

  • La soumission n'a pas déjà été publiée et elle n'est pas considérée actuellement par une autre revue (ou une explication a été fournie dans la section Commentaires au rédacteur);
  • Les auteurs.es sont tous.tes identifiés.es dans les métadonnées de la soumission et ont tous.tes accepté d’être signataires et cosignataires de la soumission proposée;
  • Les auteurs.es certifient que le texte qui est soumis est le fruit de leur propre travail et que tout emprunt aux travaux d’autres auteurs.es est fait dans le respect des règles du droit d’auteur.e et de la propriété intellectuelle;
  • Lorsque la soumission est acceptée, les auteurs.es s’engagent, au terme du processus d’évaluation, à céder leurs droits pour que le texte final soit publié dans la RIPME;
  • Les auteurs.es ont lu et appliqué les instructions « Assurer une évaluation à l'aveugle » visant à protéger l’anonymat des auteurs.es vis-à-vis les évaluateurs.trices.
  • Les auteurs.es ont lu et appliqué les exigences stylistiques et bibliographiques décrites dans « Directives de rédaction».

    Étant donné son lien avec l’Association internationale de recherche en entrepreneuriat et PME (AIREPME), les auteurs.es sont soumis.es. aux normes d’éthique présentées dans son code d'éthique et de déontologie dont nous recommandons la lecture.

Page de présentation (dans un document indépendant)

Le titre de l’article ainsi que le résumé constituent les informations les plus véhiculées sur un article scientifique. Ces informations se retrouvent dans les différentes bases de données et seront accessibles dans les moteurs de recherche ainsi que sur les sites des principaux agrégateurs. Il est essentiel d’y accorder beaucoup d’attention pour assurer la qualité, la lisibilité, la clarté ainsi que la précision.

  • Titre de l’article, noms des auteurs, fonctions, coordonnées complètes, code ORCID, éventuels remerciements, résumé et mots clés. Toutes les informations doivent être présentées en français et en anglais.
  • Le résumé de l’article comporte au maximum 200 mots et doit répondre à différents objectifs : 
    • il présente de manière synthétique la problématique et l’objectif de la recherche qui en découle, situe de manière claire les enjeux théoriques et concepts principaux de la recherche, présente les choix méthodologiques et le terrain d’étude, et finalement résume les contributions centrales de la recherche (théoriques et managériales); 
    • il permet ainsi clairement aux lectrices et lecteurs de comprendre l’intérêt qu’elles et qu’ils auront à lire l’article;
    • il emploie donc un langage clair, dénué de toute ambiguïté. 

Instructions de mise en forme des articles :

Longueur

  • Pour les articles de format « Traditionnel » : Entre 6 000 et 10 000 mots incluant les annexes et excluant les références;
  • Pour les articles de format « Frontière » : Entre 5 000 et 6 000 mots incluant les annexes et excluant les références qui devraient se limiter à 25.

Format

  • A4

Marges

  • 2,5 cm de chaque côté ainsi qu’en bas et en haut

Style

  • Ne pas utiliser les styles prédéfinis dans Word, utiliser le style « normal »

Titre de l’article

  • Times New Roman 18, en minuscule et gras;
  • Justifié à droite.

Texte

  • Times New Roman 12;
  • Justifié et sans retrait;
  • Interligne simple.

Titre des sections principales

  • Times New Roman 14;
  • Minuscule et gras.

Sauts de ligne

  • Saut de ligne simple entre chaque paragraphe;
  • Double saut de ligne entre l’introduction, les différentes parties et la conclusion.

Résumé

  • Textes en italique non gras, maximum de 200 mots, dans les deux langues.

Autres composantes

  • Le texte doit être suivi, dans cet ordre, des annexes et des références bibliographiques.

    NOTE : outre les références bibliographiques, l’ensemble des informations fait partie du calcul de la longueur maximale d’un article.

Tableaux

  • Les tableaux sont insérés dans le texte (via le menu contextuel Word);
  • Times New Roman 10 pour l’intérieur du tableau, en gras pour les en-têtes;
  • Titre aligné à gauche en Times 12, gras;
  • Pas de bords verticaux;
  • Texte aligné à gauche;
  • Données numériques centrées dans le cadre et alignées sur la virgule;
  • Tableau centré sur la page;
  • Légende à gauche sous le tableau en Times 10;
  • Éviter les zones grisées;
  • Éviter les italiques sauf si nécessaire.


NOTE : La virgule est utilisée pour séparer les décimales dans les tableaux ainsi que dans le corps du texte.

Schémas, figures, graphiques

  • Les schémas, figures et graphiques sont insérés dans le texte à l’endroit approprié et sont numérotés en continu;
  • Titre aligné à gauche en Times 12, gras;
  • Le contenu doit être dans une taille de police inférieure à celle du texte.

Notes de bas de page

  • Nombre limité : nous encourageons les auteurs à ne pas multiplier les appels de notes de bas de page afin de faciliter la lecture du texte;
  • Numérotation continue;
  • Times New Roman 10.

Liste des références

  • Times New Roman 12;
  • Les références bibliographiques dans le corps du texte doivent comporter, entre parenthèses, l'indication du nom de l'auteur et l'année de publication de l'ouvrage cité. Celles-ci doivent paraître après les annexes et être en tous points conformes aux normes de la section suivante.

Normes et présentation des références bibliographiques

Le mode de présentation des références bibliographiques s’inspire des normes de l’American Psychological Association(APA). En cas de doute pour la présentation d’une référence ne faisant l’objet d’aucun exemple ci-dessous, on pourra se référer aux normes édictées par cette association, dont on trouvera des exemples à l’adresse suivante : <https://bib.umontreal.ca/citer/styles-bibliographiques/apa?tab=5248896>.

Les références bibliographiques sont en fin d’article (par ordre alphabétique d’auteurs). Dans le texte, les citations de références apparaîtront entre parenthèses avec le nom de ou des auteur(s) et la date de parution, ex : (Julien, 2004) ; (Julien et Raymond, 2008). Si deux références ont le même auteur et la même année de parution, on les différenciera par des lettres, ex : (Julien, 2004a ; Julien, 2004b). Ces lettres apparaîtront aussi dans la bibliographie. Dans le cas d’un nombre de coauteurs supérieur à trois, mais inférieur à six, on mentionnera à la première occurrence les noms de tous les auteurs, puis on n’utilisera pour les occurrences subséquentes que le nom du premier auteur suivi de la mention et al. Dans le cas d’un nombre de coauteurs égal ou supérieur à six, on utilise la mention et al. après le nom du premier auteur dès la première occurrence dans le texte. Exemple : (Berger-Douce et al., 2023).

Périodiques : Liste des auteurs (nom en petites majuscules) incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la publication, du titre de l’article, du nom du périodique (sans abréviation) en italique, du numéro du volume en italique, du numéro du périodique dans le volume (entre parenthèses et sans espace après le numéro de volume) et du numéro des pages de début et de fin de l’article.

Exemple :

Julien, P.-A. (2001). Les PME à forte croissance et la métaphore du jazz. Comment gérer l’improvisation de façon cohérente. Revue internationale P.M.E.14(3-4), 129–161.

Ouvrages : Liste des auteurs (nom en petites majuscules) incluant l’initiale de leur prénom en petites majuscules, suivie de l’année de la publication, du titre de l’ouvrage en italique, du lieu de publication et du nom de la société éditrice.

Exemple :

Desmet, P. et Zollinger, M. (1997). Le prix : de l’analyse conceptuelle aux méthodes de fixation. Paris, Economica.

Ouvrages collectifs (« edited » en anglais) : Les ouvrages coordonnés ou réalisés sous la direction d’une ou plusieurs personnes (qualifiées d’editors en anglais) doivent être traités de la manière suivante :

Exemple :

Earl, P.E. et Kemp, S. (dir.) (1999). The Elgar companion to consumer research and economic psychology. Cheltenham, Edward Edgar Publishing.

Chapitres d’ouvrages collectifs : Liste des auteurs (nom en petites majuscules) incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la publication, du titre du chapitre, de l’initiale du prénom et du nom du ou des coordonnateurs (editor[s] en anglais) précédé (s) de « Dans », du titre du livre en italique, du numéro des pages entre parenthèses, du lieu de la publication et du nom de la maison d’édition.

Exemple :

Maille, V. et Siekershi, E. (2006). Comment gérer les sensations tactiles? Dans S. Rieunier (dir.), le marketing sensoriel du point de vente (p. 169-203). Paris, France, Dunod.

Documents non publiés : Les références à des documents non publiés, des thèses, etc. doivent mentionner la liste des auteurs incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la soutenance ou de la présentation ainsi que du titre. Les mots « rapport », « papier de recherche », « thèse », etc. ne doivent pas être mis en italique. Dans le cas des thèses, ne pas oublier d’inclure le nom de l’Université ou de l’École, ainsi que le lieu de la soutenance ou de la présentation.

Exemples : 

Ménard, J.C. (2008). Impacts de certaines pratiques de gestion des ressources humaines sur la capacité d’innovation des PME (thèse de doctorat non publiée). Université du Québec à Trois-Rivières, Canada.

Tourtoulou, A.-S. (1996). Marques nationales, marques de distributeurs et premiers prix : effets de leurs mises en avant sur les ventes et la structure concurrentielle de la catégorie de produits (thèse de doctorat en sciences de gestion, École HEC, Jouy-en-Josas). Récupéré du site de la bibliothèque de l’École http://www.hec.fr/content/search?SearchText=bibliotheque basesdedonneesxerfi.

Simonson, I. (2007). Will I like a medium « pillow »? Another look at constructed and inherent preferences. Rapport n° 2007-28, Vancouver Island UniversityNanaimoBritish Columbia.

Actes de colloque ou conférence ayant fait l’objet d’une publication : Les citations d’actes de colloques sont traitées comme les extraits d’ouvrages. Il faut indiquer dans l’ordre : la liste des auteurs incluant l’initiale de leur prénom, suivie de l’année de la publication, du titre de l’article, de l’initiale du prénom et du nom du ou des coordonnateurs (editor[s] en anglais) précédé de « dans », de l’intitulé du colloque mis en italique, du numéro du volume, du lieu de la publication, du nom de la maison d’édition et du numéro des pages.

Exemple :

Ngobo, P.V. (1998). Les relations non linéaires entre la satisfaction, la fidélité et les réclamations. Dans B. Saporta (dir.), Actes de la Conférence de l’Association française du Marketing (p. 145-170). Bordeaux, France.

Documents en ligne (pages WWW)

Les références relatives aux documents en ligne doivent permettre de retrouver non seulement le site hébergeant un document, mais aussi le document lui-même. C’est donc dire qu’il faut indiquer l’adresse URL complète de la page ou du document consulté.

Exemple :

Couture, M. (2013, mise à jour 20 septembre). Une adaptation française des normes bibliographiques de l'APA - Documents en ligne. Récupéré le 6 novembre 2013 du site de l'auteur : http://www.teluq.ca/~mcouture/apa/.

Citations de ses propres travaux : Dans le cas où les auteurs souhaiteraient faire référence à un ou plusieurs de leurs travaux, il est essentiel que la formulation utilisée lors du processus d’évaluation préserve l’anonymat. Si cela se révèle impossible, utiliser dans le texte ainsi que dans les références bibliographiques la formule : (auteur ou coauteur, date), par exemple (auteur, 1996). Les références bibliographiques seront complétées une fois le papier accepté.

Quelques règles typographiques

Les titres (de livres, de films, etc.) s’écrivent en italique ;

Les mots en langues étrangères (anglais, latin, etc.) s’écrivent en italique (et non entre guillemets) ;

On écrit « etc. » ou « … » ;          

Les siècles s’écrivent en chiffres romains.

 Responsabilités 

Traduction :    Afin qu’un texte soit accepté pour publication, il est de la responsabilité des auteurs de fournir les traductions exactes en anglais du titre, du résumé et des mots-clés.

Anglicisme :   L’utilisation des anglicismes est à proscrire pour les termes qui ont un équivalent en français.

 Droits de reproduction des travaux cités

Attention, la règle est que chaque reprise dépassant 10 lignes d’un article, d’un ouvrage ou toute publication doit faire l’objet d’une demande expresse d’autorisation de reproduction. Les autorisations doivent être jointes au tapuscrit.

Pour assurer le traitement rapide de leur article, les auteurs doivent voir à la qualité et à l’exactitude de l’information fournie à la rédaction. Cela concerne notamment la liste de références, les tableaux, les graphiques et les figures dans un format modifiable. Les informations dans les graphiques et figures peuvent être affichées en couleur.

Comité de rédaction

Rédactrice en chef

Josée St-Pierre, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Rédacteurs adjoints

Olivier Germain, Université du Québec à Montréal, Canada

Sophie Reboud, Burgundy School of Business, France

Maripier Tremblay, Université Laval, Canada

Rédacteurs associés

Sandrine Berger-Douce, École des mines de Saint-Étienne, France

Christina Constantinidis, Université du Québec à Montréal, Canada

Julien de Freyman, South Champagne Business School, France

Véronique Favre-Bonté, Université Savoie Mont Blanc, France

Gilles Guieu, Aix-Marseille Université, France

Amélie Jacquemin, UCLouvain, Belgique

Salah Koubaa, Université Hassan II de Casablanca, Maroc

Karim Messeghem, Université de Montpellier, France

Christine Teyssier, Université Jean Monnet, France

Christina Theodoraki, Toulouse Business School, France

Sophie Veilleux, Université Laval, Québec

Thierry Verstraete, Université de Bordeaux, France

Rédacteurs conseillers

Sophie Bacq, IMD Business School, Lausanne

Jean-Marie Courrent, Université de Montpellier

Denis Grégoire, HEC, Montréal

Frank Janssen, UCLouvain, Belgique

Miruna Radu-Lefebvre, Audencia, Paris

Louis Raymond, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Comité scientifique

André Modeste Abate, Université Yaoundé, Cameroun

Ludivine Adla, IAE Grenoble, France

Kadia Georges Aka, Université de Moncton, Canada

Moujib Bahri, Université TÉLUQ, Canada

Hanane Beddi, Université Lyon 3, France

Yosr Ben Tahar, Paris School of Business, France

Joëlle Bissonnette, Université du Québec à Montréal, Canada

Sonia Boussaguet, Neoma Business School, France

Fatima Boutaleb, Université Hassan II de Casablanca, Maroc

Sylvain Bureau, ESCP Business School, France

Philippe Chapellier, Université de Montpellier, France

Stéphanie Chasserio, SKEMA Business School, France

Hela Chebbi, ESG, Université du Québec à Montréal, Canada

Laurence Cohen, Université Jean Moulin Lyon 3, France

Gaëlle Dechamp, Institut d'ingénierie et de management, Université de Grenoble, France

Roxane De Hoe, ICHEC Brussels Management School, Belgique

Nazik Fadil, EM Normandie, France

Stéphane Foliard, Université St-Étienne, France

Cécile Fonrouge, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Laetitia Gabay-Mariani, Kedge Business School, France

Valérie Gallego-Roquelaure, Université Jean Moulin Lyon 3, France

Sébastien Geindre, IAE Grenoble, France

Olivier Giacomin, Neoma Business School, France

Didier Grandclaude, EM Strasbourg, France

Gaël Gueguen, Toulouse Business School, France

Bilyaminou Dan Rani Guero, Université Gaston Berger, Sénégal

Florence Guiliani, Université de Sherbrooke, Canada

Estèle Jouison, IAE, Bordeaux, France

François Labelle, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Typhaine Lebegue, IAE Tours, France

Frédéric Le Roy, Université de Montpellier, France

Zoubeyda Mahamadou, ISTEC Business School, France

Philippe Massiera, Université du Québec à Montréal, Canada

Sophie Mignon, Université de Montpellier, France

Claudia Pelletier, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Matthias Pepin, Université Laval, Canada

Isabelle Prim-Allaz, Université Lyon 2, France

Renaud Redien Collot, ESC Paris, France

Geneviève Robert-Huot, Université de Sherbrooke, Canada

Étienne St-Jean, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Caroline Tarillon, Université de Grenoble Alpes, France

Carène Tchinou Tchouwo, ESG Université du Québec à Montréal, Canada

Sylvestre Uwizeyemungu, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Patrick Valéau, Université Rennes 1, France

Responsable de la chronique sur le métier de chercheur [2012-2018]

Pierre Cossette, Université du Québec à Montréal, Canada

Responsable de la rubrique sur la mobilisation des connaissances [2015-2019]

Sophie Reboud, Burgundy School of Business, France

Responsable des comptes rendus de lecture et des entrevues d'auteur.e

Véronique Favre-Bonté, Université Savoie Mont Blanc, France